» Citron & Guaranah du Jersey

» Soins de Guaranah «

» Je marchais joyeusement dans les écuries, mes pieds claquant vivement sur le sol. Chantonnant fièrement en remuant la tête de droite à gauche, ma chevelure brune voletant joyeusement au vent. Je faisait un 360° en sautant, atterrissant souplement devant le box de ma ponette grise. Celle-ci poussait un hennissement étouffer, redressait vivement son encolure fine. Passant sa tête par la porte du box, les naseaux dilatés, elle m’observait danser et chanter comme une folle xD

« Je ne veux pas travailler,
Je ne veux pas déjeuner,
Je veux seulement oublier,
Et puis je fume ! »

» Souriant à ma ponette, je lui caressait tendrement les naseaux, et je rentrais tranquillement dans son box, lui murmurant de doux mots à l’oreille. Guaranah frémissait légèrement, ses oreilles bougeant un peu, m’écoutant avec attention. Ronflent bruyamment des naseaux, Guaranah poussait gentiment la porte du box, montrant son impatience de sortir de sa « boîte ». Je lui flattais l’encolure, et je partais chercher son licol, après avoir vaguement fermer la porte du box. Je prenais le matériel de ma ponette, et je me dirigeais vers son box, déposant soigneusement le matériel devant celui-ci. Pénétrant vivement dans le box de ma grise, qui s’avançait vers moi, les oreilles pointer, je lui passais son licol doucement. Je la sortais du box, et je fermais la porte derrière elle. Je lui posais la longe sur l’encolure, et je prenais mon cure-pied. Je prenais doucement l’antérieur de ma grise, et je commençais à lui curer soigneusement le pied, puis je lui frottais le sabot soigneusement grâce à ma brosse en chien dent. Je passais un petit coup de graisse sur le sabot, puis je lui graissais soigneusement les glomes et la paroi du sabot. Je refaisais pareil pour tous les sabots, qui finissais par être tout propre.

« Voilà mon bébé ! »

» Flattant tendrement l’encolure de ma ponette, j’attrapais mon étrille et je commençais à la brosser soigneusement, faisant de grands cercles circulaires, en dégageant beaucoup de poussière du poil de ma ponette. Je prenais ensuite mon bouchon, et je brossais soigneusement ma ponette, en frottant de temps en temps le bouchon sur l’étrille pour enlever toute la poussière qui s’y était accumulée, pour ne pas ressaut plus ma ponette. Je posais mon bouchon et je le remplaçais par ma brosse douce, et je brossais d’abord soigneusement la tête de ma ponette. J’enchaînais en brossant soigneusement tout son corps musclé et svelte, en la faisant bien toute belle. Je nettoyais aussi bien ses membres pour ne pas qu’elle soit blessée : pas juste avant une compétition !

« Voilà ma fille ! Tu es toute belle ! »

» Je caressais ma ponette, et je lui posais ses guêtres et ses cloches, puis les protèges-boullets. Ensuite je lui ôtais son licol et je lui passais son filet, bouclant soigneusement la sous-gorge et les deux muserolles. Puis je lui posais le tapis marron, l’amortisseur crème et la selle Havane sur le dos et je la sanglais avec ma sangle bavette. Je flattais ma ponette, et je lui mettais le collier de chasse, le passant à l’anneau spécial de la sangle bavette. Je mettais ensuite mes éperons, mes gants et ma bombe, puis je prenais ma cravache et je rangeais rapidement mes affaires, avant de diriger Guaranah vers la cour. Je me mettais à cheval, et je pressais doucement les flancs de ma ponette, qui s’élançait joyeusement au pas, en secouant doucement la tête. Je caressais doucement son encolure, et je dirigeais ma ponette tranquillement vers la carrière de saut d’obstacles. On allait dresser pour la détente, sauter quelques obstacles pour la remise en forme, et aller faire un bon parcours de cross car on avait pas trop travailler le Cross … Je dirigeais gentiment la ponette dans la carrière, en jouant légèrement avec mes doigts, Guaranah venant se mettre en place toute seule et comme une reine. Je la marchait tranquillement, puis je la faisais travailler sur les hanches en dedans. Guaranah se déplaçais très bien latéralement, en mâchant légèrement son mors, très attentive à ce que je lui demandais, comme toujours. Je la félicitais, puis je travaillais les sessions à la jambe, aussi très important si on devait le faire en compétition. Guaranah répondant très bien aux jambes, se déplaçait très bien mais n’était pas très droite. Je recommençais plusieurs fois l’exercice, Guaranah finissant par très bien l’exécuter, comme toujours Je la caressais et je la laissais respirer deux minutes.

« Très bien ma grande ! »

» Puis je reprenais gentiment mes rênes, et je demandais tranquillement le trot à ma ponette. Je me mettais au trot en lever, Guaranah redressant un peu la tête, et trottant avec souplesse et classe, prenant son habituelle allure souple et relevée, qui lui donnait l’air de voler … Après l’avoir bien fait trotter à main droite sur des courbes, je changeais de main et je lui faisait exécuter les mêmes exercices à main gauche. Très réceptive, Guaranah s’exécutait très bien et souplement, s’incurvant et tournant très bien autour de ma jambe, se mettant en place d’elle-même. Après cette petite détente pour la réchauffer, je me mettais au trot assis, et je lui demandais de faire des hanches en dedans. Ne comprenant pas très rapidement, je devais recommencer plusieurs fois l’exercice, Guaranah finissant par l’exécuter avec merveille et grâce, au deux mains. Je lui demandais alors de faire des épaules en dedans, un peu plus difficiles. Guaranah enchaînait parfaitement bien ses foulées, en s’encapuchant légèrement. Je la laissais redresser un peu la tête, tout en la gardant dans l’impulsion et en contrôlant bien sa vitesse et ses foulées. Après plusieurs fois cet exercice, je la caressais, et je lui demandais d’exécuter des sessions à la jambe. Appliquant assez facilement cet exercice, Guaranah répondait bien à la jambe, en restant bine droite cette fois. Je la félicitais, et je finissais par lui faire exécuter 2/3 pirouettes, pour voir si elle avait bien retenu notre dernière leçon de dressage. La réponse était oui : Guaranah tournait très souplement sur ses antérieurs, repartant au trot avec souplesse et grâce, en fouettant légèrement l’air de a longue queue grise. Je la caressais tendrement et je la faisais repasser au pas, la laissant souffler rênes longues ; j’en profitais alors pour ressangler.

« Super ma puce ! Tu vois quand ut veux, tu es parfaite … »

» Je souriais, et je gratouillais la base de l’encolure de ma ponette : depuis le temps que je la connaissais, je savais bien qu’elle adorait cela … Après qu’elle eût bien reprit son souffle, je reprenais gentiment mes rênes, Guaranah redressant fièrement son encolure musclée. Je la lui caressais, puis je lui demandais gentiment le galop à droite. Démarrant souplement, Guaranah prenait un bond galop de travail souple et très confortable. Je la faisais u peu galoper pour la détendre tranquillement, puis je commençais par faire des pirouettes. Très studieuse, Guaranah effectuais parfaitement bien les pirouettes, ayant visiblement bien retenu notre dernier cours de dressage. Puis je lui demandais ensuite d’effectuer des hanches en dedans. Comprenant rapidement, Guaranah effectuait bien l’exercice, et je ne me lassais pas de la félicité. J’enchaînais par des épaules en dedans, chose un peu plus complexe. Guaranah comprenait toujours aussi rapidement, effectuant assez bien l’exercice. Je la caressais bien, puis je lui demandais de faire des sessions à la jambe. Sans s’énerver, Guaranah enchaînait quelques coups de culs, visiblement pas très joyeuse maintenant. Je lui donnais un coup de cravache sur la croupe, et la jument se calmait tout de suite, reprenant son sérieux habituel. Elle comprenait toujours assez vite, et effectuais très bien les sessions, alors je la caressais et je la repassais au trot et au pas, la laissant souffler rênes longues.

« Très bien ma grande ! On commence l’obstacle ? »

» Caressant bien Guaranah, je réglais mes étriers longueurs obstacle, puis je laissais bien marcher ma ponette, vu qu’elle avait bien travailler au galop. Une fois que je la sentais plus reposée, je l’envoyais au trot sur une croix. La sautant tranquillement et sans se fouler les membres, Guaranah secouait son encolure, et prenait le galop à gauche, comme je lui demandais. Je la renvoyais sur la croix, et elle la sautait tout aussi bien. Je la caressais, et je l’envoyais au galop à droite sur un vertical à 70 centimètres, suivit d’un autre vertical d’ 1 mètre. Guaranah pointait ses oreilles, semblant plus intéressée cette fois. Franchissant avec souplesse et style le vertical, en projetant bien ses postérieurs, elle effectuait ensuite 3 belles foulées. S’élançant gracieusement au-dessus de l’obstacle, les oreilles toujours bien pointées en avant, j’accompagnais bien le saut de ma ponette, qui réceptionnait avec douceur au sol, reprenant souplement son petit galop tranquille mais rythmé. Je l’envoyais ensuite sur un oxer d’1 mètre, Guaranah allongeant un peu sa foulée. Franchissant avec souplesse le vertical, j’accompagnais bien le saut de Guaranah, avant de la faire tourner à droite, la dirigeant sur une rivière de 90 centimètre. S’élançant souplement au-dessus, la passant sans problème, Guaranah réceptionnait souplement dans l’eau, et reprenait tranquillement son galop souple et cadencer. Je la caressais et je la repassais au trot et au pas, la laissant souffler rênes longues.

« Super ma grande ! Allez, on va crosser. »

» Je lançais ma ponette au pas vers le cross, qui n’était qu’à quelques minutes de la carrière de CSO. Après presque 5 minutes de pas, on arrivait enfin au terrain de cross. Apercevant les obstacles et le grand espace vert, Guar’ se stoppait et se cabrait à demi joyeusement, avant de s’élancer au trot. Je la repassais au pas, et je la dirigeais tranquillement au pas dans le terrain. Puis je la lançais au petit galop sur un tronc, suivit d’une haie un peu plus loin, le tout pas très haut. Guaranah franchissait les deux obstacles comme une folle, en m’embarquant à moitié Puis je l’envoyais ensuite vers un contre bas qui surplombait le gué. Sautant comme une folle dans l’eau, Guaranah continuait de galoper en lever haut ses membres, oreilles pointées. Je l’envoyais au galop sur un gros bateau, qu’elle pouvait facilement sauter. Guaranah s’élançait Souplement au-dessus de l’obstacle, atterrissant tranquillement dans l’eau, continuant son galop tranquille. Je l’envoyais au galop vers la berge, la dirigeant vers un piano montant. Guaranah s’élançait, franchissant souplement la première marche du piano, puis la seconde et enfin la troisième. Je restait toujours bien à ma place pour ne pas gêner ma ponette, puis je la menais au petit galop vers la sortie du cross, en la caressant bien. Je la repassait ensuite au trot et au pas, la laissant bien souffler sur le chemin du retour.

« C’était remarquable ma belle ! Tu étais formidable aujourd’hui ! »

» J la dessanglais de 2 trous, et je déchaussais mes étriers car on était arriver à EC. Une fois arriver aux écuries, je mettais pied à terre, et je guidais ma ponette jusqu’à son box. Je la desellais soigneusement, et je lui passais son licol. Je lui retirais ses protections, puis je la menais à la douche, et je la rinçais soigneusement car elle avait bien chaud. Je lui passais ensuite le couteau de chaleur, puis je l’emmenais sécher au soleil, la laissant brouter prêt de la carrière de saut d’obstacles. Une fois qu’elle était bien sèche, je lui mettait sa chemise marron et beige, ses bandes de repos marron et beige, et je la mettais au paddock, la laissant se reposer tranquillement pour la nuit. Je partais, et je nettoyais à fond mon matériel, le graissant, etc … Puis je revenais le soir pour la nourrir, et j’allais me coucher.

» Cross & Pré de Guaranah

J'arrivais à l'écurie deux jours après le concours, c'est à dire le Mardi 28 Août. J'avais concourru très bien à mon goût avec ma ponette, qui était vraiment une championne maintenant ... J'allais donc au box de ma charmante demoiselle, et j'ouvrais le box, la grise tournant sa tête fine vers moi, en poussant un hennissement étouffer.

» Coucou ma belle ... Alors, bien dormi ?

La jument s'avançait vers moi, posant ses naseaux contre mon épaule. Je lui caressais longuement l'encolure, puis je lui donnais sa ration. J'allais chercher mes brosses et mon matériel, pour faire du Cross avec Guaranah. J'allais au box de Guar', et je rentrais dedans. La jument avait presque finit de manger, mais je la brosserais quand même dans son box. Donc, je prenais mon étrille, et j'étrillais la jument en faisant des cercles circulaires. Ensuite je prenais mon bouchon, et je bouchonnais longuement la jument en frottant de temps en temps le bouchon sur l'étrille pour enlever la poussière et les poils, et surtout, pour ne pas remettre tout sur la jument une seconde fois. Puis je prenais ma brosse douce avec de la soie dedans, et je brossais tout le corps de la jument, les membres et la tête compris. Ensuite je prenais mon peigne, et je déméllais la queue et la crinière de la grise. Pour finir mon pansage, je prenais mon cure-pied, et je curais soigneusement les pieds de Guaranah, les brossants bien aussi, pour qu'ils soient nickel.

» Et voilà ma fille !

Je mettais mon filet simple avec mon mors à aiguille à la jument. Ensuite je lui posais mon tapis, ma selle sur le dos, et je la sanglais avec ma sangle bavette. Puis je lui mettais des guêtres de cross, des protèges-boullets et des cloches. Je mettais mon casque de cross, mes gants, mon gilet de protection, et je prenais ma cravache au cas-où. Puis je sortais la jument du box, et je la menais à la cour, ou je montais.

» En route vers le terrain de Cross !

Je pressais doucement les flancs de ma jument, et je ressanglais pendant qu'elle marchait vers le sentier qui bordait la carrière, et pénétrait dans la forêt. Je lançais la ponette au trot sur le sentier, en la laissant rênes mi-longues, pour qu'elle puisse regarder autour d'elle, et ne pas s'inquiéter. Je changeais souvent de bipède diagonale pour ne pas fatiguer la même épaule de ma jument, et enfin, on arrivait devant la forêt, je repassais donc ma jument au pas.

» Bien ma grande ...

Je ressanglais de deux trous, et je marchais ma jument au pas dans la forêt, pour l'habituer à ce nouvel environement. Enfin, je lui demandais un départ au galop à droite. Guaranah s'élançait, et je me mettais en équilibre, laissant la jument galoper à une bonne vitesse. Je sentais les muscles de la jument sous moi, sa crinière mi-longue me chatouillant le nez Enfin je la repassais au trot, et je la trottais un peu. Puis je lui demandais le galop à gauche, la jument démarrant comme une folle, allongeant progréssivement son allure puissante, le vent soufflant dans mes oreilles. Mes yeux pleuraient tellement la jument allait vite, et j'avais beaucoup de mal à la ralentir. J'arrivais enfin à la repasser au trot, puis au pas. Je la caressais, et je la laissais marcher rênes longues, car elle était déjà fatiguée ...

» Ben dis-donc ... T'es pas un peu folle toi ?

Je souriais légèrement, et je déchaussais mes étriers, me reposant en même temps que ma jument. Enfin, elle reprenais progréssivement son souffle et son énergie, et on arrivait finalement au terrain de Cross. Je rechaussais mes étriers, et je reprenais mes rênes, flattant la jument. Je la mettais au petit trot, la dirigeant sur un mini tronc. La jument sautait avec beaucoup d'aisance et de puissance, et j'accompagnais bien son saut. Ensuite je la lançais au petit galop sur une haie, pratiquement de 50 centimètres, à vu d'oeil^^ Guaranah sautait toujours aussi bien, avec son style bien à elle, en dégageant bien ses postérieurs. Cette fois, je la lançais au galop, et je la dirigeais vers un contre-bas. La jument hésitait à sauter, mais je lui mettais un coup de cravache sur l'épaule, et elle sautait, attérissant dans le gué. Je la tallonais, et je la dirigeais vers un bâteau blanc et bleu. La jument s'élançait avec souplesse au-dessus de l'obstacle, et j'accompagnais bien le saut.

» Allez !!

J'encourageais un peu la jument, pour qu'elle allonge ses foullées, plutôt que de me servir de mes jambes ou de ma cravache. Guaranah bondissait dans le gué, et on sortait du gué au grand galop. Je reprenais un peu ma jument, la dirigeant devant un parc à mouton, assez long. Je mettais bien mes jambes devant, Guaranah hésitant à peine, et sautant avec souplesse le parc, réceptionnant parfaitement bien. Ensuite je la galopais un peu vers le dernier obstacle, une trompette en cuivre. La ponette dressait les oreilles, et sautaient parfaitement bien, ainsi que moi. Je flattais la grise, et je la repassais au trot et au pas, déchaussant mes étriers, et la laissant rênes longues.

» T'es forte ma grande !

On prenait le chemin du retour au pas, tranquillement. Une fois de retour à Endless Competition, je descendais de Guaranah, et je la rentrais au box. Je la desellais, et je la laissais se reposer un peu avant qu'elle aille au pré. Je la pansais donc de fond en comble, en insistant bien sur ses membres humides, et sur tout son corps ensuite. Puis je lui curais soigneusement les pieds, enlevant des cailloux, de la boue. Je les séchais ensuite avec une serviette, puis je déméllais soigneusement les crins de la jument, pour qu'elle soit toute belle.

» Et voilà ! On va au pré maint'nant ?

Je menais la jument au pré, ou je la lâchais pour toute la journée. Ensuite je rangeais mon matériel à la sellerie, et je quittais EC.

» Arrivée & Confiance de Guaranah

Un panneau s'affichait devant moi, annonçant Endless Competetion. Je me dirigeais donc sur la route bétonnée qui menait à E.D. Des prairies vertes et luxurientes s'étendaient autour de la route, ou paissait des poneys de toutes les robes. Je passais une grande porte avec comme enseigne un cheval dans un étrier. Je me dirigeais ensuite vers le panneau qui annonçait le Parking, et je me garais à l'ombre, pour ne pas que ma voiture brûle J'ouvrais la portière, et je descendais de mon 4x4. Je claquais la portière, puis j'ouvrais le coffre. Je descendais toutes mes affaires, et je les menais en plusieurs voyages à la sellerie. J'allais voir ensuite Koala, la directrice d'Endless Competetion. Je la saluais et on discutais un peu. Elle me parlait des chevaux, de l'écurie ... Enfin, elle me donnait la clef de mon casier. Je m'empressais d'aller ranger mon matériel dans l'immense casier, puis Koala m'appellait, m'annonçant que ma Demi-Pensionnaire venait d'arriver. Je me dirigeais donc vers le parking, et un van pourpre atteller à un 4x4 était garré. Un jeune homme en descendait, et je m'approchais en courrant. Je le saluais, et il m'annonçait qu'il recherchait une personne nommée Citron. Comme c'était moi, j'allais ouvrir le van, et je découvrais une ponette grise. Je m'approchais de la ponette, posant ma main sur son corps.

» Bonjour ma jolie ...

Je caressais la jument, tout en déliant sa longe. Je la posais sur l'encolure de la jument, et je lui tapotais le poitrail. Je reculais en même temps que la grise, la maintenant sur une trajectoire droite. Quand elle mit "pied à terre", je rattrapais sa longe, et je caressais Guaranah. Je souriais au jeune homme, et je menais la ponette près de son box. Je la faisais ensuite marcher dans tout le domaine, découvrant les lieux en même temps que Gua'. Visiblement, c'était une jument plutôt vive mais qui n'avait peur de rien, parfait pour le cross ... Sa musculature et sa souplesse devait la rendre pas mal en saut, et ses allures souples et élastiques magnifiques en dressage ...

» Qu'est ce que tu dirais d'un bon pansage, hein ?

Guaranah s'arrêtait net, pointant ses oreilles au loin. J'apperçevais un étalon gris dans un pré, qui hennissait la jument. Poussant un "cri" aigu, la jument plaquait ses oreilles, bottant le vide en fouettant l'air de sa queue. Je flattais doucement la jument, et je la menais à son box. Je la rentrais dedans, et je lui retirais son licol. Le box était spacieux et bien éclairer. La mangeoire, l'abreuvoir et le box était propre, alors je laissais la jument se reposer quelques minutes. Je sortais du box, et j'allais à la sellerie chercher le matériel de pansage, puis je revenais au box de Guaranah. À ses crins pleins de paille, je devinais qu'elle s'était rouller, ce qui m'arrachait un sourire.

» Tu viens ma belle ?

La grise s'avançait vers moi d'un pas quelque peu hésitant, et je lui flattait l'encolure. Je lui enfillais le licol en corde, et je la sortais du box. Je fermais la porte derrière la grise, et je l'attachais à l'anneau du box. Je la caressais longuement, et je palpais longuement tout son corps, vérifiant qu'elle était en bonne santé. Elle n'avait pas de problèmes visible, tant mieux. Je regardais ensuite ses membres, élements très importants chez le cheval. Sa fourchette et ses glomes étaient en parfaits état, quoique un peu secs.

» Eh bien, c'est parfait tout ça ma puce !

Je flattais la jument, et je prenais mon étrille. J'étrillais longuement la jument, en enlevant les poils et en tappant l'étrille par terre de temps en temps, pour ne pas resallir en plus la jument. Ensuite je prenais mon bouchon dans ma main droite, et mon étrille dans ma main gauche. Je brossais soigneusement la jument, en frottant de temps en temps le bouchon contre l'étrille, pour le nettoyer. Pour finir le poil de la jument, je prenais la brosse douce. Je brossais donc soigneusement tout le corps de Guaranah, en brossant de temps en temps la brosse douce sur l'étrille, pour la nettoyer. Pour finir avec sa robe, je passais un coup de lustrant pour robe sur le corps de la jument, et je souriais, lui flattant l'encolure.

» T'es toute belle maintenant !

Je prenais mon cure-pied, et je prenais un par un les sabots de la jument, les curants soigneusement, en les brossant tout aussi bien. Une fois finit, je prenais mon pot de goudron avec un pinceau, et je graissais soigneusement tous les pieds de la jument, qui étaient tout beau maintenant^^. Je souriais fièrement, et je prenais des élastiques blancs. Je faisais d'abord des nattes à la jument, puis je les roullais, faisant des pions. Le temps que je fasses mes pions, et les sabots de Guaranah était secs.

» Et voilà ! Tu es ... Splendide !

Je flattais la jument, et je lui détachais son licol. Gua' secouait son encolure, et fouettait l'air de sa queue. J'ouvrais la porte de son box, et je la faisais rentrer dedans, pour qu'elle puisse se reposer après ce long voyage. Je détachais le licol de la jument, et je lui gratouillais le front. Je sortais du box, et j'allais ranger mon matériel. Puis je prenais le mash que j'avais fais, et j'allais au box de Guaranah. Je l'ouvrais, et je versais le mash dans la mangeoire de la jument grise. Je lui faisais un gros calin avec plein de beuwzou'w, puis je sortais du box.

» À demain mon amour de poney !

Je fermais la porte du box, et je partais dire au revoir à Koala. Une fois ça de fais, je me dirigeais au parking. Je montais dans mon 4x4, et je démarrais. Je sortais du parking, et je passais la porte d'entrée d'Endless Competition, longeant les prairies. Je partais du domaine vers 19 heures.

» Longe & Confiance de Guaranah

J'allais voir ma chérie d'amuur très tôt ce dimanche matin-là. J'avais prévu de la longer un peu pour qu'elle se calme, car elle n'avait pas été monter depuis plusieurs jours. Donc j'allais à la sellerie, je prenais mon matériel de pansage, le caveçon, ect ... J'allais au box de ma loute, et je déposais tout devant. Je sortais mon licol, que je passais à la jument, et je lui donnais sa ration.

» Voilà ! Maintenant, tu reste sage, hein !

Je prenais mon bouchon, et je brossais longuement la jument, pour enlever les taches jaunes. Ensuite je lui passais un coup de brosse douce, lustrant sa belle robe. Je lui déméllais la queue et la crinière, puis je lui curais les pied. Quand la jument eu finit de manger, je lui faisais un noeu à la queue, et je lui mettais des guêtres et des cloches. Ensuite je lui passais le caveçon, et je lui mettais la longe. Je mettais mes gants, prenais la chambrière, et je sortais avec la jument du box, puis je la menais au rond de longe.

» Lets go ma chérie !

Une fois arrivée au rond de longe, j'ouvrais la porte et je faisais rentré la jument. Je lui flattais l'encolure, et je fermais la porte derrière elle. Je lui détachais la longe, et je la laissais aller se rouller. Uen fois que Guaranah fut pleine de sable, elle s'ébrouait et je l'appellais. Elle venait tout de suite vers moi et je la félicitais. Je lui attachais la longe, et je la guidais avec la chambrière sur un cercle.

» Bien ma belle ... Allez, marche !

Je faisais claquer ma langue pour qu'elle marche d'un pas actif et pour ne pas qu'elle s'endorme. Guaranah secouait son encolure, et elle s'arondissait un peu. Elle allongeait son pas d'une démarche souple et élégante, fouettant l'air de sa queue. Je souriais, et j'agitais ma chambrière derrière elle, la jument démarrant au trot.

» Bien ! Allez, trotte !

La grise allongeait son petit trot tranquille pour prendre le trot moyen, en s'arrondissant encore plus, et en prenant une allure relevée et puissante. Ses muscles roullaient légèrement sous son poil fin d'été, et sa crinière voltigeait dans les airs, lui donnant un air de Pégaze. Je la laissais trotter à cette allure pendant de longues minutes, en la faisant ralentir et accélèrer le trot par moment, pour travailler son écoute à la voix. Une fois que je fus sûre qu'elle fut bien détendue au trot, j'abaissais ma chambrière.

» Oh là ... Au pas ... Oh oh ...

La grise ralentissait son trot, attentive à ma voix, une bonne chause. En entendant le mot "pas", elle repassait au pas. Je la félicitait avec la voix, et je relâchait un peu la pression sur le caveçon, la jument redressant la tête et regardant autour d'elle. Une fois qu'elle eut bien souffler et regarder autour d'elle, j'agitais de nouveau ma chambrière, en faisant claquer ma langue.

» Guaranah, Galop !

La jument démarrait promptement au galop, en mettant plusieures ruades joyeuses. Je l'apaisait avec la voix pour ne pas qu'elle parte en n'importe nawak, et elle prenait un bon galop souple et puissant. Se mettant de nouveau en place, en panachant légèrement sa queue, la jument collait parfois ses naseaux contre son poitrail, et redressait vivement la tête, cherchant sûrement à se débarasser du caveçon. Quand elle eut bien galoper, je la laissais repasser au trot et au pas. Je lui enlevait le caveçon, et je la laissait s'ébattre comme elle le sentait quelques minutes.

» Loute, viens voir !

Après plusieures minutes, j'appellais la jument, qui s'empressait de venir me voir. Je la caressais et je lui passais le caveçon. J'ouvrais la porte du rond de longe, et je menais la jument à son box. Je l'attachais devant, après avoir échanger le caveçon avec le licol vert foncer. Je lui enlevais ses protections, et je prenais l'étrille. J'étrillais longuement la jument, essayant d'enlever le plus de poussière possible. Ensuite je lui passais un bon coup de bouchon, enlevant la crasse de son poil. Je lustrais sa robe grise avec la brosse douce, et je lui nettoyais bien les membres. Mais comme elle était toujours pleine de sable, j'allais à ma sellerie chercher un "aspirateur-étrille". Comme je savais que Guaranah était habitué à la tondeuse, j'espèrait qu'elle ne réagirait pas trop mal ...

» C'est comme une tondeuse ma chérie ...

Je l'allumais à un mètre de la jument, qui tournait sa tête vers moi, oreilles pointées. Je la caressais, et je lui aspirait toute la poussière sans problème. Ensuite je rangeais l'instrument, puis je revenais voir ma jument. Je lui curais soigneusement les pieds, et je détachais son licol, puis je la rentrais à son box.

» Et walla !

Je détachais le licol de la jument et je lui donnais une carotte, pui j'allais m'occuper de Géronimo, mon hongre rien qu'à mwa

» Dressage & Pré de Guaranah

J'arrivais toute contente ce lundi matin, après m'être occupé de mon nouveau cheval : Géronimo, un hongre alezan. J'allais donc voir ma petite demoiselle adorée : la belle Guaranah ... J'ouvrais le box de ma ponette, et je caressais longuement sa tête fine. Je souriais quand la jument passait son nez dans ma poche, et je lui donnais une carotte. Je la caressais une nouvelle, fois puis j'allais à la sellerie chercher mon matériel. Je retournais au box de ma ponette, et je déposais tout le matériel devant. Je prenais mon licol, et je rentrais dans le box de la grise, lui passant le licol.

» Aujourd'hui on va dresser ma belle, car je ne connais pas trop ton caractère ...

Je sortais la jument du box, et je le fermais derrière elle. Puis je l'attachais à l'annau du box, et je prenais mon étrille. J'étrillais longuement la jument, enlevant encore des poils morts. Puis je lui passais un bon coup de bouchon, enlevant le plus possible de taches jaunes sur la robe clair de la jument. Ensuite je lui passais un bon coup de brosse douce, lustrant sa robe et en profitant pour bien nettoyer ses membres. Puis je lui déméllais la queue et la crinière, et je lui nettoyais la paroie des sabots. Ensuite je lui curais soigneusement les pieds, en les frottants bien, pour qu'ils soient niquels chrome. Ensuite je flattais longuement la jument, et je lui gratouillais le front.

» C'est bien poulette ...

Je posais mon tapis, mon amortisseur et ma selle sur le dos de la jument, et je la sanglais. Ensuite je lui mettais des guêtres, des protèges-boullets et des cloches, puis je lui enlevais son licol, en lui passant son filet avec le mors à aiguilles. Je mettais ma bombe, prenais ma cravache au cas-où, et je détachais la jument, après avoir enfiller mes gants. Je la menais tranquillement à la carrière.

» T'as intérêt à être sage, hein !

Je souriais en disant cette phrase, et je flattais la jument. Je la faisait rentrer dans la carrière, puis je fermais la porte derrière elle. Je lâchais la jument, après avoir coincer les rênes dans les étriers. Je mettais tout les obstacles en barre au sol, car je ne voullais pas trop sauter ... Je laissais juste une croix, un petit vertical et un petit oxer. Ensuite j'appellais ma ponette, qui tournait sa tête vers moi, les oreilles pointées et les naseaux dilatés.

» Viens voir Guaranah !

La ponette secouait son encolure, et partait au trot, venant souplement vers moi. Je souriais, et je lui flattais l'encolure. Je lui détachais les rênes et je l'arrêtais au milieu de la carrière. Je ressanglais puis descendais les étriers. Je mettais mon pied à l'étrier, et la jument partait au pas. Je montais quand même et j'arrêtais la jument, chaussant mes étriers avant de reprendre mes rênes. Je pressais doucement les flancs de la ponette, qui démarrait au pas, en mâchant son mors. Je faisais claquer ma langue, et donnait un léger coup de talon, la ponette arrêtant directement.

» Tu es bien dressée à ce que je vois, et très active aussi ...

Mes talons éfleuraient à peine les flancs de la ponette, qu'elle partait au trot. Je la reprenais, et je la calmais, la faisant travailler sur des courbes et sur beaucoup de transition, pour la forcer à contrôler son allure. Je descendais bien mes talons, et je restais droite, coudes au corps et pouces vers le ciel. Je posais bien mes mains, et la jument finissait par céder, et je la caressais. Après qu'elle fut bien en place, je la travaillait sur des voltes et des huits de chiffres. D'abord, quand je lui demandais l'incurvation, elle s'énervait, et redressait la tête, en se cabrant à demi. Après plusieurs minutes, Guaranah restait en place et se décidait à s'incurver, s'arrondissant bien autour de ma jument intérieur. Quand je la sentais bien clame et un peu plus posée, je changeais de main par une demi-volte, en gardant bien Guar' entre mes mains, pour ne pas qu'elle démarre comme une folle.

» Bien ma fille ...

Une fois piste à main gauche, je pressais doucement les flancs de la grise, qui démarrait directement au grand trot, redressant la tête. Je la canalisait sur un cercle, en jouant légèrement avec mes doigts, la jument descendant progréssivement sur le mors, mais se braquant dès que je faisais un léger mouvement avec mes mains. C'était parfait pour m'obliger à poser mes mains, et comme ça, je m'appliquais mieux. Une fois la jument bien calme sur le cercle, je la mettais piste large, et je la faisait doubler, l'envoyant au trot de travail sur des barres au sol. En voyant les barres, la jument allongeait son trot, alors je la remettais de nouveau sur un cercle, la calmait, et je revenais sur les barres au sol. Cette fois, elle passait tranquillement les barres, en tendant bien ses antérieurs et ses postérieurs devant elle. Je finissais mon doubler, et je changeais de main, revenant sur le doubler et les barres au sol. Je faisais pendant de longues minutes cet exercice, en travaillant aussi sur le doubler, forçant la jeune ponette à aller bien droit. Quand elle commençait à chauffer et à m'embarquer, je la replaçais sur un cercle, je l'apaisais, et enfin, je revenais sur les barres au sol. Après cette bonne détente au trot, près d'une demi-heure, je reculais mes épaules, et je repassais la jument au pas.

» C'est bien ma belle ! Mais un peu actif tout ça !

Je flattais la jument, et je ressanglais de deux trous. Enfin je la laissais marcher rênes mi-longues pendant quelques minutes, pour qu'elle reprenne un peu son souffle. Ensuite je plaçais mes aides du galop à droite, et la grise démarrait en coup de cul. Je manquais de m'étaller dans le sable, mais je poussait la jument à galoper, et je la laissais galoper comme une folle sur plusieurs tours de carrière. Enfin, elle commençait à se calmer, et demandait à ralentir l'allure. Je la mettais au petit galop, la faisant travailler sur des cercles, des voltes et des doublers. Je changeais de main par une diagonale, et la ponette changeais toute seule de pied. Je la félicitais, et je la faisais galoper à l'autre main, c'est-à-dire à main gauche. Je la faisais aussi travailler au début sur des cercles, pour canaliser Guaranah, qui ne pensait qu'à m'embarquer Ensuite je travaillais sur des contre-changements de mains. AU début, la jument changeait de pied, mais après plusieurs figures, elle ne changeait pas de pied. Alors je la repassais au trot et au pas, et je la laissais marcher rênes longues en la caressant.

» C'est bien ma fille ! On va passer quelques barres, oki ?

Je caressais la jument, et après qu'elle est bien souffler, je reprenais mes rênes. Je la mettais au petit galop sur un cercle, canalisant bien son énergie. Je l'envoyais à main droite sur la croix, et la jument m'embarquait. Je la reprenais à la réception, et je faisais mine de l'envoyer sur l'obstacle. Je l'arrêtais sèchement devant, et la jument se cabrait à demi. Je la caressais, et je la remettais au petit galop, la renvoyant sur l'obstacle. Dès qu'elle allongeait sa foullée, je l'arrêtais, et je la remettais au petit galop. Enfin, elle se calmait, et je lui faisait sauter plusieurs fois la croix, aux deux mains. Ensuite je l'envoyais sur le droit, toujours au petit galop. Guaranah sautait très bien, avec un coup coup de saut, sans trop utiliser son dos. Je la faisait sauter encore quelques fois le droit, puis j'enchaînais trois obstacles

» Allez ! C'est partit ma chérie !

Je mettais la jument au galop sur un cercle, et je la lâchais légèrement, la laissant un peu plus galoper, mais sans pour autant la laissant foncer. J'accompagnais bien son saut sur la croix, la jument galopant avec aisance et souplesse, l'encolure légèrement redressée. On voyait qu'elle avait le saut dans le sang, et qu'elle y prenit du plaisir. Sur le vertical, elle redressait bien ses antérieurs, et poussait sur ses postérieurs musclés, le franchissant facilement. Je la faisais tourner à droite, et je ralentissais un peu la jument. Elle franchissait avec souplesse l'oxer, et je la caressais, la repassant au trot et au pas.

» Waouh ... On va essayer le cross, et je t'entraînerais pour le complet

Je reprenais mes rênes, et je relançais la jument sur un autre parcours, à pratiquement 1 mètre, consitué d'un spa, un vertical puis un oxer. Un peu surprise à cause des nouveaux obstacles et surtout de la hauteur, la jument hésitait un peu, mais un peu de jambes la dissuadait de refuser l'obstacle. Je la faisais revenir sur le parcours, et Guaranah était déjà plus sereine. Elle franchissait avec souplesse et style les obstacles, et j'accompagnais bien ses sauts parfaits. Un efois qu'on eu fait deux fois le parcours, je repassais la jument au pas, et je la laissais rênes longues, déchaussant mes étriers.

» Et ben, tu m'a bien épatée aujourd'hui ma belle Guaranah ...

Après avoir bien marcher la jument, je l'arrêtais au milieu de la carrière, et je mettais pied à terre. Je remontais mes étriers, desanglais de 2 trous, et je menais la jument à son box, après avoir ouvert la barrière. Je desellais la jument, et je lui mettais son licol. Ensuite je lui enlevais ses protections, et je rangeais tout mon matériel. Je revenais voir la jument, et je lui donnais une pomme.

» Tu as bien travailler aujourd'hui ...

Je brossais soigneusement la jument avec l'étrille, en enlevant au maximum la sueur et les poils. Ensuite je la brossais avec le bouchon, en décrassant bien sa robe grise, puis je lui lustrais le poil avec la brosse douce. Je lui nettoyais bien les membres, et je vérifiais qu'elle n'était pas bléssée. Ensuite je lui brossais les paroies des sabots, puis je la curais et je lui brossais bien les pieds. Enfin je la détachais, et je la menais au pré.

» Allez chérie, ça va te faire du bien ...

J'ouvrais la barrière d'un grand pré bien vert, Géronimo broutant dans le pré voisin. Je lâchais la jument, qui aprtait en ruade et saut de mouton, avant de s'arrêter, et de brouter l'herbe grasse. Je souriais, et je partais laissant ma jument pour la nuit au pré. Je disais au revoir à tout le monde, et je partais du Domaine.

» Dressage & Pré de Guaranah

J'arrivais toute contente à l'écurie, très tôt. J'étais pourtant un peu courbaturé, car j'avais bien travaillé hier. Je disais bonjour à CajOu', puis je me dirigeais vers la sellerie, ou je prenais la nouriture de ma ponette et mon matériel pour dresser. J'allais au box de Guaranah, et je déposais tout dans son box. Je passais son licol à la grise, et je lui mettais la longe sur l'encolure, puis je lui donnais sa ration.

» Alors ma belle ...

Je flattais la jument, qui s'était jeter sur sa nourriture. Je prenais mon étrille, et j'étrillais longuement la grise, la nettoyant bien. Ensuite je lui passais un bon coup de bouchon, insistant bien sur les taches jaunes. Enfin, je prenais ma brosse douce, et je passais un coup sur la robe et les membres de Guaranah, la nettoyant de fond en comble. Ensuite je lui curais soigneusement les pieds, puis je lui déméllais la queue et la crinière. Je mettais ensuite des bandes de travail à la jument, et des cloches. Comme elle avait finit de manger, je lui enlevais le licol, et je lui mettais son filet, avec toujours le mors à aiguille. Je lui mettais ensuite le tapis, l'amortisseur et la selle, et je la sanglais. Je mettais mes gants, ma bombe, prenais ma cravache, et je sortais la jument du box.

» On va au manège, vu qu'il commençe à pleuvoir ...

Effectivement, une fine pluie commençait à tomber, heureusement que j'avais mis un manteau ... Je dirigeais donc la petite jument au manège, et je la faisais rentrer dedans. Je fermais la porte derrière elle, et je marchais un peu la jument sur la piste, pour l'habituer au nouvel envirronement. Enfin je doublais dans la largeur, et j'arrêtais ma ponette. Je descendais mes étriers, ressanglais, et je montais osuplement sur le dos de Guaranah. Cette fois, elle se contentait de faire un pas de côté, mais ne tournait pas en rond, c'était déjà ça ... Je la caressais, et je chaussais mes étriers, ajustais mes rênes.

» C'est partit !

Je mettais un peu de jambe, et la ponette grise se mettait au pas. Je jouais légèrement avec mes doigts, et la ponette descendait sur son mors, se mettant en place petit à petit. Je la marchais d'abord sur la piste, en la faisant marcher dans les coins, et en cherchant à l'incurver. Ensuite je la mettais sur une serpentine, et j'incurvais bien la ponette, qui s'arrondissait parfaitement bien. Elle était vachement calme, mais dynamique, déj mieux qu'hier. Visiblement, le fait d'avoir un cavalier sur son dos qui la fasse travailler régulièrement la changeait, en plus, elle avait un bon potentiel à l'obstacle et au dressage, alors pourquoi se priver de la monter tous les jours ? Enfin bref, revenons à notre détente Je faisais donc évoluer ma ponette sur une grande serpentine, en l'incurvant bien et en la gardant toujours entre mes doigts. Une fois plusieures serpentines éffectuées, je pressais doucement les flancs de ma ponette, et je la lançais au trot. Tout de suite, la grise prenait un trot rapide et puissant, secouant la tête, et fouillant l'air de sa queue. Je la reprenais avec douceur, et je la canalisait sur un cercle, cherchant à l'incurver et à la remettre "en boule". Après plusieurs minutes, la grise se plaçait bien, et s'incurvait avec souplesse. Ensuite je travaillais un autre exercice : le doubler. J'étais vraiment très douée pour faire des doublers bien droit. Je faisais donc un doubler dans la longueur. Je gardais bien mes jambes et je regardais loin, allant droit ... Et je prenais piste à main droite, changeant de main. Je recommençais de nombreuses fois, faisant toujours des doublers très droit, et faisant les coins. Ma ponette était bien en place, et gardait un trot actif, mais ne cherchait plus à m'embarqué, chose pas mal. Après avoir bien travailler au trot, je repassais la jument au pas, et je la laissais souffler rênes longues, et je ressanglais.

» C'est bien bouchon ! Tu vois quand tu veux !

Après que Guaranah eut bien reprit son souffle, je reprenais mes rênes, et plaçais mes aides du galop à gauche. La grise démarrait tranquillement, prenant un bon galop souple et pas trop rapide. Je la félicitais avec la voix, et je la mettais sur un cercle, en la faisant s'arrondir et en essayant toujours de s'incurver. J'y arrivais juste au moment ou elle commençait à s'énerver, et je la laissais là-dessus, pour ne pas qu'elle nous blesse. Je la faisais donc galoper encore un peu à main gauche, puis je changeais de main par une diagonale, Guar' changeant de main au milieu, comme je lui demandais. Je la caressais, et je la mettais sur un cercle à main droite, en la remettant en place et en l'incurvant bien. De nouveau, la ponette faisait bien ce que je lui demandais, et s'énervait, partant en rodéo, et pillant net, en mettant une ruade sèche juste après. Je me retrouvais sur l'encolure quand elle s'arrêtait, et à la ruade, je passais par-dessus l'encolure, me retrouvant sur les fesses

» Guaranah, qu'est que je fais par terre, dis-moi ?!

La jument galopait comme une folle sur la piste, partant en coup de cul. Je me redressais, et époussetait mon pantalon et mes bottes, ainsi que ma bombe. Je prenais une chambrière, et je la faisais claquer violemment derrière la jument, qui galopait de plus belle, en mettant quelques sauts de moutons. Enfin, quand elle commençait à ralentir, et s'arrêter, je rangeais la chambrière, et allait vers la jument. Elle s'arrêtait, et me fixait, semblant vouloir s'enfuir. Je l'attrapais, et je lui flattais son encolure humide, la faisant marcher.

» Tu vois, faut pas me chercher moi ...

Après qu'elle fut bien reposée, je remontais les étriers, et je sortais du manège, menant la ponette à son box. Je la faisais rentrer dans son box, et je la desellais, et je rangeais mon matériel. Quand je revins au box, la ponette s'était rouller, et mangeait son foin. Je la caressais et je lui donnais une pomme. Puis je lui passais un bon coup de bouchon et de brosse douce, car j'étais un peu préssée. Ensuite je curais les pieds de la jument, et je lui mettais ses protections. Je lui mettais une couverture de pré imperméable, puis je lui enfillais son licol et je la menais au pré pour toute la fin de journée et la nuit.

» Pré & Obstacle de Guaranah

J'allais voir Guaranah à son box. Je la caressais, et je lui enfillais son licol. Tout énervée, la jument ne tenait pas en place, alors que je l'emmenais au pré. Dés que je la lâchais, la jumetn démarrait plein cul, en ruant comme une folle. Je lui donnais sa ration, puis j'allais monter Géronimo.
Je revenais voir ma jument au pré avec un licol, et je l'attrapais facilement. Visiblement, elle était détendue et calme, comme le premier jour ou je l'ai monter. Je la menais à son box, et je l'attachais, la calmant.

» Aujourd'hui, on saute ma chérie !

Je flattais la jument, et comme elle était bien propre, je la pansais rapidement et je lui curais les pieds. Je lui mettais le tapis, l'amortisseur, la selle et je sanglais. Ensuite je lui mettais le filet, et un collier de chasse. Je mettais des guêtres, des protèges-boullets, des cloches, puis j'enfillais mes gants, ma bombe, prenais ma cravache, et je détachais la grise, la menant à la carrière.

» C'est partit !

J'arrivais avec ma jument en main. Je le rentrais dans la carrière, et je fermais la porte derrière elle. Je l'arrêtais au milieu de la carrière. Je ressanglais, descendait mes étriers, et ajustais ma bombe. Puis je montais souplement et je chaussa mes étriers. Je descendais mes tallons, et rassemblais mes rênes. Je fasais claquer ma langue, et la jument démarrait doucement au pas. Je la mettais en place rapidement, et je l'incurvais dans les coins avec douceur. Je le changeais plusieurs fois de mains avec des demi-voltes ou des doublers, puis je la mettais au trot en la tallonant doucement. Elle partait au trot, et je lui fasais faire 5 tours de carrières, car elle était vraiment immense. Guaranah trottait avec élégance et rapiditée, secouant un peu la tête parfois, mais pas méchamment. Finalement je changeais de main, par une diagonale. Je reprenais mes rênes, et je la laissais allonger son trot en la gardant en place. Guaranah allongeais rapidement, et je trottais très vite en lever Puis je repranais mes rênes, et la jument repassait à un trot normal. Je relâchais la préssion sur son mors, et elle redressait doucement la tête, attentive à la moindre pression sur le mors. Je la faisais trotter quelques tours de carrières tranquillement, et la jument appréciait visiblement d'avoir un cavalier sur le dos Je la repassais au pas, et je la laissais souffler rênes longues. Je ressanglais d'un trou, et elle comprenais qu'elle allait galoper Je reprenais ensuite mes rênes et je n'eu même pas le temps de presser les flancs de ma zouave, qu'elle démarrait promptement au galop avec un coup de cul joyeux. Je souriais, et je la laissais galoper à l'allure qu'elle voullait sur un tour de carrière. Puis je me redressais, et je lui fasait faire une diagonale. Elle changeait elle même de pied au milieu, et je la caressais. À main gauche, elle repartait de plus belle, et je la laissais de nouveau faire sur un tour. Puis je me redressais, et je le repassais au trot et au pas, la laissant souffler rênes longues.

» C'est bien ma fille ...

Après l'avoir bien faire souffler, je l'envoyais au petit galop vers un vertical de 50 cm. Guaranah sautait très facilement, en ronfflant bruyamment d'un air de dire : `C'est trop petit` Je la caressais et je l'envoyais directement sur un vertical de 80 cm. Cette fois, je mettais bien mes jambes devant, et Guaranah sautait très au-dessus, et j'accompagnais bien le saut. Je la fasais revenir encore 3 fois dessus, et elle sautait à chaque fois très bien. Ensuite je l'envoyais sur un oxer d'1 mètre. Je mettais mes jambes, et la grise dressait les oreilles. Elle franchissait proprement l'oxer, et j'acompagnais bien le saut, me penchant sur son encolure au planer, et me rédressant à la réception.

» C'est parfait ! On enchaîne maintenant ?!

» Parcours

1. Vertical / 50 cm
2. Vertical / 80 cm
3. Oxer / 1 m
4. Spa / 70 cm
5. Bidet / 1 m
6 a. Oxer / 1 m
6 b. Vertical / 1 m
7. Rivière / 80 cm

Après avoir bien retenu mon parcours, je mettais ma ponette grise sur un cercle au petit galop, la mettant en place. Puis je la guidais vers le n°1, un petit vertical. Guaranah voullais accélèrer, mais je la gardais au petit galop. Elle sautait avec franchise le vertical, et je la dirigeais vers le deuxième, aussi un vertical. La jument grise bondissait souplement par-dessus, et sautait parfaitement bien, et j'accompagnais bien le saut. A la réception, je la faisais tourner à droite, et je l'envoyais vers l'oxer. Guar' s'ébrouait vivement, et je la tallonais tout aussi vivement devant l'obstacle. Elle faisait un bond de 3 mètres au-dessus de l'oxer, et j'accompagnais bien le saut, avec un sourire aux lèvres, regardant le suivant À la réception, je fasais tourner sèchement la jument à gauche, la dirigeant vers le n°4. Le spa était flash, mais la jument ne fus pas impréssioner ... Je lui mettait un coup de tallon devant, car j'étais sûr qu'elle allait s'arrêter ... Elle s'arrêtait, et je la tallonait vivement.. Elle sautait vivement, pratiquement de l'arrêt, alors je la caressais à la réception, et je reprenais mon parcours. Le 5 était un bidet, ce que Guaranah adorait Elle prenait son petit galop tranquile, et sautait parfaitement bien le bidet, et j'en était étonnée. Je l'envoyais vers le grand double à 2 foullées. Elle franchissait avec douceur le premier, un oxer. J'accompagnais vraiment bien le saut, puis je me redressais à la réception. Je comptais deux foullées, et Guaranah sautait. Je me mettait en équilibre, me couchais sur son encolure au planer, et me redressais à la réception. Je lui donnais une légère caresse sur l'encolure, et je la dirigeais au petit galop sur le dernier, une rivière. Guar' hésitait un peu, mais je fasais claquer ma langue, et la tallonait doucement. Elle sautait la rivière en regardant un peu, alors je la faisais revenir dessus. Elle ne regardait pas, et sautait parfaitement bien.

Alors je la caressais et je la repassais au trot et au pas, la laissant souffler pendant plusieurs minutes. Puis je descendais au milieu de la carrière, remontais mes étriers et la dessanglais de 2 trous, et je la rentrais à l'écurie.

» C'est super ma chérie ...

Je desellais la jument devant son box, puis je lui passais son licol. Ensuite je lui passais un bon coup d'étrille, de bouchon et de brosse douce, nettoyant son corps de ofnd en comble. Ensuite je lui curais soigneusement les pieds : il était temps que je l'emmène chez le maréchal ... Je lui retirais ses protections, et je lui grassais les sabots. Je la faisais marcher dans l'écurie pour que ses pieds sèches, puis je la rentrais au box, et je lui faisais un gros beuwzOuw.

» A d'main ma chérie !

Je la caressais une dernière fois, puis je quittais le box, et je disais au revoir à Cajou'. Et je quittais enfin le domaine ...

» Cross & Pré de Guaranah

J'arrivais à l'écurie le jour suivant la vente de Géronimo, c'est à dire le Vendredi 6 Juillet. J'avais vendu mon hongre car je n'avais pas le "feeling" avec lui, alors que je me sentais super bien avec Guaranah ... J'allais donc au box de ma charmante demoiselle, et j'ouvrais le box, la grise tournant sa tête fine vers moi, en poussant un hennissement étouffer.

» Coucou ma belle ... Alors, bien dormi ?

La jument s'avançait vers moi, posant ses naseaux contre mon épaule. Je lui caressais longuement l'encolure, puis je lui donnais sa ration. J'allais chercher mes brosses et mon matériel, pour faire du Cross avec Guaranah. J'allais au box de Guar', et je rentrais dedans. La jument avait presque finit de manger, mais je la brosserais quand même dans son box. Donc, je prenais mon étrille, et j'étrillais la jument en faisant des cercles circulaires. Ensuite je prenais mon bouchon, et je bouchonnais longuement la jument en frottant de temps en temps le bouchon sur l'étrille pour enlever la poussière et les poils, et surtout, pour ne pas remettre tout sur la jument une seconde fois. Puis je prenais ma brosse douce avec de la soie dedans, et je brossais tout le corps de la jument, les membres et la tête compris. Ensuite je prenais mon peigne, et je déméllais la queue et la crinière de la grise. Pour finir mon pansage, je prenais mon cure-pied, et je curais soigneusement les pieds de Guaranah, les brossants bien aussi, pour qu'ils soient nickel.

» Et voilà ma fille !

Je mettais mon filet simple avec mon mors à aiguille à la jument. Ensuite je lui posais mon tapis, ma selle sur le dos, et je la sanglais avec ma sangle bavette. Puis je lui mettais des guêtres de cross, des protèges-boullets et des cloches. Je mettais mon casque de cross, mes gants, mon gilet de protection, et je prenais ma cravache au cas-où. Puis je sortais la jument du box, et je la menais à la cour, ou je montais.

» En route vers le terrain de Cross !

Je pressais doucement les flancs de ma jument, et je ressanglais pendant qu'elle marchait vers le sentier qui bordait la carrière, et pénétrait dans la forêt. Je lançais la ponette au trot sur le sentier, en la laissant rênes mi-longues, pour qu'elle puisse regarder autour d'elle, et ne pas s'inquiéter. Je changeais souvent de bipède diagonale pour ne pas fatiguer la même épaule de ma jument, et enfin, on arrivait devant la forêt, je repassais donc ma jument au pas.

» Bien ma grande ...

Je ressanglais de deux trous, et je marchais ma jument au pas dans la forêt, pour l'habituer à ce nouvel environement. Enfin, je lui demandais un départ au galop à droite. Guaranah s'élançait, et je me mettais en équilibre, laissant la jument galoper à une bonne vitesse. Je sentais les muscles de la jument sous moi, sa crinière mi-longue me chatouillant le nez Enfin je la repassais au trot, et je la trottais un peu. Puis je lui demandais le galop à gauche, la jument démarrant comme une folle, allongeant progréssivement son allure puissante, le vent soufflant dans mes oreilles. Mes yeux pleuraient tellement la jument allait vite, et j'avais beaucoup de mal à la ralentir. J'arrivais enfin à la repasser au trot, puis au pas. Je la caressais, et je la laissais marcher rênes longues, car elle était déjà fatiguée ...

» Ben dis-donc ... T'es pas un peu folle toi ?

Je souriais légèrement, et je déchaussais mes étriers, me reposant en même temps que ma jument. Enfin, elle reprenais progréssivement son souffle et son énergie, et on arrivait finalement au terrain de Cross. Je rechaussais mes étriers, et je reprenais mes rênes, flattant la jument. Je la mettais au petit trot, la dirigeant sur un mini tronc. La jument sautait avec beaucoup d'aisance et de puissance, et j'accompagnais bien son saut. Ensuite je la lançais au petit galop sur une haie, pratiquement de 50 centimètres, à vu d'oeil^^ Guaranah sautait toujours aussi bien, avec son style bien à elle, en dégageant bien ses postérieurs. Cette fois, je la lançais au galop, et je la dirigeais vers un contre-bas. La jument hésitait à sauter, mais je lui mettais un coup de cravache sur l'épaule, et elle sautait, attérissant dans le gué. Je la tallonais, et je la dirigeais vers un bâteau blanc et bleu. La jument s'élançait avec souplesse au-dessus de l'obstacle, et j'accompagnais bien le saut.

» Allez !!

J'encourageais un peu la jument, pour qu'elle allonge ses foullées, plutôt que de me servir de mes jambes ou de ma cravache. Guaranah bondissait dans le gué, et on sortait du gué au grand galop. Je reprenais un peu ma jument, la dirigeant devant un parc à mouton, assez long. Je mettais bien mes jambes devant, Guaranah hésitant à peine, et sautant avec souplesse le parc, réceptionnant parfaitement bien. Ensuite je la galopais un peu vers le dernier obstacle, une trompette en cuivre. La ponette dressait les oreilles, et sautaient parfaitement bien, ainsi que moi. Je flattais la grise, et je la repassais au trot et au pas, déchaussant mes étriers, et la laissant rênes longues.

» T'es forte ma grande !

On prenait le chemin du retour au pas, tranquillement. Une fois de retour à Endless Competition, je descendais de Guaranah, et je la rentrais au box. Je la desellais, et je la laissais se reposer un peu avant qu'elle aille au pré. Je la pansais donc de fond en comble, en insistant bien sur ses membres humides, et sur tout son corps ensuite. Puis je lui curais soigneusement les pieds, enlevant des cailloux, de la boue. Je les séchais ensuite avec une serviette, puis je déméllais soigneusement les crins de la jument, pour qu'elle soit toute belle.

» Et voilà ! On va au pré maint'nant ?

Je menais la jument au pré, ou je la lâchais pour toute la journée. Ensuite je rangeais mon matériel à la sellerie, et je quittais EC.

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» S E A N C E . D E . S A U T . D' . O B S T A C L E S . 14/07/07

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Après que ma petite demoiselle eu passer plusieurs jours de repos, je me décidais de l'entrainer pour le saut d'obstacles. Je passais à son box, et je lui donnais sa ration, lui ôtait sa couverture et ses bandes, que je mettais directement à laver. Ensuite je partais chercher mon matériel de saut d'obstacles, et je déposais tout devant le box de ma ponette. Je rentrais dedans, et je caressais le corps "crasseux" de la grise ...

» Bouh ... Pas propre tout ça !

Je souriais et je prenais mon étrille, étrillant vigoureusement la ponette. Ensuite je prenais mon bouchon, et je bouchonnais avec soin la belle robe de la ponette. Pour finir son poil, je le lui lustrais avec soin grâce à la brosse douce. Ensuite je lui déméllais soigneusement la queue et la crinière grâce à mon peigne à crins. Une fois qu'elle était presque propre, je lui curais soigneusement les pieds. Puis je lui flattais l'encolure, mademoiselle ayant finit de manger.

» Et voilà ma belle !

Je lui passais mon filet d'obstacle, et je lui mettais ensuite un tapis, un amortisseur et ma selle d'obstacle. Puis je lui mettais une sangle bavette, un collier de chasse avec martinguale. Enfin, je lui enfillais des guêtres et des protèges-boullets, puis je mettais mon casque, mes gants et je prenais ma cravache.

» C'est partit ! On va pas sauter haut, hein !

Je menais donc ma ponette à la carrière de saut d'obstacle, et je rentrais dedans. Une personne était déjà en train de s'entrainer, alors je me dépêchais d'arrêter ma ponette dans la carrière. Je ressanglais, descendais mes étriers et je me mettais à cheval. Je réglais soigneusement mes rênes, et je pressais doucement les flancs de ma ponette. Elle s'élançait d'un pas actif et souple, en secouant doucement la tête, observant les alentours. Après l'avoir fait marcher bien activement, je lui pressais doucement les flancs de mes mollets, la grise démarrant au galop en coup de culs.

» Hey oh !!

Je me redressais, fermais mes doigts et mes jambes, comme si je voullais arrêter ma ponette. Elle ralentissait, et je la remettait au trot. Je la faisais trotter d'un trot rapide et sans la laisser prendre le galop, la ponette trottant avec puissance et vitesse, semblant garder toujours sa fougue dans le ventre. Après l'avoir fait trotter à main droite, je changeais de main en la repassant au petit trot sur ma diagonale. Je remettais ensuite la ponette au grand trot, la forçant à bien avancer pour ne pas qu'elle molisse. Elle faisait quand même de temps en temps une foullée de galop, alors je la reprenais, et je la repassais de nouveau au trot, et je continuais la détente. Après de longues minutes, je la repassais au pas, et je la laissais souffler tranquillement.

» Bon ben voilà ... Faut être plus calme quand même ma grande ...

Une fois que ma ponette avait bien reprit son souffle, je l'envoyais au petit trot sur un mini vertical de 30 centimètres. América sautait très au-dessus de la barre, avec une bonne détente pleine de puissance. Je la caressais, et je la ramenais au petit galop sur la barre. Plus à l'aise, Guaranah sautait plus simplement, en troussant bien des antérieurs. Je la caressais, et je l'envoyais au trot sur un vertical de 70 centimètres. La ponette sautait bien et sans hésitation. Je la ramenais de nouveau sur l'obstacle au petit galop, et elle sautait en levant bien les postérieurs, avec beaucoup de style.

» C'est bien ! Un oxer et c'est finit !

Je lançais donc ma ponette au trot sur un oxer de 80 centimètres. Elle sautait en dégageant toujours bien ses postérieurs, et en troussant bien des antérieurs, en utilisant un peu trop son dos à mon goût ... Je la caressais quand même, et je la mettais au petit galop, la lançant sur l'oxer. Elle le franchissait avec beaucoup d'aisance et de grâce, en utilisant moins son dos, mais en se propulsant encore plus au-dessus de la barre, provoquant un saut très puissant et un peu destabilisant. Je caressais la ponette et je la repassais au pas, rênes longues et je déchaussais mes étriers.

» C'est bien ma fille ...

Après l'avoir bien marcher, je l'arrêtais au milieu de la carrière, et je mettais pied à terre. Je remontais mes étriers, dessanglais, puis je menais la ponette à son box. Je la desellais, puis je lui ôtais ses protections. Je rangeais mon matériel, puis je retournais ua box de ma ponette. Je lui passais un bon coup de bouchon et de brosse douce, puis je lui curais les pieds, et je lui déméllais la queue et la crinière. Enfin je lui donnais une pomme, puis je lui embrassais les naseaux.

» Au revoir, à d'main ...

Je sortais du box et fermais la porte, puis je partais ...

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» S E A N C E . D E . S A U T . D' . O B S T A C L E S . 14/07/07

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Comme on s'entrainait pour le concours de saut d'obstacles cette semaine, je décidais de bien entrainer ma ponette au saut d'obstacles. J'allais donc à ma sellerie, et je prenais mon matériel d'obstacle et mes brosses. Ensuite je me dirigeais au box de ma ponette, et je déposais tout devant son box. Je rentrais dedans, et je caressais longuement la grise, tout en lui donnant sa ration. Une fois que je fus certaine qu'elle était bien en forme, je lui passais un bon coup d'étrille, de bouchon et je lustrais son poil avec la brosse douce. Ensuite je lui déméllais la queue et la crinière, puis je lui curais et lui graissais soigneusement les pieds.

» Voilà ma Belle !

Je caressais la jument, et je lui mettais des guêtres, des protèges boullets et des cloches aux antérieurs. Ensuite je lui mettais mon tapis, ma selle et mon amortisseur, puis je la sanglais. Je lui passais ensuite son filet simple, et je la caressais. Ensuite j'enfillais mes gants, ma bombe et prenais ma cravache. Je sortais la ponette du box, et je la menais à la carrière, même s'il commençait à pleuvoir légèrement.

» C'est partit !

Une fois arrivée dans la carrière, je fermais la porte. J'arrêtais ma ponette au milieu du manège, puis je ressanglais et dessandais mes étriers. Enfin je mettais pied à l'étrier, et je montais souplement en selle. Je chaussais mes étriers, reprenais mes rênes, et je pressais doucement les flancs de ma grise, qui s'alançait au pas, fouettant l'air de sa queue vivement. Je la faisait bien marcher et activement pendant quelques minutes, puis je la mettais au trot, la faisant trotter rapidement. Je changeais souvent de main, en faisant quelques cercles très court et des serpentines, pour travailler la souplesse de ma ponette. Après l'avoir bien fait trotter, je la repassais au pas et je la caressais.

» Bien ma toute belle ...

Après avoir ressanglée la jument, je la lançais au petit galop. Je me mettais en équilibre, et je la faisais galope run peu à chaques mains, en la faisant avancer et ralentir, en m'aidant de mon haut du corps. Ensuite je la repassais au trot, et je la dirigeais sur une croix. J'accompagnais bien le saut souple de ma jument, et je revenais plusieures fois. A chaque fois, Guaranah me faisait des beaux sauts agréables et souple.

» C'est bien !

Ensuite je l'envoyais au petit galop sur un vertical assez bas. Guaranah sautait très bien, alors je la félicitais. Je revenais plusieurs fois sur le vertical, la grise sautant toujours aussi bien, avec beaucoup d'aisance et de puissance. Je la caressais et je la laissais un peu souffler. Puis je reprenais mes rênes, et je caressais légèrement la ponette, en lui gratouillant doucement l'encolure.

» On y va ?

Je plaçais mes aides du départ au galop, et la ponette s'élançait souplement. Je la dirigeait vers la croix, en restant bien à ma place. Je suivais proprement son saut, me redressant à la réception. Puis j'effectuais un tournant léger à gauche, dirigeant la grise vers un double à deux foullées, une croix et un vertical. Le premier obstacle se faisait parfaitement bien, la grise sautant avec beaucoup d'aisance. Elle faisait deux foullées bien propre, et j'accompagnais bien son deuxièmes saut. Je la faisais tourner de nouveau à droite, la dirigeant vers une haie. Guaranah dressait les oreilles, et je mettais mes jambes devant l'obstacle. Elle le franchissait en regardant, mais tant pis. Ensuite je tournait de nouveau à gauche, pour re-sauter le numéro 1. Je dirigeais bien ma ponette au milieu de l'obstacle, qu'elle franchissait avec aisance et souplesse. Je la faisais tourner ensuite de nouveau à gauche, en passant derrière le double. Je la dirigeais vers un nouveau double, croix et vertical. La ponette sautait souplement la croix, et faisait deux foullées souple et propre, franchissait le vertical sans problème. Je faisais un virage assez sérré à gauche, la dirigeant vers la haie barrée. Je mettais mes jambes, et Guaranah sautait souplement, sans trop regarder cette fois.

» Bravo ma grande !!

Je caressais fortement ma jument, la repassant au trot et au pas. Ensuite je la laissais souffler rênes longues, en lui faisant un gros calin. La grise ronfflait bruyamment des naseaux et s'ébrouait. Je manquais de tomber, mais je me redressais de justesse, et déchaussais mes étriers, marchant la ponette au pas.

» Tu vois, on viens de faire le parcours du concours ... Il faudra être comme ça, hein !

Après je l'arrêtais, et je mettais pied à terre. Je remontais mes étriers et je la dessanglais de deux trous. Puis je la dirigeais vers son box. Je lui enlevais tout son matériel, et je lui retirais aussi les protections. Puis je sortais du box, et je ramenais tout mon matériel à la sellerie, mettant mon tapis à sécher au soleil, car Guaranah avait transpirer ... Ensuite je retournais à son box, et je voyais que ma ponette s'était roullée Je la caressais et je lui flattais ensuite l'encolure. Puis je prenais mon étrille, et j'étrillais soigneusement la jument. Ensuite je lui passais un bon coup de bouchon, enlevant la paille de ses crins. Pour finir je lui passais un coup de brosse douce, puis je lui caressais l'encolure. Je lui curais ensuite soigneusement les peids, et je lui déméllais la queue et la crinière.

» Voilà ma chérie ! Demain on ne travaille pas ...

Je la caressais et je lui donnait sa ration : un bon mash fait maison ! PUis je lui embrassait les naseaux, et je quittais son box, rentrant chez moi ...

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» S E A N C E . D E . S A U T . D' . O B S T A C L E S . 18/07/07

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J'arrive après être allez chez le vétérinaire, avoir manger, et m'être occuper de Diligente, la jument que j'avais en Demi-Pension. J'arriva donc vers mon casier à 18 heures, mais je ne croisa personne, à part Blue Minnow qui courrait apèrès une sourie. Je sourit, et ouvrit mon casier, attrapant mon vallet d'écurie. Je posa mes affaires de CSO dessus, puis je ferma mon casier, glissant la clef dans ma poche. Je me dirigea vers le bureau de CajOu', mais elle n'était pas là, et son bureau était fermer .. J'haussa les épaules, et je partit vers le box de mon étalon. Je pousa mon vallet d'écuries, et je partit voir Diligente. Je lui fit un petit coucou, et je lui caressa doucement les naseaux.

- Désoler, je vais monter Guaranah, à plus tard peut-être !

Je lui caressa les naseaux, lui collant un bisous sur le chanfrein. Puis je me dirigea vers le box d'Imagination, passant voir Géronimo un peut avant, mais il n'était pas là .. Je soupira, et je partit voir Guaranah. J'ouvrit doucement la porte, et elle dressa les oreilles et la tête, henissant doucement, en dilatant les naseaux. Je lui sourit, et lui caressa le chanfrein.

- Alors ma belle .. Prète pour le concour de CSO ? On va s'entrainer, et on va être les meilleurs, tu verra !

Je lui fit un 'tit calin, puis j'attrapa mon licol, et je lui passa. Je la caressa, et je la sortit de son box, fermant la porte derrière elle, et l'attachant fermemant. Je prit mon étrille, et commença à étriller vigoureusement la jument, celle-ci me regardant faire, sa queue chassant les mouches. Puis je posa ma brosse, et je prit mon bouchon, la bochonnant tout en lui racontant mes souci. Je posa ma brosse, et je prit ma brosse douce. COntinuant à lui parler, et la regarder m'écouter, je lui brossa les menbres, et je prit ma brosse de tête. Je lui brossa doucement la tête, puis je rangea mes brosses, prenant ma brosse à sabots et mon cure-pieds. Je lui cura les pieds, les brossant ensuite avec soin. Je la caressa, toujours en train de lui parler. Je prit ma graisse et mon pinceau, et je commença à lui graisser soigneusement les pieds, puis elle me poussa les fesses avec ses naseaux, et je finit son sabot à genoux. Je rangea mon matos, et je prit mon éponge, nettoyant les naseaux et les yeux de la jument, avant de la ranger, et de ranger tot mon matériel de pansage. Je prit mon filet de CSO, et je mit le licol en collier de chien à la jument. Je la caressa longuement, tout en lui enfillant le filet. Elle ouvrit tranquillement la bouche, et je lui inséra le mors dans celle-ci. Je ferma la muserolle, et la sous-gorge, et je la caressa. Je décoinça le toupet, avant de prendre mon tapis. Je lui posa sur le dos, puis je la caressa, et je mit mon amortisseur sur son dos. Je prit ma selle, et la posa sur son dos, puis je passa mes sanglons dans les passant, avant de prendre ma sangle-bavette. Je l'attacha, et je la passa dans les passants de sangle, puis je sangla. Je règla mes étriers, et je caressa la jument. Je dégarota, puis je prit mes guêtres. Je lui mit aux antérieurs, puis je prit mes cloches, et je lui mit aussi, mettant la fermuture derrière les glomes. Je prit mes protèges-boullets, et je lui mit, puis je lui tapota doucement le flanc, la jument me regardant en soufflant doucement.

- Prète championne ?!

J'enfilla ma Bombe, et je mit mes gants, les fermants fermement. Je rangea rapidement mon matériel qui trainait partout dans mon vieux vallet d'écuries, et j'attrapa ma cravahce au passage. Je détacha Guaranah, mettant le licol dans le box, le passant par les barreaux. Je caressa la jument, et je me dirigea vers le Carrière de CSO. J'arriva dans la carrière, et je ferma la porte derrière Guaranah. Elle frémit doucement, regardant les obstacles autour d'elle. Elle piaffa pendant que je fermais la porte, puis je l'arreta au milieux de la carrière qui avait plusieurs obstacles. Je vérfia le matériel de la jument, puis je ressangla, et je descendit les étriers. Je rassembla mes rênes dans ma main gauche, prenant mon étrier dans l'autre main. Je glissa mon pied dans l'étriller, et attrapa le troussequain avec ma main droite. Je monta souplement, et m'assit doucement pour ne pas lui faire mal au dos. Je la caressa, et je chaussa mes étriers, puis je la mit au pas sur la piste. J'utilisa mon poid du corps pour lui faire prendre un pas actif, mais pas rapide. Je la fit marcher un peut au deux mains, puis je ressangla doucement d'1 trous.

- Ho là bonhome !

La jument avait fait un écart à cause d'une souri, et je m'était retrouver par terre, car ma postition était .. Spéciale ! Je remonta doucement, et je caressa la jument. Elle se calma, et je la fit marcher un peut sur un cercle au deux mains, puis je lui pressa doucement les flancs de mes mollets. Elle se lança tranquillement au trot, et je lui fit prendre un trot de travail. Je me mit au trot en lever, et je mit Guaranah sur un cercle. Je lui fit agradir et racouricr le cercle, ce qu'elle fit bien au début, et très bien après quelques cercles. Puis je lui fit travailler l'allongement et reprendre un petit trot sur la piste. Elle s'améliorais à vu d'oeil, et écoutait tout ce que je lui demandait. Comme elle s'éxécutait très à main droite, je changea de main par une diagonale. Je changea de pied en X, lui faisant dévelloper le trot. Je la reprit, et je la lança doucement sur une serpentine, au trot assis. Je lui fit faire plusieurs fois, lui demandant l'incurvation. Elle s'éxécutait très bien, alors je la caressa. Je la flatta, puis je la fit repasser au pas, la laissant souffler. Je ressangla doucement, puis après 2 minutes, je sourit.

- C'est très bien ma grande .. Tu est géniale !!

Je lui caressa doucement l'encolure, puis je lui pressa doucement les flancs, jambe droite à la sangle, et jambe gauche reculer. La jument se lança au galop, se mettant en place. Je la caressa, et je la mit en cercle, lui faisant prendre une allure souple et ample, avec un certaine rapidité. Je lui fit éllargir et rapetrécir le cerce, Guaranah le faisant très bien. COmme elle travaillait bien sur le cercle, je changea de main sur une digonale, lui faisant développer le galop. Je la reprit souplement, et je la fit galoper tranquillement sur un cercle, sans faire d'éxercice. Puis je la caressa doucement, et je la remit sur la piste. Je l'envoya souplement sur des barres au sol, et elle les passa sans encombre, avec souplesse. Je lui fit faire aux deux mains, passant les barres au sol, tournant à gauche, repassant les barres au sol, tournant à droite, ect .. Quand j'eu finitla petite détente, et après lui avoir fait passer 5 fois au deux mains une croix et un vertical de 50 centimètres, je repassa au trot et au pas.

- Bien ma fille ! On enchaîne ?

Je Lança doucement la jument au petit galop, après l'avoir fait marcher 5 minutes.

- Vertical [ 1 m ] : Je poussa Guaranah doucement vers le vertical, celle-ci adoptant un bon galop souple et ample, la tête mi-haute. Elle franchit souplement le vertical, et je la caressa doucement.
- Oxer [ 50 x 1 m ] : Je l'envoya un peut sur la droite car c'était une ligne briser. Je mit doucement mes jambes, la jument avançant un peut plus. Elle frnahcit avec souplesse l'oxer, et je sourit.
- Spa [ 90 - 1 m - 1.05 m ] : Je la fit tourner à droite, et je l'envoya vers l'obstacle. Je le poussa doucement, et la grise franchit l'obstacle avec souplesse et facilité, alors je la caressa.
- Double Verticaux [ 1 - 1.05 m ] : Je tourna à droite, la jument tournant souplement, ses foullées s'allongeant gracieusement devant le double. Guaranah sauta avec élégance le premier vertical, enchaînant avec style sur le deuxième.
- Mur [ 1.05 m ] : J'envoya doucement le cheval sur la gauche, et elle se trouva face au mur. Je la poussa doucement avec mes jambes, faisant claquer ma langue. Elle sauta avec souplesse, et je la félicita avec ma voix.
- Vertical [ 1 m ] : Je la fit tourner à droite, et je la poussa doucement vers l'obstacle. La grise s'élança doucement, et franchit le vertical avec agilité et style, sans sauté en cloche pour autant !
- Oxer Polonais [ 70 x 1.05 m ] : Je la caressa, et je la fit tourner tout de suite à gauche, sur un tournant sérré. Guaranah se retourva devant l'oxer Polonais, qu'elle franchit avec souplesse.
- Bidet [ 1 m ] : Je la fit tourner à droite, et je l'envoya devant le bidet. La grise allongea doucement ses foullées, et elle s'élança longuement sur le bidet, le franchissant avec une ainsance apparente.

Je la caressa, le faisant repasser au trot et au pas. Je la fit marcher 5 minutes un peut partout dans le manège, puis je l'arreta, et je mit pied à terre. Je remonta mes étriers, et je dessangla, Guaranah se frottant à moi.

- Tu était géniale Championne !!

J'ouvirt la porte du manège, et je la rentra à l'écurie. Je la mit devant son box, et je la caressa longuement, tout en lui enlevant son filet. Je la caressa encore un peu, tout en lui passant mon licol. Je l'attacha, et je dessangla la jument. J'enleva ma sangle, et la posa sur mon vallet d'écurie. Je la flatta, et j'enleva ma selle, mon amortisseur et mon tapis. Je lui massa le dos comme l'avait fait CajOu', et je fût presque satisfaîte. Puis j'enleva les protections de la jument, tout en lui caressant les menbres. Ensuite, j'enleva ses cloches, et je vérifia ses tendons.

- Tout est en ordre ma chérie ...

Comme elle ne transpirait pas beaucoup, je n'allait pas la doucher. En plus, il était déjà 19 heures 30 !! Je flatta la jument, et je prit mon bouchon. Je la bouchonnna longuement, puis je la caressa, et je prit ma brosse douce. Je lui brossa les menbres et le corps avec soin, et je prit ma brosse de tête. Je lui brossa doucement la tête, tout en lui parlant, et lui caressant le chanfrein. Je la flatta, et je prit mon cure-pieds et ma brosse à sabots. Je lui cura soigneusement les pieds, et je les brossa. Ensuite je lui graissa doucement les pieds, puis j'ouvrit la porte du box, la détachant. Je la caressa, et je détaca le licol, l'étalon rentrant dans son box. Je lui donna une carotte, puis je ferma la porte, et je rangea rapidement mon matériel.Je rangea mon, matériel, puis je revint avec mon licol vers le box de Guaranah. Je lui passa le licol, et je la sortit du box.

- On va au pré ma belle ...

Je l'emmena au pré, la jument marchant docilement près de moi, car je lui racontait mes problèmes, et ceux de ma soeur, qui était dans une Académie nulle, ou on ne tenait pas compte de ses entrainements. Je lacha la grise dans le pré après avoir ouvert la porte, lui laissant le licol. Je ferma la porte, et je partit chercher sa nouriture. Je lui versa dans un coin du pré, avec du ofin, et je la laissa manger en paix. Je sourit, et je partit dans ma Subaru, sachant que le Chien-Loup m'attendait à la maison ..

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» S E A N C E. DE . T R O T T I N G . 19/07/07

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Je me lève vers 8 heures 30. Je me lave, et je m'habille, puis je descends déjeuner. Je déjeune tranquillement, puis je range mes n'affaires, mets mes bottes en cuir toute neuve, et je sort de la maison. Je grimpe rapidement dans ma voiture, une Subaru rouge toute neuve ! Je démarre, et sort rapidement.
J'arrive au Haras à 9 heures 15, je gare ma voiture au parking, et je sort. Je claque la portière, et je salue une fille que je connaissait pas qui était arrivée elle aussi en voiture. J'ouvrit le coffre, attrapa rapidement deux, trois trucs, puis je le referma. Je me retourna, appuyant sur le bouton de ma clef, ma voiture faisant un 'Biiip!' strident. Je sourit quand je surpris un Palfrenier en train de 'baver' sur ma voiture, et je ris doucement, quand il se prit une tapette de CajOu' sur la tête.

[ CajOu' ]- On travail ici, on r'garde pas les tutures !
[ Mwa ]- Hello m'dame !
[ CajOu' ]- Salut toi !! C'est ta voiture ? Elle va être pleine de bave ..

Je lui fit la bise, et éclata de rire à sa dernière phrase.

[ Mwa ]- Tu crois ? Bon, j'vais monter mon n'amour ! Fait un bisous à Blue Minnow de ma part !
[ CajOu' ]- J'y manquerait pas ! A bientôt !

Je m'éloigna, lui faisant un signe de la main, affichant un grand sourire. Je me dirigea vers mon casier, et je l'ouvrit avec ma clef. Je prit mon vallet d'écurie que je trainais depuis ma voiture, et je déposa mon matériel dessus, avec ma selle mixte, mes affaires de pansage, ma bavette, ma Bombe, ma cravache, ect .. Puis je posa mon sac à main dedans, et ferma la porte du casier, prenant soin de bien vérifier avant qu'on ne m'avais rien voller^^. Je ferma à clef, fourrant la clef dans une poche sérrer de mon Jodpurt. Je pose mon vallet d'écurie devant la porte du box, un boullon se démontant sèchement.

* Roow .. C'est pas parce que ta 15 ans qu'tu dois t'démonter, qwa ! *

Je remit le vieux boullon tout rouiller avec difficulter, et je deposa tout sur le accrochement du mur. Guaranah m'entendant, elle dressa les oreilles, sortant ses naseaux par la grille de la porte. Me reconnaissant, elle poussait un long henissement de joie, tout en tabassant la porte de son sabot xD. Je lança un 'Hèè!' grave, la jument se calmant sur le champ.

- Alors ma fille ?

Prenant mon licol, j'ouvirt la porte du box, et rentra dedans, la ponette piaffant d'éxitation et de joie. Je sourit, et lui flatta souplement l'encolure. Je lui passa le licol, et la fit sortir du box, fermant la porte derrière elle. Je l'attacha à la ficelle qui pendait de l'anneau, et je lui fit un gros calin. Guaranah me poussa les fesses avec ses 'tits naseaux, ronfflotant doucement. Je la flatta, attrapant mes brosses. Je prit mon étrille en fer, et je commença à l'étriller soigneusement, enlevant des couches de poils ternes. Je posa ma brosse une fois finit, et je prit le bouchon en chien-dents. Je commença à la brosser soigneusement, lui déméllant la queue et la crinière. Je la
caressa, et je reposa ma brosse, attrapant mon bouchon à poil longs. Je la brossa rapidement, et je sourit quand elle se gratta la tête avec le postérieur, se mettant de la terre sur la joue^^. Je prit ma brosse douce, et lui brossa à rebrousse-poils, puis dans le sens du poils. Je lui nettoya la tête soigneusement avec la brosse de tête, puis je sortit mon cure-pieds et ma brosse à sabots, rangeant les autres brosses. Je lui cura avec soin les pieds, les brossants soigneusement ensuite.

- Et voilà !

J'attrapa mes guêtres, et je fit glisser ma main le long de son antérieurs, puis je lui mit la guêtre. Je fit pareil pour l'autre antérieur, puis je prit mes protèges-boullets. J'attacha le premier sous le jarret, puis je le fit glisser jusqu'au boullet, faisant pareil avec l'autre. Je prit ma paire de cloches, et je mit la première a l'antérieurs, les scratchs devant le sabot. Je la ferma tranquillement, puis je la retourna, les scratchs derrière les Glomes. Je flatta la grise, et j'attrapa mon tapis. Je lui posa sur le dos, et posa ma selle mixte par-dessus. Je la sangla doucement, et je lui mit le licol en 'collier de chien'. Je prit mon filet simple, et je lui mit tranquillement, mettant mon collier de chasse. Je l'attacha tranquillement, puis je mit ma bavette. Je ressangla, et je flatta Guar'. Je mit mes gants, prit ma cravache, et enfilla ma Bombe, puis je détacha la jument. Je passa le licol entre les barreaux du box, rangeant rapidement mon matériel.

- C'est partit !

Je descendit mes étriers, et monta en m'aidant du murret près de la carrière de CSO. Je traversa tranquillement la cour, et passa près du parking. Je regarda ma belleuw Subaru, souriante. Je fit marcher Guaranah jusqu'à l'orée du bois, puis je lui pressa doucement les flancs, mettant ma cravache sur ma cuisse. Je la fit trotter souplement quelques instants, admirant doucement le paysage. Guaranah se figea tout d'un coup, tremblotant de tout ses menbres. J'entendit des voix, puis je vit débouller des chiens qui courrait à fond les ballons. Enfin, des chien-loup poursuivit part des bergers. Affoler, la jument se cabra, moi, m'accrochant à sa crinière, et m'étant tout mon poids sur son encolure. Elle retomba lourdement au sol, partant à fond les ballons. Je joua dans mes doigts, lui soufflant des mots doux. Elle finit par s'arreter, et je rejoingnit les Bergers au grand trot.

[ Mwa ]- Je peut savoir ce que vous faîte ? J'aurais pût me tuer j'vous signal !!
[ Berger 1 ]- Baah ! Ces sales cabots ont voulluent nous manger une brebis !
[ Berger 2 ]- Wouais, et pis d'abord, z'avez rien à faire ici !!
[ Mwa ]- Correction, VOUS n'avez rien à faire ici ! Cet hectare de forêt appartiens à Endless Competition, alors maintenant, dégagez !
[ Berger 3 ]- Ca va ! Calmez-vous m'dame, ont dégage !
[ Mwa ]- Y a intéret !!

Je fit faire une pirouette à ma jument, qui s'éffectua rapidement, mettant un coup de queue au berger qui n'avait pas parler du tout. Il râlla fortement, et je gronda furieusement un 'FICHEZ-MOI LE CAMP TOUT DE SUITE !'. Il partir en courrant, et je reprit mon trotting en paix xD. J'envoya doucement la jument au trot, un trot assuré et cadencer. Quelques mètres plus loin, ont rencontra des biches avec leurs petits, ainsi que des cerfs. Ils s'éloignèrent du chemin, nous fixant avec des boows n'yeux. Je pressa doucement les flancs de la ponette, lui faisant prendre un trot plus rapide pour franchir un tronc. Elle s'élança, et le sauta avec facilité, sans faire une foullée de galop à la reception. Je la flatta, et j'apperçut le 'Yahou' non loin. Le Yahou, c'était un endroit plein de sable, de pente et de montée super bien. Le but était de passer dans un chemin à tel allure, sans ralentir, tomber ou accélèrer. Je lança donc la jument au trot dans une pente, qu'elle descendit joyeusement, moi pencher en arrière. Je la fit tourner direct à droite, prenant une montée avvec un tit' tronc. La jument le franhcit avec souplesse, puis je refit encore quelques montée et descente, avant de prendre le chemin du retour. Guaranah était en sueur, mais trottinait quand même d'un trot tranquille et sûr. Je la caressa quelques fois pendant le retour, et ont croisa des lapins à la place des biches, faons, et cerfs. Ils détalèrent à fond dans le fourrés, Guaranah les fixant comme si c'était des martiens xD. Arrivé à l'orrée du bois, je la fit repasser au pas, et je la flatta longuement. Je traversa le petit chemin qui longeait le parking, puis j'arriva au pas dans la cour. Je desncendit souplement après avoir arrêter Guaranah. Je remonta mes étriers, et le desangla de 2 trous. Elle s'ébroua, et je sourit doucement, avant de le rentré au box.

- C'était bien, hein ? A part les Bergers, mais bon ...

Je l'arreta devant la porte de son box, et lui défit le filet. Je lui passa mon licol à la place, et elle fortta sa tête contre moi pendant que je le désanglais. Je sourit, et lui poussa doucement le chanfrein avec ma main libre. Je détacha la sangle et le collier de chasse, brossant la sangle avant de la ranger avec le collier. Je passa ma main entre la selle et le tapis, attrapant le troussequain de la selle ave mon autre main. Je la souleva, et la posa sur le vallet d'écuries, qui chancela un peut. Je prit le tapis, le posant par terre au soleil. Je défit ma Bombe, mes gants, et posa ma cravache. Je détacha mes cheveux, et je les ratacha. Puis j'enleva les protections à Guaranah, et les brossa soigneusement. Je fit pareil avec les cloches, et je la détacha. Je l'emmena tranquillement à la douche.

- C'est que de l'eau, ma toute belle ...

Je l'attacha doucement à l'anneau de la douche, puis j'attrapa le tuyeau. J'ouvrit doucement l'eau, et règla la température à 23, avec un jet pas trop fort. Je passa mon pouce entre le tuyeau et l'eau, et je commença à rincer les menbres de la jument avec soin, passant mon autre main derrière le jet d'eau pour enlever le sable sur ses menbres. Je le caressa quand j'eu finit, et je rinça mes protections, les laissant sècher sur le murret de la douche avec d'autres. Je détacha la jument après avoir couper l'eau, et je la fit sortir de la douche, le rentrant au box.

- À la maison ma fille !

Je la rattacha devant le box à l'anneau, tout en la carressant. Ses menbres avait sècher avec la chaleur de ce matin ensoleiller. Je prit mon bouchon, la brossant entièrement, puis je le posa, et prit la brosse douce. Je la brossa à rebrousse poil, puis dans le sens du poil. Je lui brossa les menbres, et la joue. Puis je lui brossa avec soin la tête, et je la posa, prenant ma brosse à sabots et mon cure-pieds. Je lui cura les pieds, et les brossa avec un soin infini. Puis je lui donna un demi sucre, et je la détacha. J'ouvrit la porte de son box, et je la fit rentrer dedans. Je détacha son licol, et je sortit du box, le fermant derrière moi.

- Au revoir ma puce ...

Je partit avec mon vallet d'écuries, ayant prit soin de ranger mes brosses. J'arriva à mon casier, et attrapa difficilement ma clef dans ma poche. J'ouvrit le casier, et rangea mes affaires dedans, prenant une pomme. Je partit à la Grange, et je prit l'avoine, le foin, et l'orge de Guaranah. Je revins à son box, l'ouvrit, et lui donna sa ration avec la pomme couper en morceaux dedans. Je lui mit son foin dans le filet à foin, et je la calina doucement. Puis je sortit de son box, et ferma la porte derrière moi, m'éloignant.

- * Siffle xD *

Je discuta avec deux trois filles, puis je repartit à mon casier, prenant mon sac à main. Je me dirigea vers le parking, croisant Blue Minnow. Je lui caressa la tête, et elle filla quand CajOu' l'appella. Je discuta un peut avec elle, et je m'avança vers ma Subaru rouge, mais .. Elle n'était plus là ! Je poussa un cris d'horreur, mais en faîte, elle est cacher par un immense 4x4. Je soupira, et lança un sourire d'excuse à CajOu' qui me regardait comme si j'était complétement folle xD J'appuya sur le bouton, la tuture poussant un 'Biiip!' strident. J'ouvrit la portière, et la ferma quand je fût installer au vollant. Je démarra, recula, et sortit du HDA. En passant la porte, je tappa doucement un chien-loup, qui pousssa un 'tit cris de douleur. J'ouvrt la porte à la vollée, poussant des 'Ô mon dieu !!'. Je m'approcha du chien, qui saignait un peut à l'épaule. Je me fit aider par un palfrenier, le faisant monter dans ma voiture pour l'emmener chez le véto. Je démarra quandce fût fait, et je partit directement chez le vétérinaire.

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» S E A N C E. DE . S A U T . D' . O B S T A C L E S . 20/07/07

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J’arrive au haras, sifflotant gaiement en entrant dans le club où je n’y trouve que CajOu', plonger dans ses papiers du haras. Pour ne pas trop la déranger, je ne fais que la saluer et me précipite aux vestiaires qui sont gelé alors qu’au dehors, la température monte, ici c’était un vrai frigo ! Je me change en vitesse et essaye de savoir pourquoi il faut si froid mais j’abandonne au bout de 10 minutes et au lieu de ça je cours m’étendre dehors pour me réchauffer un peu, ce qui me fit un bien fou. J’huma l’air tendre de la matinée qui s’annonçait très belle. Un couple d’oiseau passa au dessus de ma tête et je les regarda batifolé dans les airs. Je souris au ciel et à la terre puis, regrettant ce moment d’immense intimité et de liberté avec moi-même, je rejoignis le box de ma jument après avoir été chercher son licol, sa longe et ma boîte de pansage qui me suivait partout où j’allais.

- Coucou ma belle !

Après mon immense moment de profonde irréalisme, j’était ailleurs, ce serait ça pour expliquer ce que je ressentait, je me plongea dans le réaliste en allant chercher la ration de la matinée de Guaranah dans le garde-manger. Alors que je remplissais mon seau d’avoine et de carotte, je croisa Shadow qui venait elle aussi remplir son seau pour la ration de Oh Please Darling. On se fit la bise et échangeâmes quelques mots avant de partir chacune de notre côté car le box de nos chevaux respectifs étaient chacun à l’opposé de l’autre !

Shadow : Alors comme ça toi aussi t’es matinale ce matin ?
Citron : Oh aujourd’hui ça va, c’est demain que ça va être tôt de chez tôt !
Shadow : Pourquoi ? à cause du concours ?
Citron : Oui. Je dois faire l'épreuve du concours demain ... Par contre, j'ai rétirer ma DP avec Diligente aussi ...

Je lui expliqua le problème de cette jument en question et Shadow m’écouta avec beaucoup d’attention, me racontant aussi, ces entraînements avec son cheval. Nous eûmes quelques fou rire puis en regardant nos montre il fallait que chacune entraîne son cheval et aille le nourrir.

Shadow : Au faite j’avais oublier de te remercier pour le ferrage des sabots de Oh Please Darling, il à beaucoup apprécier !
Citron : Ah ba alors j’suis ravie ! c’est mon boulot, de rien. Et il va falloir que j'y aille, Guaranah m'attend !
Shadow : Mais je te dis, encore merci. Oui moi aussi Oh Please Darling va s’impatienter, à la prochaine !
Citron : Bye !

Quand je passa dans l’allée, avant d’aller voir ma jument, je remarqua que celle-ci était jonché de brindilles de paille, d’un peu de crottin ainsi que de granulés tombés au cours d’un mal versement ou renversement de seau. Je m’arrêta net, calculant chaque saletés éparpillé dans l’écurie. Je fronça les sourcils, laissant tomber d’un coup ma tête qui pesait sur mes épaules. Je posa le seau à terre dans un petit coin bien caché des regards indiscrets puis, j’alla chercher le balai et une pelle pour nettoyer tout ce bazard. Je pouvais épargner à CajOu' le soin de cette corvée. Je ronchonna tous de même 10 bonnes minutes, mécontente de l’état d’esprit de certaines personnes pour laisser de tel cochonnerie ainsi.

« Bon sang ! Les yeux ça existe tout de même nan ?!

Mais mes ronchonnements ne m’épargnèrent guère. Je dus ramasser avec la pelle et le crottin et le mener au tas de fumier puis revenir et entasser avec le balai, totue la poussière et la paille au sol dans un coin. Puis j’alla ranger correctement le matériel et dénicher mon seau caché pour me remettre en route et je me pressa, j’avais suffisament pris de retard pour l’entraînement de saut qui certes serait long. Quand je me présenta au box de ma petite chérie, celle-ci ne s’attendait à parament à ne plus me voir passer ce matin et était dans le fond de son box, machouillant nerveusement un brin de paille. Je fis entendre devant elle, un petit claquement de langue ; Guaranah releva la tête et hennit joyeusement, laissant tomber à terre le brins de paille, elle vint vers moi, contente que je l’eut pas oublier pour autant malgré un léger retard. Je lui souris et je vis un léger désaroie dans ses yeux morne. Je laissa tomber mes affaires sur le sol, pour la rejoindre dans son box et je caressa son chanfrein tout restant à côté d’elle, imposant ma présence chaleureuse tout d’un coup.

« Hey ! Désolée ma belle, tu sais que je ne t’oublierai jamais !

Elle donna un petit coup de tête, tourna vers mon visage ses yeux remplies de contentement ? Elle souffla vers moi avec ses gros naseaux, au contact de l’air chaud, je ferma les yeux, comme transporté autre part. Je resta là à ses côtés. D’un coup, l’atmosphère devint plus joyeuse et pleine de chaleur. Guaranah se dirigea vers l’entrée de son box, pointant ses fines oreilles vers l’avant. Elle avait pisté sa ration. Je ria doucement, contente qu’elle est retrouvé la forme et d’être à ses côtés.

« Roh la gourmande ! T’inquiète pas tu vas l’avoir ta ration.

Je sortie donc du box, récupérant avec soins, le sceau qui attendait d’être vidé de ces aliments. Je déposa le contenue dans la mangeoire, m’éloignant de quelques pas pour la laisser tranquillement manger à son rythme. Je remarqua que l’eau dans son abreuvoir se faisait rare, j’en profita donc pour aller en chercher. Quand je revins, elle n’avait pas totalement fini de manger sa ration et je l’y laissa ce soins. Prenant un porte selle en bois que je positionna à droite du box pour accrocher Guaranah à gauche à l’anneau fixé au mur, je me dirigea vers la sellerie, un allée plus loin. J’y pris tous ce dont j’avais besoin pour la séance d’aujourd’hui : selle,tapis,sangle,filet,mors,bandes de travails. Je disposa correctement tout sur le porte selle, vérifiant l’état des cuirs avec précaution. Pendant cette inspection minutieuse, Guar' ayant fini sa ration, vint passer sa tête par la porte de son box, inspectant ce que je faisais même si cela était assez ennuyeux de son point de vue. J’alla caresser son chanfrein, la gratifiant de son immense présence et amour qu’elle me portait.

« Je t’aime ma Guaranah ...

Je lui passa le filet et le mors par dessus l’entrée du box puis, ouvrant celle-ci, je la sortis, l’accrochant à un anneau avec la longe où celle-ci était relié directement au mors pour plus d’efficacité. Je déposa ma boîte de pansage sur le bas côté et l’ouvrit, cherchant l’étrille, le bouchon et la brosse douce mais enfin de compte je commença le pansage avec la brosse de tête et je m’y applique avec précaution, déployant beaucoup d’efforts pour retirer la poussières sous ses yeux et sur son chanfrein. Je m’appliqua délicatement, Guar' ne bougea pas et me laisse prendre soin d’elle, toujours les oreilles rivés vers l’avant, elle était à l’écoute. Je lui fis un gros bisous une fois que j’eus terminer de nettoyer sa tête puis je m’activa en l’étrillant, la bouchonnant et en la brossant sur sa robe. Tellement je passa sur sa robe et dans les moindres recoins, je n’eus plu de main pour quoi que ce soit ! Je laissa tomber mes fesses à terre… le boulot du pansage pas encore terminer. Guaranah avait été très patiente jusque là, je devais finir de la panser car à parament elle avait très envie de faire du saut, elle tendait toutes les 10 minutes, le nez vers la selle mixte, la reniflant et hennissant juste derrière pour montrer sa sympathie à l’égard de l’entraînement choisi aujourd’hui.[i]

« Bon c’est bon t’as gagné, je me grouille de finir ton beau pansage !

[i]Je cura ses sabots en retirant quelques petits cailloux qui tombèrent à terre et que je balança sur le côté. Guaranah donna les sabots toute seule, je flatta son encolure et son épaule très contente de son geste et très admirative j’avoue^^. Je finis son précieux pansage par peigner sa crinière et sa queue. Pour ses mèches de devant qui lui tombaient sur les yeux, je fis une belle natte qui tiendrais jusqu’au concours puis je recula de quelques pas admirant le chez d’œuvre.

« Eh ben ma belle ! Après une heure de patience, je regrette pas d’avoir insisté dessus !

Guaranah me regarde, la tête légèrement penché vers le côté et les oreilles pas dans le même sens, un air qu’elle sait prendre parfois pour me faire rire et en général ça marche d’ailleurs là au bout de quelques secondes, je pris un fou rire, venant tapoter ses naseaux gentiment en la réprimendant pour rire ma chérie de jument. Pour la seller, ce fut tout autre chose ! Je ne m’attarda vraiment pas, effectuant un sellage rapide mais très efficace, j’étais habituer à aller vite en effectuant un boulot bien fait. Et en 20minutes toutes ronde, ma tite jument était bel et bien seller et je la menait en main à l’extérieur.

- C'est partit !

Une fois dans cet espace clos, je mis correctement ma bombe, re serra de quelques crans la sangle de Guaranah et me mis en selle. Sans faire exprès mes pieds s’activèrent et à cette solicitation, Guaranah partit d’un coup au trot, ça ne pouvait se démentir : elle avait vraiment envie de sauter et c’est avec joie que je le ferais. Je la laissa donc au trot, replaçant correctement mes pied sur les étriers et effectuant un bon trot enlevé. Je jouait avec mes doigts en les gardant souples pour ne pas donner d’accous sur sa bouche et aussi la décontracter tout en gardant le contrôle. Pour le trot enlevé, je m’efforca de ne pas m’élever trop haut, assise au devant sur ma selle, le buste légèrement vers l’avant. Guar' avait les oreilles levés, elle était sensible au moindres de mes demandes, et au bout de quelques minutes, se décontracta grâces au conseils de la veille de CajOu' que je mis de suite en pratique. Pour mieux la décontracter, j’effectua dans un premier temps un cercle. Elle effectua une sublime incurvation et rotation. Je flatta son encolure après la figure remarquablement effectué. J’enchaîna sur l’autre main avec une serpentine. Guaranah ne s’y interposa, au contraire, la figure fut un jeu d’enfant, je flatta à nouveau son encolure étonnament douce et je la félicita après sa volte effectuer à main droite après avoir pris la diagonale.

« Continue comme ça, c’est très bien, maintenant on va s’échauffer avec un obstacle.

Je la fis passer au galop avec une légère pression des mollets, la jument dressa les oreilles, comprenant la demande, elle passa à l’allure supérieur, maîtrisant ses foulées très bien cadencés et gérés. Je la dirigea vers une croix de 90cm. Elle sauta très bien et avala les 90 centimètres. La prise de hauteur grâce à l’impulsion fut correcte et la réception fut légère, tout en finesse. L’échauffement était terminer. Je la fis trotter puis je mis pied à terre pour monter l’obstacle à 1m. Je me remis en selle, effectuant une transitions arrêt-galop. Guaranah était concentré et calme, pleine de vigueur et d’énergie elle avait hâte de sauter tout le parcours. Nous commençâmes enfin le vrai parcours après quelques foulées de galop, je la fit démarrer dans un carré décerné par quatre piqué et dès que j’activa le chronomètre, elle démarra. Nous entamions la première ligne droite avec en son centre un droit.

Droit – 1m
Elle accéléra au niveau de l’obstacle et je la laissa faire, mettant en elle toute ma confiance. Elle pris un bon appuis au niveau des postérieur et sauta bien au dessus, rabattant correctement ses antérieurs puis ses postérieurs et effectuant une réceptions à la western car juste après elle entama une courbe très serré solicitant une incurvation digne de ce nom. Je flatta son encolure, elle avait remarquer le virage avant moi et c’était très bien positionner.
Croix – 1m
Cédait la place au virage serré: une crois d’1m. Malgré une légère inquiétude qui passa dans son regard, je la solicita jusqu’à la dernière minutes, l’impulsion fut légère mais la réception cadré et bien magner. Et c’est après cet obstacle que je compris sa légère anxiété lors du parcours. Je flatta son encolure, l’encouragea sur l’obstacle suivant.

« Aller vas-y tu en es capable ! Il n’est pas très haut ! »

Oxer – 1m
Les barres de cet oxer ne s’élevaient guerre qu’à plus d’1m. J’encouragea Guaranah de ma douce voix, la joie de sauter se fit voir sur son attitude. Elle ralentit juste un petit peu devant l’obstacle assez difficile à aborder mais bien centrer, son saut fut très beau et la réception de même.

« Très bien ! Bravo ma grande !

Mur fantaisie – 1m05[
Au loin, s’élevait un mur fantaisie s’élevant à 1m20. Il était constituer de couleurs chaude et très fhash mais cela ne dérangea pas plus qu’autre chose la jument qui gardait son regard sur l’obstacle. Je me concentra moi aussi et une fois que l’obstacle arriva, je me mis en équilibre et fit pression des mollets pour donner le feu vert à Guaranah pour le saut, une sorte d’encouragement. L’impulsion fut légère mais efficace, ce qui lui permit, grâce à l’appui de ces postérieurs,de s’élancer au dessus du mur. Je cria de joie, elle était vraiment formidable ! Après chaque saut je n’oubliait jamais de la féliciter et de flatter son encolure pour bien lui donner envie de continuer et de lui faire savoir que j’étais très satisfaite et avec elle à 100%.

« Whaou ! On va p’tet gagner une place sur ce concours ! Continue à être volontaire Guaranah ! »

Bidet - 1m
Elle continua et fit énormément d’efforts. Le bidet qui s’annonçait après un virage large, était d’1m. Là aucuns besoin de sollicitation, elle le fis d’elle même et de bon cœur. Le coup de saut fut remarquable et étonnament bien cadré. Il y avait une bonne rectitude.
Triple - 1m05
A présent, je dirigea Guar' vers un triple ne s’élevant à pas plus d’1m05. Le triple était le long des barrières de la carrière sur ligne droite ce qui facilitait un peu la tâche. Après un léger tournant, nous arrivâmes donc sur le premier obstacle. Guaranah conserva son allure et ses foulées. Elle pris un très bon appuis pour entamer son saut puis une réception très bien centré et manœuvrée. Je flatta son encolure mais n’eut guerre le temps de plus car après quelques foulées, le second obstacle se présentait. Elle ne ralentit pas, très sûr d’elle, elle resta les yeux figé sur le triple et sautant avec légèrement et volupté, elle effectuant un très beau saut. Pour le dernier obstacle, elle accéléra un peu, je la laissa faire. Je me positionna en équilibre et elle, elle sauta correctement malgré une réception un peu lourde, le coup de saut grâce à l’impulsion était vraiment pas mal. Je cria de joie, le triple était maintenant derrière nous. Je flatta joyeusement son encolure en sueur.

« Whaou ! C’est génial, continue comme ça ma belle !

Spa – 1m10
Pour le spa qui s’annonçait derrière le triple, je l’avais placé à 1m10, l’obstacle était facile pour l’aborder mais il fallait une impulsion très forte pour pouvoir effectuer un coup de saut et une réception parfaits pour ainsi ne pas faire tomber les barres. Je serra les dents à l’approcha du spa. Je me mis en position. Guaranah était un peu inquiéte mais là si jamais elle ne voulait pas le sauter, je ne la solliciterait pas au risque d’un léger accident. Mais au lieu de ça, la jument se présenta quand même devant l’obstacle. Je sentis qu’elle donna tout ce qu’elle avait en elle pour l’impulsion. Elle s’éleva au dessus du spa comme un guépard. Tout en finesse et en souplesse. Durant quelques instants j’aurais cru voler puis elle fit une réception en essayant au maximum de bien relever ses postérieurs pour ne pas toucher la dernière barre et ouf… c’était passé tout juste. Je flatta son encolure cette fois-ci vraiment en sueur.
Vertical – 1m
Malgré une légère fatigue, je la mena tout de même vers le dernier obstacle du parcours : un vertical d’1m. Guaranah sautait avec ravissimes les verticaux ou droits. Elle fut enchanté à la vue de l’obstacle et accéléra ses foulées et son allure. Je la laissa m’emporter au dessus du vertical. La rectitude comme d’habitude était parfaite et le saut aussi.

« Très beau parcours ! Voilà doucement… »

Le parcours toucha à sa fin, je fis passer Guaranah au trot puis au pas et je la fit longuement marcher sur la piste, flattant son encolure toute les deux secondes, j’étais très fière d’elle et même aux anges ! La jument souffla, heureuse d’avoir effectuer un sublime parcours et aussi d’être re passer au pas. Après 10 minutes de pas, je mis pied à terre, prenant les rênes en main droite et je dirigea Guaranah vers la sortie de la carrière. Celle-ci s’arrêta net et m’arracha le bras d’ailleurs^^ plus question d’avancer ! Au début je ne compris pas pourquoi puis je commença à me plaquer la main sur le visage, honteuse ! Et oui je me tapais moi même et d’ailleurs Guaranah n’appréciait pas mais attendait que je le lui donne… Je finis par sortir deux bonbons à la pomme de ma poche avant de jean que je m’empressa de lui donner en flattant son encolure pour la récompenser de ses gros et bons efforts.

« Aller maintenant une petite douche ne serait pas du luxe ma grande ...

Je lui retira sa selle et tout son matériel que j’alla poser dans la sellerie. En même temps je revins avec un seau plein d’eau, pas trop fraîche pour éviter une colique et je le posa sur le côté. Guaranah leva ses oreilles, très envieuse. Je pris le pommeau de douche puis je la doucha convenablement, n’épargnant aucuns coins. Elle me regarda plein de gratitude que je m’occupe aussi bien d’elle. Je caressa son doux chanfrein et en même temps je doucha son dos. Guarnah se mit à jouer avec le jet, me poussant constamant dans la flotte avec sa grande encolure. A un moment je faillis vraiment glisser et ma grosse mémère hennit, à parament très joyeuse et toujours remplie d’énergie. Et la castastrophe arriva. Guar' toujours dans l’état du jeu, renversa volontairement le seau d ‘eau après avoir but quelques petites gorgées. Je la gronda un peu car je n’étais pas vraiment satisfaite enfin pour ne pas m’emporter, je m’occupa de sécher ses membres et de retirer les paquets d’eau avec le couteau de chaleur. Une fois chose faîte je pris Guaranah par la longe ainsi que le seau et j’alla le remplir à nouveau. Je le montra à Guar' et nous nous dirigeâmes calmement vers son box.

- Allez, au box ...

Je pansa un peu Guaranah au niveau de la sangle et des membres, puis j’alla remplir son abreuvoir. Elle but à grande quantité et revint près de la porte de son box que j’avais bien refermer. Je caressa son chanfrein et lui fit un gros bisous sur ses naseaux, je la contempla, très admirative. J’alla chercher un flacon d’huile naturel de noyer pour ma petite jument. Je lui versa 10 gouttes dans son eau, ça a un effet très spécial, remet d’aplombs très vite et apaise, demain elle sera comme neuf pour attaquer un petit parcours en liberté comme dernier entraînement. Juste pour travailler les petits obstacles. J’embrassa très fort Guaranah me dirigeant vers le club-house pour un déjeuner léger.

« À demain grande championne ! »

[i]Puis je quittais le club ...

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» S E A N C E . D E . S A U T . D' . O B S T A C L E S . E N . L I B E R T E . 21/07/07

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J’arrivais très tôt ce samedi matin. On était le Samedi 21 Juillet, et il était 7 heures 30 du matin. J’étais encore en train de dormir quand je me dirigeais vers le bureau de CajOu’. Déjà debout elle aussi, elle me saluait d’un sourire encore endormi. Je lui souriait, et je m’asseyais sur le bar du club house, pendant que Caj’ faisait du chocolat chaud et des tartines grillées toutes chaudes avec du beurre :heart :

[ Cajou’ ] – Alors, tu m’aideras pour installer tout dans le club ?
[ Citron ] – Ben moi ça me gêne pas … A qu’elle heure commence l’épreuve ?
[ Cajou’ ] – Le premier tour commence à 14 heures cet après-midi.
[ Citron ] – Ouais, je t’aiderais alors ! Mais je ferrais un peu sauter Guaranah ce matin …
[ Cajou’ ] – Ben vas-y ! Pour l’instant je dois régler quelques trucs, donc tu as le temps …

Pendant cette discussion avec CajOu’, j’avais bu tranquillement mon chocolat chaud et avaler deux tartines beurrées. Ensuite je m’étais levé, et je sortais du club house, une brise fraîche venant jouer avec mes cheveux bruns. J’aspirais avec délice l’air frais de ce samedi matin, et je me dirigeais vers la sellerie. Je prenais le matériel nécessaire pour faire travailler Guaranah en liberté, et j’allais à son box. Je déposais tout devant son box, et j’allais chercher sa ration. Apperçevant des palefreniers en train de faire les boxs, je me doutaient alors qu’on allait faire celui de ma jument : génial, vu comment il était sale … Je retournais au box de ma belle ponette grise, et je l’ouvrais doucement. M’apperçevant, la ponette se redressait vivement, et poussait un hennissement jovial, s’avançant vers moi rapidement.

- Bonjour ma belle … En forme ?

Je caressais la belle tête de la grise, et je lui versais sa nourriture dans la mangeoire. Je lui remettais de l’eau dans son abreuvoir, et j’enlevais les quelques crottins gênant de son box. Je vidais ensuite ma brouette, et je retournais au box de ma ponette. Je rentrais dedans, et je lui flattais l’encolure, pendant qu’elle finissait de manger. Ensuite je prenais mon étrille, et je commençais à étriller avec soin tout le corps de la jument, enlevant la poussière et la crasse de son poil. Puis je passais un bon coup de bouchon, nettoyant bien en profondeur son corps puissant et rond. Pour finir le travail, je lui passais un coup de brosse douce, lustrant bien son poil gris et nettoyant ses membres. Pour finir le pansage, je lui curais soigneusement les pieds, puis je caressais la ponette.

- Et voilà ma belle …

Guaranah tournait sa tête fine vers moi, effleurant ma joue de ses naseaux doux et noirs. Je souriais, et je les lui caressais, puis je lui mettais des guêtres, des protèges-boullets et des cloches. Ensuite je lui enfilais le licol en nylon, et je la sortais du box, la dirigeant vers le manège pour la faire sauter en liberté.

- Viens ma belle …

Je faisais rentrer la ponette dans le manège, et je fermais la porte derrière elle. Joyeuse, la grise attendait impatiemment que je la lâche. Enfin je détachais la longe, et je m’écartais, Guaranah partant en sauts de moutons joyeux, et galopant un peu, avant de s’arrêter et de se rouler. Visiblement elle semblait en forme, et c’était tant mieux : elle serait plus vive au concours, et on aurait sûrement un très bon temps, car on avait déjà effectuer toute les deux le parcours avec brillance … Je souriais en rêvassant, quand un coup de naseaux dans le dos me faisait tomber du plot ou j’étais assise.

- Hey ! Guaranah !!

La petite jument poussait un léger hennissement, les oreilles pointées vers moi. Je me retournais, et me redressais, agitant les bras. Elle partait au galop en secouant la tête, et je la faisais galoper quelques minutes pour la détendre un peu. Ensuite je mettais une croix de 1 mètre de hauteur à partir du chandelier. Guaranah s’élançait avec souplesse vers la barre, et franchissait la croix avec souplesse et beaucoup de franchise. Je la félicitais de la voix, et je mettais un vertical de 50 centimètres. Guaranah s’élançait avec beaucoup de puissance et de fougue, sautant avec beaucoup de style le vertical, en repliant bien ses antérieurs contre son poitrail, et en projetant bien ses postérieurs.

- Super ma grande !

Ensuite je mettais le vertical en oxer de 50 centimètres, et la ponette s’élançait au galop dessus, les oreilles pointées. L’oxer était large de 30 centimètres, et je savais que la ponette pourrait le franchir parfaitement bien. Le résultat était qu’elle sautait bien et très proprement, avec toujours beaucoup de style. Je rangeais le matériel utiliser, puis je mettais la longe au licol de la ponette. Je la rentrais à son box tout propre, et je prenais mon étrille, étrillant soigneusement la grise. Ensuite je lui passais un bon coup de bouchon, nettoyant bien sa robe. Pour finir, je lui passais un bon coup de brosse douce, et je lui curais et brossais soigneusement les pieds.

- Et voilà ! Tu es toute belle maintenant …

Je lui embrassais les naseaux et je la rentrais dans son box. Je lui donnais une pomme et je lui faisais un gros câlin, puis je sortais du box, caressant ma ponette. Puis je partais aider CajOu’ à installer le parcours.

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» R A N D O N N E E . D E . U N . J O U R . E T . C R O S S . 29/07/07

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M A T I N

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Je me dépêchais d'aller au box de Guaranah, car on allait faire une randonnée. Il était déjà 6 heures du matin, et j'étais la seule à être debout. Je me dirigeais en silence vers la sellerie, ou je prenais le matériel de ma jument et le miens. J'avais décider qu'on rentrerais vers 18 heures, comme ça j'aurais le temps d'entrainer Kémour. Je prenais la ration de ma jument, et je trottinais souplement vers son box. Je rentrais doucement dans le box de ma jument, qui était couchée dans son box.

- Allez ma belle, debout !

La ponette se levait souplement, et je lui donnais sa ration. Elle mangeais lentement, et je prenais mon bouchon. Je brossais soigneusement la ponette, puis je lui passais un coup de brosse douce. Ensuite je lui curais soigneusement les pieds, et je lui mettais des guêtres, des protèges-boullets et des cloches. Je partais préparés mon sac à dos avec ma nourriture et tout ce qu'il fallait : un bouchon, un cure-pieds, une pomme, mon repas, des pansements, de la bétadine, et c'était partit mon kiki ! Je retournais en courrant au box de Guaranah, et je rentrais dedans. La ponette avait finit de manger, tant mieux.

- On va faire une randonnée ma belle !

Je sellais ma jument rapidement, et je lui mettais son filet. J'enfillais mes gants, mettais ma bombe, et je mettais mon sac à dos. Je sortais la jument du box, et je montais. Je la mettais au pas, et on quittait tranquillement le Haras. Je me dirigeais vers lepetit chemin qui serpentait entre les prés de Endless Competition, et je mettais ma ponette au trot pour la reveiller et la réchauffer. Partant d'un trot actif, la grise secouait légèrement la tête, s'élançant avec puissance et vitesse sur le petit chemin. Je savais que le chemin menait au terrain de cross : on en profiterait pour sauter un peu. On trottait pendant de longues minutes, le paysage défillant de tout côtés. Je repassais enfin ma ponette au pas, car elle semblait assez bien réchauffée comme ça, et moi aussi à vrai dire.

- Bouh ! On va bientôt galoper ma chérie ...

Je resanglais d'un trou, et je laissais marcher tranquillement ma ponette. Puis je reprenais mes rênes, et je demandias le galop à la ponette. Elle démarrait au galop à gauche, alors je la laissais faire. Je me mettais en équilibre, et la grise s'élançait au grand galop, galopant avec puissance et fougue, le vent fouettant mon visage. Je dus fermer les yeux, faisant confiance à ma ponette, qui continuait de galoper comme une fo-folle, joyeuse et vive. On galopait comme ça longtemps, a la plus grande vitesse possible de ma ponette, ses crins claquant violemment dans mon visage. Elle avait changer plusieurs fois de pied pour se sentir plus à l'aise, mais gardait toujours son allure puissante et vive. Après pratiquement une demi-heure de galop éffreiner, la ponette ralentissait, et repassait au trot. J'étais étonnée de son endurance et de sa vitesse, et je la repassais tout de suite au pas. Je m'étais pied à terre, et je la laissais se reposer. Je la desellais quelques instants, car elle était vraiment bien éssouflée. Comme il était déjà 10 heures, j'attachais ma ponette à un arbre, lui ayant mit son licol.

- Soit sage ma grande ...

J'étais fatiguée et elle aussi, alors je m'endormis quelques instants ... Quand je me réveillais, il était 11 heures et on avait toujours pas rejoins la forêt ! Je me levais, et je caressais ma jument. Je lui mettais son filet, et je la sellais. Puis je lui curais les pieds, et j'enfillais mes gants et ma bombe. Je prenais mon sac à dos, et je me remettais à cheval, mettant ma ponette au pas. Visiblement, elle avait bien recupéré durant cette petite heure de repos.

- Bon, il faut rejoindre la forêt ...

Je mettais la ponette au petit trot, car j'apperçevais la forêt non loin. On trottait assez longtemps, et je la repassais au pas, pour la laisser souffler quelques instants. Après quelques minutes, on repartais de plus belle au trot, mais cette fois, au grand trot, je voullais tester le trot de ma ponette Enfin, on arrivait devant la forêt, et il était midi et demi.

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M I D I

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Je descendais de cheval devant la forêt, et je caressais ma ponette. Je la desellais et je la mettais dans un petit pré légèrement abandonner. Je mangeais tranquillement mon sandwich, et je donnais la pomme à ma ponette, pendant qu'elle broutait joyeusement la bonne herbe du pré. Je buvais un petit peu, puis j'allais voir ma ponette, l'observant quelques instants.

- Sa va ma grande ?

La ponette m'observait, puis se remettait à brouter. Je souriais, et je m'allongeais dans l'herbe, faisant une courte sieste ... Je me réveillais à 14 heures de l'après-midi, et j'allais voir ma ponette. Je la brossais soigneusement puis je la curais. Ensuite je lui mettais son filet, son tpais, son amortisseur et sa selle. J'enfillais mes gants et ma bombe, et je montais à cheval, sortant ma ponette du pré.

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A P R È S . M I D I

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Je mettais ma ponette au trot alors qu'on rentrait dans la forêt. Je la dirigeais vers le terrain de Cross, que je savais pas très loin. Une fois qu'on était arriver, je repassais ma jument au pas, la laissant un peu souffler. Je ressanglais de deux trous, et je réglais mes étriers longueurs obstacles. Puis je lançais ma ponette au petit galop sur un tronc. Elle le franchissait avec aisance et souplesse, et je revenais plusieurs fois dessus. Elel sautait toujours aussi bien, alors je la félicitais.

- Très bien !

Puis je dirigeais Guaranah vers une haie. La ponette sautait souplement l'obstacle, en troussant bien des antérieurs. Je revenais plusieurs fois dessus, Guaranah sautant toujours avec beaucoup de puissance et de fougue. Puis je la faisais galoper dans le gué, pour l'habituer à bien avancer dans l'eau. Je la faisais sauter un petit ponton dans le gué, et la ponette le sautait en hésitant un peu. Je revenais plusieurs fois, et à chaque fois elle le sautait très bien, en hésitant de moins en moins.

- Super ma grande !

Je la repassais au pas, la laissant souffler un peu. Je mettais mes jambes, et la ponette s'élançait au galop, alors que je la dirigeais vers le tronc. Elle le sautait souplement, et je la dirigeait ensuite vers une haie, en la gardant toujours au galop moyen. Elle sautait très souplement la haie, et je la faisais tourner à droite, vers le gué. Guar' hésitait à franchir le contr-bas, et je la tallonait. La ponette sautait vivement, et attirissait lourdement dans le gué. Je mettait mes jambes, et la grise allongeait son galop. Elle sautait avec puissance et aisance le ponton, et on sortait au galop du gué. Je la dirigeait vers un directionnel, un petit tronc assez haut. J'encadrais bien ma jument avec mes jambes et mes mains, et elle sautait très bien l'obstacle. Je la repassait doucement au trot et au pas, et je la laissais souffler tranquillement.

- Génial ma fille ! Bravo !

Je caressais abondemment ma ponette, et on prenait tranquillement le chemin du retour au pas. Une fois qu'on était sortit de la forêt, je mettais la ponette au trot, et on trottait pendant pratiquement une heure, car je faisais travailler l'endurance de ma ponette. Ensuite je la repassais au pas, car on était bientôt arriver à EC. Je la laissais beaucoup souffler rênes longues, et je déchaussais mes étriers, caressant bien la ponette.

- Un petit galop ça te dis ?

Je mettais mes jambes après avoir repris mes rênes, la ponette démarrant au galop à droite. Je la gardait au petit galop, et je serrais mes jambes car je n'avais pas mes étriers. Taznt mieux, ça ferait travailler mon assiette, et puis Guaranah était confortable J'apperçevais enfin Endless Competition après une demi-heure de galop. Je repassais ma ponette au trot, et je manquais de tomber dans la transition Puis je la repassais au pas, la laissant souffler tranquillement.

- Sa ta plus cette journée ma grande ?

Une fois arriver à l'écurie, je mettais pied à terre. Je ramenais la ponette à son box, et je la desellais. Puis je la menais à la douche, et je la douchais soigneusement, lui enlevant la crasse de toute la journée. Je lui curais ensuite les pieds, puis je la menais au pré, ou je la laissais se détendre tranquillement et sècher après cette journée épuisante. Je rangeais mon matériel et je partais voir Kémour.

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» R E P O S . 30/07/07

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Comme ma ponette semblait épuisée à cause de la randonnée de la veille, je me contentais de la laisser se reposer tranquillement aujourd'hui, comme ça j'aurais du temps pour entrainer Kémour. Je me dirigeais vers le pré ou était ma ponette, et je l'appellais. Elle venait vers moi au petit galop en m'hennissant, et je souriais.

- Coucou ma belle ...

Je rentrais dans le pré, et je caressais longuement ma ponette. Puis je lui curais soigneusement les pieds. Ensuite je prenais mon étrille, et j'étrillais longtemps ma ponette, enlevant toute la crasse accumulée cette nuit. Je lui passais ensuite un coup de bouchon, nettoyant bien son corps muscler et courbaturer. Puis je lustrais son poil avec la brosse douce. Enfin je déméllais la crinière et la queue de ma ponette, qui était toute belle.

- A demain ma princesse !

Je caressais ma ponette, et je la laissais au pré, allant m'occuper de Kémour.

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» N A T A T I O N . 31/07/07

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Aujourd'hui, j'avais décider de faire un entrainement très spécial pour mes chevaux : j'avais décider d'entrainement Guaranah à la Piscine ! Je me dirigeais donc vers le pré ou elle restait 24 h/24 ^^ Je sifflais longuement, et la ponette arrivait au grand galop du fond du pré en hennissant joyeusement.

- Coucou la plus belle !

Je caressais longuement la jument et je rentrais dans son box. Je lui passais un rapide coup de bouhcon et de brosse douce, car elle était relativement propre. Ensuite je lui curais soigneusement les pieds, puis je lui mettais son caveçon. Je prenais une chambrière, et je menais tranquillement la ponette à la piscine.

- C'est partit !

Une fois arriver à la piscine, je saluais la caissière. Je rentrais dans la piscine, et je faisais pénétrer ma ponette dans le petit bassin. D'abord intriguée, elle refusais catégoriquement d'entrer dans l'eau. Je me mettais en maillot de bain, et je rentrais dans l'eau tiède avec elle. Comme c'était peu profond, la jument pouvait marcher et moi aussi. L'eau m'arrivait au menton, et elle arrivait au garrot de ma ponette.

- Tu vois, c'est pas la mort ...

Je sortais du petit bassin ave cma ponette, qui s'ébrouait vivement. Je souriais et je la dirigeais vers le grand bassin. La grise entrait sans problème, beaucoup plus confiante. Elle marchait d'abord, puis au bout de quelques mètres, était forcée de nager. Elle manquait de boire la tasse plusieurs fois au début, puis après elle avait prit le rythme, et nageait vivement. Après pratiquement 15 minutes de nage, je faisais sortir ma ponette de l'eau. Je me rabillais, et je rentrais la ponette au pré.

- C'était très bien ma grande !

Je la douchais d'abord, puis je lui déméllais la queue et la crinière, et je la rentrais au pré. Je lui curais les pieds, et je la laissais gambader après lui avoir donner une pomme, alors que j'allais m'occuper de Kémour.

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» S E A N C E . M I X T E . 31/07/07

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Je revenais au Haras après avoir bien manger. Je prenais mon matériel à la sellerie, puis je me dirigeais vers le box de Guaranah. Je déposais tout devant, et je rentrais dans son box, caressant longuement la belle petite jument. Je lui embrassais les naseaux, et je lui passais son beau licol en cuir.

- Tu viens ma grande ?

Je sortais la grise du box, et je fermais la porte derrière elle. Puis je lui posais la longe sur l'encolure, et je prenais mon bouchon. Je passais un rapide coup de bouchon à la ponette, puis je prenais ma brosse douce. Je lustrais sa belle robe avec ma brosse, et enfin, je lui curais soigneusement les pieds. Puis je lui déméllait soigneusement les crins : queue, crinière et toupet.

- Et voilà ma grande !

Je flattais la jument, et je lui mettais ses guêtres, protèges-boullets et cloches. Puis je lui posais son tapis bordeaux, son amortisseur et sa selle, et je la sanglais. Je lui enlevais son licol pour le remplacer par le filet, et je lui mettais des rênes allemandes. Je mettais mes éperons, mes gants et je resanglais ma ponette. Puis je me mettais en selle, dirigeant ma ponette vers la carrière de dressage.

- C'est mixte aujourd'hui ma puce ... On dresse et après on saute

On marchait assez longtemps, et on arrivait enfin à la carrière de Dressage. Je ressanglais d'un trou ma ponette, et je racourcissait mes rênes, puis je pressais les flancs de ma grise, qui s'élançait souplement au trot. Je prenais le trot assis, et jouais légèrement avec mes doigts, la gise descendant sur ses rênes, tendant fort les rênes allemandes. Je les laissaient un peu filler, puis je faisais évoluer ma ponette sur des serpentines. Grâce aux éperons, elle s'incurvait avec beaucoup de souplesse, et effectuait tout ce que je lui demandais. Visiblement, elle était très heureuse de travailler ... Je la faisais ensuite travailler sur des sessions à la jambe, alternant jambe droite puis jambe gauche. Au début, Guaranah s'emmellait les pinceaux, puis à la fin, elle évoluait avec beaucoup de grâce et de souplesse, se déplaçant sur le côté très bien. Je la faisais changer de main, et je recommençais mes serpentines à l'autre main, en incurvant toujours aussi bien ma ponette. Puis je recommençais les sessions à la jambe. Un peu émoustillée par les éperons, Guaranah bondissait avec vivacitée en avant, en arquant son encolure puissament. Elle relevait haut ses membres, et une trainée de bave blanche s'écoullait de sa bouche. Je finissais par la caresser et la repasser au pas, car je ne voullais pas qu'elle commençe à chauffer, sinon elle deviendrait folle ...

- C'est bien ma fille ...

Je resanglais, et je retirais les rênes allemandes. Puis je lui demandais le galop à droite, et la ponette démarrait souplement au galop. Je la faisait galoper tranquillement sur un cercle, puis je la faisais changer de main, et la ponette changeait toute seule de pied au milieu. Je la faisais galoper à l'autre main de nouveau sur un cercle, puis je la repassais au trot et au pas, la laissant souffler tranquillement rênes longues. Puis je la dirigeais au pas vers le paddock de saut.

- On s'entraîne et on va sauter ma fille ...

Je lançais ensuite ma ponette au petit trot vers une croix. La grise la franchissait avec souplesse, et je la faisais donc revenir au petit galop. Guaranah sautait tout aussi bien, alors je la félicitais. Je l'envoyais ensuite sur un vertical d'un mètre, en mettant bien mes jambes. La grise le sautait avec beaucoup de souplesse et de grâce, alors je la félicitais. Puis je la dirigeais vers le parcours : les croix étaient des oxer, et les barres étaient toute entre 90 centimètres et un mètre.

- Allez ma belle !

Je la faisait galoper d'abord sur un cercle, puis je la dirigeait vers le premier. Elle franchissait avec élégance et souplesse l'obstacle, en propulsant bien ses postérieurs. Je la dirigeait ensuite à gauche sur le double oxer/vertical. La jument hésitait un peu, car l'obstacle était balèse. Elle le franchissait en sautant pratiquement 30 centimètres au-dessus, et je devais appuyer fort sur mes pieds pour ne pas vider les étriers Puis je me redressais à la reception, et mettait dans l'impulsion sur les deux foullées de la jument. Elle franchissait avec grâce le vertical, en éjectant bien ses postérieurs, pour ne pas toucher la barre.Je la faisait ensuite tourner à gauche, la dirigeant vers la haie barrée. Je reculais bien mes épaules, e tje mettais mes jambes, la ponette sautant avec puissance la haie, et j'étais penchée sur son encolure au planer, regardant élgèrement à gauche. Je faisait tourner la ponette à gauche, cherchant à prendre le numéro 5 en biais. Je mettais mes jambes, car je sentais qu'elle voullais refuser. DSevant l'obstacle, je mettais à fond mes éperons dans les flancs de la grise, qui bondissait au-dessus avec souplesse. Je la faisais tourner au grand galop entre la haie et le double. Je la reprenais ensuite avec douceur, me redressant bien devant le double oxer/vertical. La grise franchissait avec toujours autant d'aisance et de puissance l'obstcle, et effecutuait ses deux foullées avec souplesse. Elle franchissait ensuite en frollant légèrement la barre le vertical, alors je l'éperonnait vivement à la réception, la dirigeant à gauche vers la haie. Guaranah la sautait avec puissance et style, et je la faisais galoper comme une dératée pendant quelques mètres. Je le repassais au trot et au pas, et je la laissais marcher rênes longues, en la flattant fooort.

- Super ma grande !

Tout d'un coup, je voyais CajOu' m'observer, et s'aancer vers moi, incrédule.

CajOu' - T'as pas sauter ça ?!
Citron - Si pourquoi ? oO
CajOu' : Mais sa mesure un mètre 20 au maximum !!
Citron : Quoi ?!!!! Mais ... mais ...
CajOu' : En tout cas, bravo ! Ta ponette n'a fait aucune barre, c'est génial !
Citron : Euh ... oui c'est sûr ...

CajOu' me laissait, et je descendais de ma ponette, la ramenant à son box. Je la desellais soigneusement et je lui enlevais ses protections, puis je la menais à la douche. Je la douchait longuement, et je lui passais le couteau de chaleur. Enusite je la rentrais à son box, et je la curais soigneusement. Je lui passais un rapide coup de bouchon, puis je la menais au pré, lui mettant sa couverture séchante.

- A demain ma belle ...

Je la laissais, et je partais du Haras.

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» S E A N C E . D E . D R E S S A G E . 26/07/07

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J'arrivais à l'écurie assez tôt, et j'allais faire un coucou à Kémour. Ensuite je nourissait mes deux chevaux, puis je laissais Guaranah au repos toute la matinée. Ensuite je revenais la voir l'après-midi, pour la monter.

» Allez ma belle !

Je brossais rapidement la jument grise, car elle était bien propre. Ensuite je la curais bien, puis je la sellais et je la bridais. Je me dépêchais car j'étais préssée, sinon j'aurais passez plus de temps à m'occuper de Guar'^^
J'arrivais avec Guaranah à la carrière. Je rentrais dedans, et je fermais la porte derrière la jument. Je la caressais, ressanglais, descendais mes étriers et je montais. Je mettais la jument au pas, et je la faisais marcher pendant plusieurs minutes, en jouant avec mes doigts pour la mettre en place. Une fois que j'eus bien travailler la jument grise sur des courbes, je travaillais les transitions pas / arrêt - arrêt / pas. Guaranah les effectuaient toujours très bien, alors je décidais de la mettre au trot. D'un léger coup de tallon, la jument partait au trot. Je la cadrais sur des serpentines, en incurant bien la jument grise. Elle mâchait son mors en se mettant en place, et s'arrondissait avec souplesse autour de ma jambe. Ensuite je travaillais les transitions trot / pas - pas / trot - trot / arrêt - arrêt / trot. La dernière des transitions était un peu plus difficile pour la plupart des chevaux, mais Guaranah la faisait avec beaucoup d'aisance : dut au repos ou simplement parce qu'elle aimait ça ? Bonne question ... Après la bonne détente au trot et au pas, je repassais la grise au pas et je la laissais souffler. Je ressanglais de 2 trous, et je la laissais rênes longues.

» C'est super bouchon !

Une fois qu'elle eut bien repris son souffle, je plaçais mes aides du galop à gauche. La jument démarrait promptement, galopant avec aisance et puissance. Je la callais sur un huit de chiffre, la jument changeant de pied parfaitement bien. Quand l'exercice était répèté très bien, je la mettais sur des serpentines. La jument changeait de pied avec beaucoup d'aisance et de souplesse, mais ayant parfois un peu tendance à redresser la tête. Cet exercice là durait plus longtemps, puis je la repassais au trot et au pas, la laissant souffler rênes longues, avant de commencer la reprise.

» Reprise de Dressage

L'entrée se faisait très bien. La jument était dans un trot dynamique et bien en place, avec une bonne allure relevée. L'arrêt était presque parfait, mais elle avait un postérieur un peu décaller. Je la reprenais avec un peu de jambe droite, et je saluais. Puis je la relançais au pas. Je prenais piste à main gauche en mettant la jument grise au trot, d'un trot actif et énergique, en la gardant bien en place. Tout de suite dans la diagonale, je pressais les flancs de la jument, qui tendait ses antérieurs devant elle, se propulsant bien sur ses postérieurs. En R, je faisais une belle volte de 10 mètres avec les aides de l'incurvation. La volte était parfaite, car Guar' était bien incurver et elle était en place. En A, j'arrêtais la grise, en reculant mes épaules et fermant mes mains et mes jambes. Je la gardais à l'arrêt pendant 5 sc, puis je la remettais au pas. Je faisais ma demi-volte en VK, en chassant les hanches de la jument sur le demi cercle. Tout de suite à la fin de la demi-voltre renversée, je lançais la jument grise au trot, un trot actif, mais en la gardant bien sur la main. Je mettais la jument grise au trot allonger dans la longueur, la jument poussant bien sur ses postérieurs, développant parfaitement bien. En E, je faisais un cercle de 20 mètres, en gardant bien la jument dans mes jambes et en l'incurvant, en restant redressée et en accompagnant bien le trot de Guaranah. En K, je repassais la jument au pas en me redressant. Je la faisais marcher jusqu'en A, ou je lançais la jument au galop. Guaranah redressait la tête, mais je la gardais en place, et je la galopais jusqu'en E. J'y faisais un grand cercle de 20 mètres, me battant avec Guar' pour qu'elle s'incurve. En A je la repassais au trot de travail, en la gardant toujours dans mes jambes pour ne pas qu'elle molisse. Je prenais la diagonale FH, ne laissant pas Guar' allonger son trot. En X, je repassais la jument au pas, et je la marchais jusqu'en H. En C, je la lançais au galop à droite, et j'avais droit à une ruade joyeuse. Je lui mettais un coup de cravache sur la croupe, lui rapellant qu'on était au travail. Je faisais un grand cercle de 20 mètres en A, en insistant bien avec mes tallons pour incurver la grise. En E je la repassais au trot, en accompagnant bien la transition, et en ne laissant pas la jument "charger". Je prenais ensuite la diagonale ME, en faisant allonger son trot à la jument grise. Je repassais ensuite la jument au trot de travail en E, à la fin de la diagonale. Je faisais un doubler dans la longueur en A. J'arrêtais Guaranah en X, et je saluais. Je lâchais mes rênes, et je flattais abondemment la jument grise, la faisant marcher.

» Très bien ma fille ! Il faut juste se concentré un peu plus ...

Après l'avoir bien fait souffler, je l'arrêtais et je mettais pied à terre. Je dessanglais de 2 trous, et je remontais mes étriers. Je menais la jument à la porte de la carrière, et je l'ouvrais, avant de la rentrer à son box. Une fois à son box, je la désellais et je lui mettais son licol à la place du filet. Ensuite je lui passais un bon coup d'étrille, de bouchon et de brosse douce, faisant la jument toute belle et toute scintillante^^ Je lui curais soigneusement les pieds, puis je les brossais. Enfin je lui graissais les pieds, puis je la rentrais dans son box.

» Salut ma grade, à d'main !

Je fermais le box, et je quittais le domaine.

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» S E A N C E . M I X T E . 31/07/07

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Je revenais au Haras après avoir bien manger. Je prenais mon matériel à la sellerie, puis je me dirigeais vers le box de Guaranah. Je déposais tout devant, et je rentrais dans son box, caressant longuement la belle petite jument. Je lui embrassais les naseaux, et je lui passais son beau licol en cuir.

- Tu viens ma grande ?

Je sortais la grise du box, et je fermais la porte derrière elle. Puis je lui posais la longe sur l'encolure, et je prenais mon bouchon. Je passais un rapide coup de bouchon à la ponette, puis je prenais ma brosse douce. Je lustrais sa belle robe avec ma brosse, et enfin, je lui curais soigneusement les pieds. Puis je lui déméllait soigneusement les crins : queue, crinière et toupet.

- Et voilà ma grande !

Je flattais la jument, et je lui mettais ses guêtres, protèges-boullets et cloches. Puis je lui posais son tapis bordeaux, son amortisseur et sa selle, et je la sanglais. Je lui enlevais son licol pour le remplacer par le filet, et je lui mettais des rênes allemandes. Je mettais mes éperons, mes gants et je resanglais ma ponette. Puis je me mettais en selle, dirigeant ma ponette vers la carrière de dressage.

- C'est mixte aujourd'hui ma puce ... On dresse et après on saute

On marchait assez longtemps, et on arrivait enfin à la carrière de Dressage. Je ressanglais d'un trou ma ponette, et je racourcissait mes rênes, puis je pressais les flancs de ma grise, qui s'élançait souplement au trot. Je prenais le trot assis, et jouais légèrement avec mes doigts, la gise descendant sur ses rênes, tendant fort les rênes allemandes. Je les laissaient un peu filler, puis je faisais évoluer ma ponette sur des serpentines. Grâce aux éperons, elle s'incurvait avec beaucoup de souplesse, et effectuait tout ce que je lui demandais. Visiblement, elle était très heureuse de travailler ... Je la faisais ensuite travailler sur des sessions à la jambe, alternant jambe droite puis jambe gauche. Au début, Guaranah s'emmellait les pinceaux, puis à la fin, elle évoluait avec beaucoup de grâce et de souplesse, se déplaçant sur le côté très bien. Je la faisais changer de main, et je recommençais mes serpentines à l'autre main, en incurvant toujours aussi bien ma ponette. Puis je recommençais les sessions à la jambe. Un peu émoustillée par les éperons, Guaranah bondissait avec vivacitée en avant, en arquant son encolure puissament. Elle relevait haut ses membres, et une trainée de bave blanche s'écoullait de sa bouche. Je finissais par la caresser et la repasser au pas, car je ne voullais pas qu'elle commençe à chauffer, sinon elle deviendrait folle ...

- C'est bien ma fille ...

Je resanglais, et je retirais les rênes allemandes. Puis je lui demandais le galop à droite, et la ponette démarrait souplement au galop. Je la faisait galoper tranquillement sur un cercle, puis je la faisais changer de main, et la ponette changeait toute seule de pied au milieu. Je la faisais galoper à l'autre main de nouveau sur un cercle, puis je la repassais au trot et au pas, la laissant souffler tranquillement rênes longues. Puis je la dirigeais au pas vers le paddock de saut.

- On s'entraîne et on va sauter ma fille ...

Je lançais ensuite ma ponette au petit trot vers une croix. La grise la franchissait avec souplesse, et je la faisais donc revenir au petit galop. Guaranah sautait tout aussi bien, alors je la félicitais. Je l'envoyais ensuite sur un vertical d'un mètre, en mettant bien mes jambes. La grise le sautait avec beaucoup de souplesse et de grâce, alors je la félicitais. Puis je la dirigeais vers le parcours : les croix étaient des oxer, et les barres étaient toute entre 90 centimètres et un mètre.

- Allez ma belle !

Je la faisait galoper d'abord sur un cercle, puis je la dirigeait vers le premier. Elle franchissait avec élégance et souplesse l'obstacle, en propulsant bien ses postérieurs. Je la dirigeait ensuite à gauche sur le double oxer/vertical. La jument hésitait un peu, car l'obstacle était balèse. Elle le franchissait en sautant pratiquement 30 centimètres au-dessus, et je devais appuyer fort sur mes pieds pour ne pas vider les étriers Puis je me redressais à la reception, et mettait dans l'impulsion sur les deux foullées de la jument. Elle franchissait avec grâce le vertical, en éjectant bien ses postérieurs, pour ne pas toucher la barre.Je la faisait ensuite tourner à gauche, la dirigeant vers la haie barrée. Je reculais bien mes épaules, e tje mettais mes jambes, la ponette sautant avec puissance la haie, et j'étais penchée sur son encolure au planer, regardant élgèrement à gauche. Je faisait tourner la ponette à gauche, cherchant à prendre le numéro 5 en biais. Je mettais mes jambes, car je sentais qu'elle voullais refuser. DSevant l'obstacle, je mettais à fond mes éperons dans les flancs de la grise, qui bondissait au-dessus avec souplesse. Je la faisais tourner au grand galop entre la haie et le double. Je la reprenais ensuite avec douceur, me redressant bien devant le double oxer/vertical. La grise franchissait avec toujours autant d'aisance et de puissance l'obstcle, et effecutuait ses deux foullées avec souplesse. Elle franchissait ensuite en frollant légèrement la barre le vertical, alors je l'éperonnait vivement à la réception, la dirigeant à gauche vers la haie. Guaranah la sautait avec puissance et style, et je la faisais galoper comme une dératée pendant quelques mètres. Je le repassais au trot et au pas, et je la laissais marcher rênes longues, en la flattant fooort.

- Super ma grande !

Tout d'un coup, je voyais CajOu' m'observer, et s'aancer vers moi, incrédule.

CajOu' - T'as pas sauter ça ?!
Citron - Si pourquoi ? oO
CajOu' : Mais sa mesure un mètre 20 au maximum !!
Citron : Quoi ?!!!! Mais ... mais ...
CajOu' : En tout cas, bravo ! Ta ponette n'a fait aucune barre, c'est génial !
Citron : Euh ... oui c'est sûr ...

CajOu' me laissait, et je descendais de ma ponette, la ramenant à son box. Je la desellais soigneusement et je lui enlevais ses protections, puis je la menais à la douche. Je la douchait longuement, et je lui passais le couteau de chaleur. Enusite je la rentrais à son box, et je la curais soigneusement. Je lui passais un rapide coup de bouchon, puis je la menais au pré, lui mettant sa couverture séchante.

- A demain ma belle ...

Je la laissais, et je partais du Haras.

» Séance d'Entraînement de Guranah en Saut d'Obstacles

» J'arrivais tranquillement aux écuries en voiture, et je me garrais au parking de EC. Une fois sortit de mon véhicule, je me dirigeais vers le bureau de CajOu', mais elle n'était pas là. Je partais vers la grange, et je prenais les rations de mes deux chevaux, que je nourissais. Je ballayais soigneusement tout le Domaine, et je faisais les boxs de mes deux chevaux. Je me décidais enfin à aller passer un licol à ma grande grise, et à la sortir du box. Visiblement toute heureuse de sortir de son box, Guaranah secouait jovialement son encolure, et trottinait prèt de moi, alors que je l'emmenais au paddock. J'ouvrais la barrière, et je faisais pénétrer ma ponette dans le paddock de sable. Une fois la porte fermée, je détachais la longe de la jument, qui démarrait au galop en ruant vivement, effectuant plus tours à vives allures. Quand la grise s'agenouyait pour se rouller, je me levait, et j'agitais les bras, en disant " Non " fermement. Fidèle à moi, la grise se redressait, et trottait avec puissance autour du paddock, faisant rouller ses muscles sous osn poil fin d'été, les crins au vent et les naseaux dilatés, oreilles pointées. Je souriais en voyant ma ponette comme ça, et je partais aux vestiaires m'habiller. J'enfillais mon pantalon, mes bottes et mes éperons. Je prenait mes brosses et mon filet, avec mon matériel pour monter et les protections. Je retournais voir ma grise au paddock, et elle ne s'était pas roullée, heureusement Dès qu'elle me voyait avec l'équipement, elle se précipitait vers moi en hennissement vivement. Je lui caressais l'encolure et je lui passais le filet, puis je lui passait un rapide coup de bouchon, enlevant la poussière accumulée dans le paddocl. Suivit un coup de brosse douce sur la robe lustrée de la grise, et un coup de cure-pieds pour la faire toute belle. Je lui enfillais ses guêtres et ses cloches, puis je mettais mes gants et ma bombe. Je me montais souplement sur la grise en m'aidant de la barrière, et je l'ouvrais promptement ensuite. Se cabrant à demi d'éxitation, la grande et belle grise hennissait stridement. D'un coup d'éperon, je rapellais à l'ordre la jument, qui ronfflait des naseaux, et sortait calmement du paddock. Je la dirigeais dans un pré, et je l'éperonnais doucement, la faisant partir avec douceur au trot. Jouant avec mes doigts, j'arrivais à placer la jument sans beaucoup de mal, en accompagnant parfaitement le trot dynamique et confortable de la grise. Celle-ci prenait à coeur d'effectuer toute les figures de manèges que je lui demandait de réaliser, s'incurvant avec beaucoup d'aisance et de souplesse. Je changeais trois fois de mains, en travaillant toujours aussi bien ma ponette aux deux mains. Je la repassais au pas, et je la laissais souffler tranquillement, rênes longues.

» C'est bien ma puce ...

» Une fois bien reposée, moi et ma ponette, je reprenais mes rênes, et je lui demadais le galop à droite. Guaranah s'élançait avec souplesse dans le pré, foullant avec ardeur et fougue l'herbe grasse et verdoyante, qui se couchait rapidement sur son passage. Les battues de la grise s'amplifiait, mais je les retenais, en mettant des jambes, forçants la belle donzelle à prendre un galop soutenu et bouillant : ce qu'on appelle courrament le galop rassembler. Je changeais de main rapidement, car Guar' avait tendance à chauffer facilement ... Toujours vive et puissante, la grise chauffait toujours, arquant son encolure et tirant sur les rênes pour que je la lâche, mais je ne cédais pas prise, au contraire. Plus elle tirait, plus je lui demandais de ralentir, en mettant toujours mes jambes. Quand elle était éjà plus calme, je la faisait repasser au trot, et je la faisait trotter énergiquement, en évoluant sur toutes les figures de dressage que je connaissais et faisait aussi des hanches en dedans et des sessions à la jambe, pour travailler le dressage de ma jument. Puis je la repassais au pas, et je la laissais souffler rênes longues, en la faisant sortir du pré pour la diriger vers la carrière de saut d'obstacle.

» Bien ma puce, mais ça se voit que t'es pas sortit assez ces temps-ci ...

» Ce n'était pas des reproches, juste un constat : la grise était vive et en pleine fleur de l'âge pour la compétition de haut niveau, mais je la garderais encore un peu. Une fois arriver à la carrière, je regardais plusieures cavalières sauter une E1, c'est à-dire un mettre dix. Je souriais en les regardants monter, et faire genre je monte suer bien et avec une selle ... J'allais sauter 10 centimètres de plus et sans selle, sur un parcours de 6 obstacles et des difficiles ... Enfin, je descendais, et je montais toutes les barres et élargissait les oxers. Puis je me mettait en selle, et je lançais ma petite grise au galop sur une croix rouge et blanche, à 80 centimètres. Très à l'aise, la grise sautait avec élégance et souplesse, et j'accompagnais très bien son saut, me surprenant moi même Je l'envoyais ensuite directement sur un vertical d'un mètre, suivait d'un oxer d'un mètre dix. Guaranah s'élançait avec fougue et énergie vers le vertical, et je la recalais dans une allure plus calme. Gardant mes jambes, je sautais en même temps que la grise, me cramponant bien à la crinière et serrant fort mes genoux. Dès la réception, je mettait mes jambes, dirigeant avec vigueur la grise vers l'oxer. Avec puissance, la grande grise s'élançait au-dessus de l'oxer, sans éprouver de gène quelques conques, mais s'envollant avec beaucoup de facilitée Je la caressais à la réception, et je la repassais au pas, la laissant souffler deux/trois minutes.

» C'est bien ma puce ...

» Une fois la ponette en forme, je l'envoyais au petit galop sur un cercle, remarquant bon nombre de gesn attrouper devant la barrière ... Génial, on peut pas s'entraîner tranquille ou quoi ? Canalisant bien l'énergie de ma ponette dans ses membres, je me décidais enfin à l'envoyer sur le parcours avec des jambes et de la voix, pour l'encourager. Le premier obstacle se dressait devant nous : un vertical bleu et blanc, Guaranah le sautant avec aisance et souplesse, en troussant bien des antérieurs et en dégageant bien ses postérieurs. A la réception, je la faisais tourner à gauche, la dirigeant sur un mur assez inprécionnant. Sans être gênée, la grise le franchissait avec aisance, et je m'accrochais bien, serrant mes jambes autour des flancs de ma jument, suivant tout ses sauts en parfaites harmonies. Après quelques foullées, la grise soulevait ses antérieurs, poussant fort sur ses postérieurs, pour franchir un bidet en oxer. Planant avec grâce au-dessus de l'obstacle, les oreilles pointées et les naseaux dilatés, crinière au vent, j'étais couchée sur l'encolure, regardant l'obstacle suivant. La photo aurait été parfaite, mais hélas, il n'y en avait pas ... Je faisait tourner ma grise à droit : on était maintenant à la moitiée du parcours. Un oxer énorme se dressait devant nous, et je redressait mes épaules, raccourcissant mes rênes et canalisant bien ma ponette. Pas impréssionée le moins du monde, la grise s'élançait avec fougue et courage vers l'obstacle. Le franchissant d'un bond spectaculaire, je manquais de tomber, mais Guaranah réceptionnait doucement, me remettant à ma place. Je la menais vers l'avant dernier obstacle, donc je la faisait tourner à droite, la dirigeant vers un vertical vert fluo. Pas du tout surprise, la grise le sautait avec élégance et puissance, et je restait bien en place, ne manquant pas de tomber cette fois. Je la faisais galoper, la dirigeant vers le dernier obstacle : un oxer. Guaranah galopait avec puissance et vitesse, et franchissait l'oxer avec beaucoup de souplesse. Je la faisait galoper à fond sur deux tours de carrière, vu qu'elle attendait que ça Je lui faisait reprendre son souffle au trot, puis je la repassais au pas, la laissant souffler rênes longues.

» Tu es épatante ma grande; à nous deux, on finiras sur les podiums de CSO, tu verras !

» J'étais persuadée que ma ponette avait un réel potentiel, et j'allais l'exploiter jusqu'au bout, pour montrer à tous que même une ponette comme les autres pouvait devenir une championne. Cette fois, mon objectif était le saut d'obtacles, car je n'avais pas trop le temps de l'entraîner en Cross ... Bref ! Je rentrais calmement ma ponette à l'écurie, et je descendais, lui enlevant ses guêtres. J'ôtais ma bombe, mes gants et mes éperons, et je prenais mon étrille, commençant à brosser soigneusement la grise. Puis je lui passais soigneusement un coup de bouchon, et je lustrais ensuite son poil avec la brosse douce, avant de lui curer avec soin les pieds. Comme elle semblait avoir chaud, je la menais à la douche, et je la rafraîchissait. Puis je sèchais les membres de ma petite championne, et je lui enlevait l'eau qui gouttait sur son corps. Enfin, je l'emmenais au pré, ou je la lâchais en compagnie d'une autre jument. J'aidais CajOu' à remplir des dossiers, ce que je faisais pour gagner un peu d'argent de poche ... Puis je sortais les chevaux à vendre au paddock, ou je les longeais, pour les faire travailler. Je déjeûnais ensuite avec un palefrenier, et on discutait de chose et d'autre, intimement xD Puis je passais voir Guaranah, et je partais m'occuper de Satan.