» Jallen & Javelle d'Hélise

>> Première rencontre avec Javelle

D’un pas impatient, j’arrivais devant la grande porte de l’écurie des chevaux de propriétaire. J’étais enfin, l’heureuse propriétaire d’une ponette du nom de Javelle d’ Hélise. Mon cœur commençait à battre très fort, je poussais timide la porte. C’est alors que je vis plus d’une dizaine de poneys, aussi beau les uns que les autres, j’étais au ange. Le seul fait de voir des chevaux ou des poneys me rendait heureuse. Mais ce n’était pas tout, désormais il me fallait trouver ma ponette.
Je reprenais mon chemin, marchant droit devant moi et regardant à droite, à gauche. C’est vers le fond de l’écurie que j’aperçu une sublime ponette. Je n’en croyais pas mes yeux, sur son box était inscrit son nom : Javelle d’Hélise. Cette ponette était la ponette de mes rêves et désormais c’était ma ponette. Il me fallut quelques minutes pour réaliser ce qui se passait. Je m’avançai lentement vers la ponette, tendant ma main vers elle afin qu’elle sente mon odeur. C’est ce qu’elle fit rapidement. Comme je l’avais espéré, elle semblait pleine de sang et d’énergie. Délicatement, je commençais à lui caresser le chanfrein.
« Salut ma beauté ! C’est moi ta nouvelle propriétaire. Je suis sure qu’on s’entendra à merveille toi et moi, tu es tellement belle ! »
L’envie d’ouvrir la porte du box était trop forte, je voulais voir son corps, ses membres, ses muscles. Timidement, j’ouvris la porte du box. J’admirai son beau corps, fin et élégant, ses membres fins mais puissants. Elle était encore plus belle de là où je me trouvais. C’est pourquoi, je décidai d’ouvrir un peu plus la porte afin d’enter dans son box. La petite jument grise recula de quelques pas vers le fond de son box. Je m’arrêtai net et je fermai la porte très lentement. Je commençai à tendre la main afin que Javelle vienne d’elle-même vers moi.
« Tu viens me voir ma belle Javelle. N’ai pas peur, il te faut t’habituer à moi. »
Je continuai à lui parler lentement et doucement afin de ne pas l’effrayer. Petit à petit, elle fit quelques pas et se rapprocha de moi. Cette ponette était vraiment spéciale mais très attachante, je savais que le travail allait être du, mais j’étais sure que Javelle ferait de son mieux. Après quelques minutes, Javelle se laissait faire, je le caressais le chanfrein, puis l’encolure, ensuite le dos. Sous ma main, je sentais ses muscles, malgré sa finesse, elle avait de la force.
« Un petit pansage te fera sûrement du bien, tu as des bouts de paille sur ta belle robe grise. «
Je m’éloignai un peu d’elle, pour ouvrir légèrement la porte afin de prendre mon bouchon pour lui passer une petit coup de brosse et renforcer un peu sa confiance. Javelle était attentive à tout, elle me regardait attraper ma brosse. Je revient vers elle en lui montrant bien la brosse, ses petites oreilles pointés en avant, elle sentit la brosse puis s’en désintéressa rapidement. Je commençai alors un petit pansage, je partis du haut de l’encolure dans le sens du poil. Suivit de l’épaule, Javelle semblait apprécier, je lui nettoyai les membres qui était légèrement couvert de paille, elle avait du se rouler dans la nuit. Je terminai le pansage au bouchon du côté gauche et je passai à l’autre côté. Tout aussi délicatement, je terminai complètement le pansage. Javelle s’était un peu calmé grâce au pansage, elle me regardait moins bizarrement. Je rangeai le bouchon, pour prendre le cure-pied. Plus rapidement qu’avec le bouchon, je lui curai les sabots, un par un mais toujours aussi calmement pour ne pas l’exciter plus qu’elle ne l’était. Après avoir rangé le cure-pied, je revins vers ma petite jument, je lui caressai le chanfrein. Puis je sortis du box, en veillant à bien le fermer, une dernière caresse.
« Voilà pour aujourd’hui Javelle ! A demain ! »
Je lui fis un bisous, je m’éloignai lentement en marchant et en jetant un dernier coup d’yeux à sa petite tête qui me regardait partir. Je retraversa l’écurie des poneys, j’ouvris la porte en pensant à se que je ferais demain avec Javelle puis je partis.

Premier entraînement

J’avais tout décidé hier soir, aujourd’hui allait être notre premier jour de travail. Bien sûr, tout n’allait pas commencé par un travail monté, non, juste une séance de longe pour qu’on s’habitue l’un à l’autre. Mais avant ça, un bon pansage allait nous détendre toutes les deux.
J’avançais toujours aussi vite que hier mais j’étais moins stressé, je voulais tellement revoir Javelle. J’ouvris moins timidement la grande porte, maintenant que je savais où était ma ponette, j’allais droit devant moi. C’est quand je vis Javelle que je m’arrêtai, elle était toujours aussi belle et douce. Je m’approchai lentement en tendant la main, elle ne reconnaissait pas encore vraiment mon odeur mais c’était normal, on ne s’était vues qu’une seule fois. Malgré tout, elle me laissa lui caresser le chanfrein et la crinière, elle était tellement douce.
« Coucou Javelle, ça va bien aujourd’hui ? Un bon pansage à l’extérieur de fera du bien avant un petit travail à la longe. »
Je terminai de caresser Javelle, j’attrapai le licol accroché à côté de mon box et j’ouvrai la porte du box. Javelle recula au fond du box, j’entrai lentement dans le box avec le licol derrière le dos. Calmement, comme hier, je lui laissai sentir ma main tout en lui parlant doucement et en avançant. J’arrivai plus rapidement à elle que hier, le fait de voir le licol ne lui fit rien, elle se laissa faire et j’attachai la boucle du licol. J’ouvris en grand la porte du box pour pouvoir la faire sortir. Tous les poneys la regardèrent sortir tranquillement. Je compris rapidement qu’elle ne supportait pas l’autorité, j’avais donc décidé de lui laissait la longe plus longue. Arrivées près de l’anneau extérieur à l’ombre, j’attachai Javelle.
« Voilà, maintenant le pansage ! Soit sage ma belle. »
J’allai chercher mon matériel de pansage, quand je revins, je vis Javelle qui attrapait des feuilles sur l’arbre d’à côté, elle faisait une drôle de tête. Je me mis à rire puis je vins vers la elle pour la caresser. Je commençai mon pansage avec l’étrille en faisant des mouvements circulaires sur les parties charnues, j’allais très doucement car Javelle avait l’air très sensible, elle avait les oreilles en arrière. Puis je prends le bouchon, elle devait s’en rappeler car elle s’est de suite calmée quand j’ai approché le bouchon de son corps. Je l’ai pansé aussi lentement et calmement que hier pour lui faire plaisir. Ensuite, j’ai voulu la faire bien belle, alors j’ai pris la brosse douce, je donnais un coup à contre sens puis un coup dans le sens du poil. C’était assez long et fatiguant mais le résultat est super sur Javelle. Puis je prends la brosse à crins car ses crins sont assez emmêlés, je suis obligé de prendre le démêlant, puis délicatement pour ne pas lui faire mal je lui démêle le toupet, la crinière et la queue. Pour finir, je lui cure les sabots.
« Maintenant, je vais chercher le caveçon et la longe de travail. »
J’allai dans la sellerie, je pris le caveçon puis la longe de travail. Quand je revins, Javelle me regarda attentivement comprenant qu’elle allait être longée. Elle reculai un peu mais je continua à avancer et elle finit me regarder. Lentement mais sure de moi, je lui attachai le licol autour du coup. Je pensais que lui mettre le caveçon serait compliqué mais en fait non, Javelle était plutôt calme aujourd’hui, peut être parce qu’elle me connaissait un peu mieux maintenant. J’attachai toutes les bouches du caveçon puis je le réglai, Javelle avait une petite tête. Je commençai à détacher le licol et à lui accrocher la longe au caveçon en allant dans le manège.
De suite, je compris que ça allait être difficile plus tard de la monter. Javelle essayait toujours de déjouer de mon autorité. Je la mis au cercle autour de moi avec la longe assez lâche. La belle grise regarda tout autour d’elle, les oreilles pointées en avant, un sourire se dessinai sur mes lèvres, elle était tellement belle ma ponette. Puis on commençai petit à petit notre travail, je raccourcis la longe afin d’avoir le contact. Au début, Javelle avait les oreilles en avant, mais je la laissai marcher longtemps ce qui la détendit un peu. Puis d’un appel de langue, je la fis partir au trot.
« Au trot, Javelle ! »
Je fus très surprise quand je vis les ruades de la ponette, elle devait sûrement avoir envie de se dépenser. Pour cette fois, ça pouvait aller, je tirai légèrement sur la longe afin de la faire repasser au pas. Elle écouta et comprit qu’elle ne devait pas le faire quand ont travaillai.
« Tu pourras te défouler tout à l’heure, au pré. Pour l’instant, on travaille. »
Elle comprit bien ce que je lui avais dit et elle resta au trot pendant tout le travail à cette main. Afin de la détendre, je fis pas mal de transition trot pas trot, puis j’essais de l’arrêter, petit à petit, Javelle était de plus en plus docile. Bien sûr, ce n’était pas encore un ange, mais c’était bien. Quand elle fut bien détendue de ce côté, je la fis repasser au pas et je la changeai de côté. A main gauche cette fois, elle était moins nerveuse et plus détendue. Je la laissai au pas pendant plusieurs minutes comme au début, ça avait bien porté ses fruits. Puis je la fis partir au pas.
« Au trot, ma belle Javelle ! »
Je gardai la longe bien tendue au cas où elle aurait dans l’idée de recommencer ses ruades. Mais non, elle fut sage et partit simplement au petit trot. Je la félicitai vocalement en détendant un peu la longe pour qu’elle comprenne que c’était bien. Je fis des transitions comme je lui avais fait faire à l’autre main. Maintenant, Javelle était calmé et posé, bien sûr, ça ne risquait pas de rester comme ça si quelqu'un ou si un autre cheval arrivait, mais pour l’instant tout était parfait. C’est pourquoi je décidai d’essayer de la faire galoper. Après tout, j’espérai bien pourvoir la monter demain ou dans quelques jours. Je la laissai d’abord se reposer en la laissant avec la longe un peu lâche. Javelle ralentit son pas et mit la tête vers le sol.
Plusieurs minutes après, je reprenais la longe, Javelle releva vivement sa belle tête grise en se tournant vers moi. Je lui fis un appel de langue pour lui faire comprendre qu’on reprenait le travail. Elle partit au trot normal, je comprenais qu’elle en avait envie mais je ne savais pas quelle serait sa réaction même si je m’en doutais. Pour avoir toutes les chances de mon côté, je me préparai au pire. Je me redressai, je tendrai bien la longe sans trop tirer. Je fit un léger appel de langue, Javelle ne se fit pas attendre, elle parti au saut de mouton au grand galop. Prête à ça, je me redressai vivement en lui parlant.
« Oh Oh Oh, calme Javelle. C’est rien. Au galop. »
Après quelques instants, Javelle se résigna à repasser au galop. Malgré ses sauts de mouton au départ, Javelle avait un très beau galop, souple et très léger, mais un caractère très spécial. Je la fis galoper un peu pour qu’elle se détende puis, je la repassais au trot et au pas afin de changer de côté. Javelle savait très bien se qu’on allait faire mais je fis exprès de la tromper. Je la fit partir au trot puis repasser au pas. Javelle ne comprenait plus rien. C’est quand elle s’y attendait le moins que je lui demandai un départ au galop. Surprise, Javelle partie simplement au galop, je la félicitai alors vocalement en lui relâchant un peu la longe. Elle commença à baisser la tête, j’eu peur qu’elle lance une ruade mais en fait, elle souffla avant de redresser vivement sa tête quand je lui demandai de repasser au trot.
« C’est très bien Javelle, tu as bien travaillé, tu mérite d’aller au pré. Mais avant ça, je te débarrasse du caveçon et un bon pansage. »
Je sortis du manège avec Javelle et je partie la faire marcher. Je traversai le centre équestre avec Javelle, en passant dans la carrière, dans la cour, près des prés. Et pour finir, je revins l’attacher à l’anneau. D’abord le licol autour du coup, je lui enlevai le caveçon puis je lui remis le licol correctement. J’allai tout ranger dans la sellerie et en revenant, je prenais une belle carotte pour Javelle. Depuis notre rencontre hier, Javelle avait passer son temps à me tester, mais aujourd’hui, j’étais fière d’avoir réussit à déjouer son piège au galop.
En revenant vers elle, je la caressai longuement, puis je commençai le pansage. Pas besoin de douche, ni de l’étrille, elle ne transpirait pas et elle n’était pas vraiment sale. Je lui passai donc le bouchon sur tout le corps, elle avait une peau très fine, c’était sûrement pour cela qu’elle adorait les pansages s’ils n’étaient pas très brutaux. Ensuite, je lui démêlais tranquillement les crins et je lui curais les sabots. Je la détachai alors, Javelle comprit qu’elle allait aller au pré, elle commençait à s’énerver quand je la fis tourner vers les écuries.
« Attention, Javelle ! Doucement, sinon tu vas pas au pré. »
J’eu l’impression qu’elle m’avait comprit car quand je partis en direction de pré, elle se mit à côté de moi, au pas tranquillement. Avant d’ouvrir la porte de son pré, je lui donnai la carotte et je la caressai. J’étais vraiment la plus heureuse, avec la meilleure ponette au monde. J’ouvrai la porte du pré, je la poussai un peu pour pas qu’elle sorte et je la lâchai. Javelle partie gentiment au trot puis quand elle fut assez loin, elle partit au galop, ruant de tout les côté. Je sortis du pré et m’accoudais à la barrière pour la regarder se défouler. Elle était trop mignonne ! Je posai son licol sur la barrière pour la prochaine fois et je partis.
« A bientôt Javelle !! »

Dernier jour avant absence

En arrivant à Endless Compétition, je vins directement au pré où se trouvait Javelle, ma ponette. Arrivée devant le pré, j’attrapai le licol qui était posé sur la barrière de son pré. La belle grise était tranquillement en train de brouter de la bonne herbe verte. J’entrai dans le pré et je m’approchai lentement d’elle.
« Javelle ! Je suis là ma jolie. »
Javelle releva sa belle tête et posa ses yeux sur moi. Elle ne se bougeait pas quand je m’approchais, elle se laissait gentiment mettre le licol. Je pris la longe dans les mains et partis en direction de l’ouverture du pré. Je la faisais sortir puis je refermais le pré. En allant vers l’anneau auquel je l’avais attaché hier, je continuais à lui parler comme je l’avait fait depuis que je l’avais et puis comme ça, elle s’habitué au son de ma voix. Je l’attachais à l’anneau puis j’allais chercher mes affaires de pansage.
« Un bon pansage puis après tu ira au box. Aujourd’hui, je n’ai pas le temps de te monter. On commencera ce travail quand je rentrerai de vacances. »
Aujourd’hui, j’avais décidé de lui faire un bon gros pansage avant mon départ, même si je savais que Javelle ne me connaissait pas encore beaucoup, je voulais que pendant cette semaine d’absence, elle ai un bon souvenir de moi. C’est pourquoi, j’avais pris tout ce dont j’avais besoin pour que ma petite Javelle soit sublime même si elle l’était déjà.
Sa robe grise était plutôt sale avec quelques tache d’herbe, elle avait du se rouler dans la nuit. Alors, je la détachais et l’amenais à la douche. Avec mon shampooing pour les poneys, je lui douchais les membres, la croupe, le dos, les épaules et le bas de l’encolure. Heureusement, il faisait chaud, puis les crins. Avec un shampooing pour les crins, je lui nettoyais soigneusement ses beaux crins. Pour finir à la douche, je rince délicatement le corps et les crins de Javelle.
Ensuite, je la détachai de l’anneau pour la ramener à l’anneau où elle était au début. Sa robe est toute humide, je prend mon couteau de chaleur afin d’essoré sa robe. Ensuite, je met du démêlant sur ses crins, je lui brosse doucement avec la brosse à crins et je les égalise avec le peigne. Je fais pareil à la queue et je démêle son toupet. Ensuite, je m’attaque aux sabots, je lui cure soigneusement les pieds en enlevant la poussière avec une vieille brosse et le lui graisse les sabots avec de la graisse blonde.
Et pour terminer, je m’occupe de sa tête, je prends une petite brosse assez spéciale, je lui nettoie la tête et j’enlève toute la poussière, partie après partie. Puis, je prends plusieurs éponges, je lui nettoie le coin des yeux avec la première éponge et je lui nettoie les bords de la bouche et des naseaux avec l’autre. Je m’éloigne un peu de Javelle pour admirer cette beauté.
« Sublime, tu es superbe ! Je n’ai jamais vu une ponette aussi belle que toi. »
Je reviens vers Javelle et je la caresse longuement. Je sors un bonbon de ma poche, elle me lèche l’autre main, je lui donne le bonbon. Ensuite, je la détache, je l’amène au box. Je lui enlève le licol, je sors et je ferme le box.
« A lundi prochain ma chérie ! »
Je lui fais un dernier bisous et je pars.

Premier travail monté

J’arrivais assez tôt ce matin aux écuries. J’avais vraiment trop envie de revoir ma petite Javelle. Même si mes vacances avaient étaient superbes, elle m’avait manqué. Je poussais vivement la porte de l’écurie et je m’engageais dans un pas rapide vers le fond de l’écurie, là où Javelle se trouvait. Quand je vis la belle tête sortir du box, ses fines oreilles en avant, elle me regardait, un sourire se dessina sur mes lèvres. Je m’approchais lentement d’elle en tendant ma main pour qu’elle essaie peu être de me reconnaître même si elle ne me connaissait pas trop. Javelle était en effet très intelligente car elle se rappela un peu de moi, du moins, elle se rappela que je l’aimais beaucoup car elle me laissa la caresser.
« Coucou ma Javelle. Ca va bien ? Tout c’est bien passé depuis mon départ ? »
Javelle avait l’air en très bonne santé, le poil brillant, les yeux expressifs, le poil doux,... Bref, une jument parfaite ! J’entrais donc dans son box pour la caresser un peu plus, j’avais appris, depuis que j’avais Javelle qu’elle adorait les caresses alors je satisfaisais les désirs de mademoiselle de l’Hélise. Après une petite séance de caresse, je ressortais du box pour prendre son joli licol, pour une fois, Javelle ne recula pas quand je vins vers elle avec le licol à la main. Elle se laissa tranquillement faire pendant que je lui mettais et attachais le licol. Puis j’ouvris en grand la porte du box en sortant Javelle dehors. Arrivée à l’extérieur sous le soleil d’aplombs, j’essayais de trouver un endroit à l’ombre. C’est sous un bel arbre plein de verdures que j’attachais Javelle, cette coquine essayait déjà d’attraper quelques branches passant près d’elle. J’allais chercher ma caisse de pansage puis je revenais.
« Tu sais pas quoi ma belle ? Je t’ai inscrit à un show, la partie en main devrait aller, vu que tu es jolie et que pour l’instant ça peut aller. Mais la partie montée, va être plus compliqué, c’est pour ça qu’aujourd’hui, je vais te monter. »
Je commençais le pansage que Javelle toujours en lui parlant du concours, j’avais l’impression que cette ponette comprenais tout ce que je lui disais. Ca allait être notre premier concours, on été pas encore très au points, mais il me fallait vraiment essayer ça pour voir la suite entre Javelle t moi, ce concours serait comme un test pour moi, afin de voir si Javelle avait des bonnes bases et confiance en moi. Pendant ce temps, je lui passais le bouchon sur tout le corps, pas besoin de l’étrille, elle n’avait pas de traces de saletés, puis la brosse douce, puis je lui démêlait un peu les crins et je lui curais les pieds, après notre travail, j’allais commencer à bien la nettoyer pour demain.
« Finit de te parler du concours ma belle, maintenant on va travailler ! »
J’allais dans la sellerie et je revenais charger d’un filet à mors simple pour notre premier travail monté, une selle mixte assez légère, un amortisseur et un tapis de selle normal. J’avais pris le plus simple possible pour aujourd’hui. Je commençais par lui mettre lentement le tapis sur le dos, Javelle était pour l’instant en train d’essayer d’attraper les branches, mais en vain. Je profitais de ces moments d’inattention pour lui mettre l’amortisseur sur le dos suivit de la selle plus doucement. J’attendais un peu sa réaction, elle se tourna vers moi et me regarda. Ouff ! Javelle n’avait rien fait, il faut dire qu’avec son caractère assez spécial, je me méfiais de tout. Je commençais lentement à la sangler, d’un seul trou pour le moment, Javelle mit un peu les oreilles en arrière puis elle arrêta. Puis je lui détachai le licol et je lui mis autour du cou. Je commençais à m’approcher d’elle avec le filet, mais elle le connaissait déjà vu que je l’avais longé avec. Ce fut donc facile à lui mettre.
« Ma bombe et on est partie Javelle ! »
Je mis ma bombe, j’étais assez détendus même si je savais que Javelle n’était pas facile, elle avait assez confiance en moi. Je détachais son licol, je prenais les rênes dans les mains et je l’amenais dans le manège. Javelle commença à me tester dès qu’on entra dans le manège, elle s’arrêta et releva la tête. Je lui fis un appel de langue, elle repartie. Je lui la marchai pendant un tour de piste puis je doublai et je m’arrêtai. Javelle écouta parfaitement et s’arrêta net. Je ressangla, Javelle n’aimait pas ça, elle mit ses oreilles en arrière. Puis je me hissa lentement sur son dos, Javelle fut un peu surprise mais elle n’eu pas d’autre réaction. Après avoir réglé mes étriers, je mis mes jambes pour faire partir Javelle au pas. Ses allures étaient bien, un peu rapides mais confortables. Je fit beaucoup de tours au pas pour qu’elle s’habitue bien à moi sur son dos, je la laissais rênes longues, elle regardai à droite, à gauche. Puis je changeais de main sur une diagonale, je la faisais marcher, je lui faisais faire des cercles plus ou moins grands, en fait, je la travaillais mais rênes longues, comme cela, elle n’avait pas l’impression d’être contrainte et elle faisait tout ce que je lui demandais. Puis je faisais quelques figures un peu plus compliquées, des voltes, des demi-voltes, des demi-voltes renversées,… Puis, je pris doucement mes rênes, Javelle releva sa tête, je pris un contact très léger pour continuer à travailler doucement sans contrainte. J’ouvris simplement mes doigts, Javelle partie au trot assez rapide, je me redressais légèrement pour la faire ralentir. Puis je continuais à lui faire faire des figures pour la détendre, des cercles, des volts, puis je changeais de main sur une demi-volte, puis encore des cercles, quelques voltes, une diagonale,… Javelle écoutait et savait faire les choses, c’était juste une question de vouloir ou pas. Après plus d’une demi-heure de travail au pas et au trot, je la laissais marcher rênes longues là où elle voulait.
« C’est très bien pour l’instant Javelle, après on va galoper un peu, j’espère que tu ne fera pas l’idiote ! »
La dernière fois que je l’avais vu galoper, elle avais lancer plusieurs ruades et fait des saut de mouton. Mais il ne me fallait pas stresser sinon elle le sentirait, elle était très maligne. Je reprenais mes rênes, dans un contact très léger avec sa bouche puis j’ouvris mes doigts. Elle partit normalement au trot, j’étais contente sur ce point, Javelle comprenait très vite. Je commençai à me mettre sur un cercle en restant un peu en arrière et redressé, j’ouvris très légèrement mes doigts. Javelle partie au grand galop, lançant un ruade au départ. Je me redressai pour l’arrêter.
« Oh, Doucement Javelle ! »
Après un cercle entier, Javelle se calma et ralentit son galop. Mais il fallait le refaire, elle ne devait pas faire ça demain. Je la laissai un peu galoper sur le cercle puis je fis une ligne droite, Javelle essaya d’accélérer mais je la retins. Puis je la repassai au trot, je m’asseyais dans ma selle, j’ouvris légèrement les doigts tout en me redressant. Javelle ne lança pas de ruade mais elle commença à accéléré, sure de moi, je la retint sans relâcher. Elle ralentie un peu, je relâchai la pression, Javelle ré accéléra, je repris la pression, ainsi de suite. Après un petit moment Javelle compris le but de mes actions et elle resta dans un galop normal. J’étais fière d’elle, je la repassai au trot et je lui caressai l’encolure. Puis je changeais de main sur une diagonale.
" C’était super Javelle, refait pareil, soit calme. »
Je me mis sur un cercle et j’ouvris légèrement les doigts. Javelle partie dans un galop un peu rapide mais pas trop, je la laissai dans cette allure pendant un cercle puis petit à petit, je me redressai. Javelle compris de suite et ralentie l’allure. Je la galopai un peu sur la piste, puis je la laissai repassai au trot puis au pas rênes longues. Je la caressai longuement, fière d’elle.
« Même si demain, on n’est pas très forte, je t’aime quand même énormément ! »
Je la laissai marcher pour reprendre un peu son souffle puis je la ramenais à l’anneau. Je lui attachai le licol autour du cou pendant que je lui enlevai le filet, puis je lui rattachai normalement. Javelle repris son jeu à essayer d’attraper les branches, toujours en vain. Puis, je la dessanglai et lui enlevai la selle, l’amortisseur et le tapis. J’allai tout ranger dans la sellerie. En revenant voir Javelle, je prenais une carotte dans ma poche.
« Bon maintenant, je vais te shampooiner pour demain ! »
Je détachai son licol et l’amenai à la douche. Javelle savait ce que j’allais lui faire, avec la chaleur de cette journée, ça allait lui faire du bien. Je commençais par lui doucher le corps à l’eau tiède et les crins. Je commençai à lui nettoyer les crins, je lui mettais du shampooing spécial crin, puis je lui nettoyai la robe avec un shampooing spécial cheval gris. Ensuite, je la rinçai bien pour ne laisser aucunes traces de savon sur sa robe et ses crins. Ensuite avec l’aide du couteau de chaleur, j’enlevai l’eau qui était sur sa robe. Pour les crins, je lui démêlai avec la brosse à crin et je lui égalisai la crinière à l’aide du peigne. Ensuite, je lui curai soigneusement les pieds et je lui passais de la graisse.
« Voilà ma beauté, tu es magnifique, prête pour demain ! »
J’avais préparer un couverture très légère pour elle, pour pas qu’elle ne se salisse en se couchant dans son box, ainsi que des bandes pour ses membres. Je lui mettais le tout et la ramenais dans son box. Je lui enlevé le licol, je le rangeais. Avant de partir, je lui donnais la carotte et je lui faisais pleins de caresse. Puis je partais.
« A demain Javelle ! »[u]

Première vrai séance de travail

J’arrivais tranquillement dans l’écurie. Aujourd’hui, j’avais rien prévus de spécial, juste une séance de dressage pour travailler un peu les transitions. J’avais préparé un travail assez léger et simple pour Javelle mais tout de même un travail.
Après quelques minutes à marcher dans l’écurie, je passais à côté d’Irak, le poney que j’avais en demi-pension, je lui fis une caresse. Juste à côté de vis ma belle Javelle. Sa belle tête sortis du box, ses fines oreilles en avant et ses yeux bruns posés sur moi. De là, elle ressemblait à un ange ! Je m’approchais d’elle et la caressais. Elle ferma ses yeux pendant que je lui grattais derrière les oreilles.
« Coucou ma jolie. T’aimes bien les caresses ! »
Je m’arrêtais pour prendre mon licol et entrer dans son box. Pour une fois, elle recula juste un peu pour me laisser passer, mais pas trop. Elle s’approcha même de moi, ce fut facile de lui mettre le licol. J’ouvrais la porte du box en grand et je faisais sortir Javelle. Ensuite, je l’attachais à un anneau plutôt à l’ombre. Je commençais son pansage. J’allais chercher toutes mes affaires pour les poser à côté de Javelle.
« Un bon pansage et après un petite séance de dressage. »
Je continuais à parler à Javelle pendant que je commençais à la panser avec l’étrille, je lui passais seulement sur les parties charnues. Puis, je rangeais l’étrille et je prenais le bouchon que je passais sur partout ; tête, corps, membres. Je rangeais le bouchon et je prenais la brosse douce, je lui passais un petite coup à contre sens puis dans le sens du poil. Et pour finir, je lui curais soigneusement les pieds.
« Voilà, je vais chercher tes affaires Javelle. »
Je rangeais toutes mes affaires correctement pour ne pas gêner Javelle si elle bougeait puis je la caressais un peu. Ensuite, je partais dans la sellerie pour prend un tapis de selle, un amortisseur, une selle et un filet à mors simple. Je revenais près d’elle. Elle me regardait attentivement quand je posais les affaires sur un rebord à côté d’elle. Je commençais à l’approcher avec le tapis. Elle mis ses oreilles en arrière.
« Fait pas ta chochote Javelle ! Il te faut travailler pour devenir la meilleure. »
Je lui posai délicatement le tapis sur le dos, suivit de l’amortisseur. Elle arrêta de mettre ses oreilles en arrière, je lui amenais sa selle. Je lui déposais légèrement pour ne pas lui faire mal, je dégarrottais j’arrangeais correctement la selle et je sanglais légèrement. Ensuite, je pris le filet sur mon épaule, je vins vers sa tête pour lui enlever le licol et lui mettre autour du cou. Puis, je commençais à lui mettre le mors dans la bouche, puis je lui mettais les oreilles dans la têtière et pour finir j’attachais tout.
« Tu es prête, je met ma bombe et on y va ! Aujourd’hui on va monter dans la carrière
Je mis ma bombe rapidement, je détachai Javelle, je prenais les rênes dans les mains et on partait en direction de la carrière. Je lui faisais faire un tour de pas en main puis je doublais au milieu et je l’arrêtais. Je ressanglai suffisamment pour ne pas que la selle ne tourne, je me mettais en selle et je réglais mes étriers. Quand, je fus prête et bien installé dans ma selle, je pris un peu les rênes dans la main en ayant un contact léger avec la bouche de Javelle. Je mis mes jambes et la ponette grise partie au pas. Je lui fis faire quelques tours au pas puis je changeais de main sur un diagonale. Et je refaisais d’autre tour, Javelle commençais a moins râler au pas par rapport à la dernière fois. Ensuite, j’ouvris très peu mes doigts pour la faire partir au trot. Je restai d’abord sur un cercle pour qu’elle s’équilibre d’elle-même puis je partais en ligne droite. Puis je faisais de nouveaux cercles un peu partout pour bien détendre ses muscles. Ensuite, je changeais de main sur une demi-volte, je faisais d’autres cercles, puis quelques voltes et des tours de carrière.
Aujourd’hui, il faisait très bon, le soleil était haut dans le ciel, aucuns nuages à l’horizon, un vrai temps de rêves, ça faisais beaucoup de bien à Javelle de travaillé dehors avec les bruits naturel des arbres ou des chants des oiseaux. Je continuais ainsi à la détendre au trot. Puis je commençais à travailler les transitions. Je commençais par la faire repasser au pas en une lettre précise et la faire repartir à la lettre suivant. Je recommençais plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle y arrive mieux puis je la caressais. Ensuite, je la laissais au pas et j’essayais de m’arrêter. C’était plus compliqué car Javelle était très sensible, au premier arrêt, elle recula. Je le refis donc une paire de fois puis ça allait. Ensuite, je la fis repartir au trot en essayant qu’elle doit droite et en équilibre. Puis, j’essayais les arrêts à partir du trot, c’était un peu difficile au début, mais Javelle comprit rapidement.
Je la laissais un peu souffler au pas rênes longues. Ensuite, je reprenais mes rênes avec un contact léger comme toujours. J’allais la faire galoper. Avant, je la mettais au trot sur un cercle, je lui faisais faire quelques transitions vers le pas. Puis, au trot, je lui faisais faire une ligne droite. Ensuite, j’ouvre les doigts et je mets légèrement mes jambes. Je reste en arrière en refermant mes doigts dès qu’elle part au galop. Pour un fois, pas une ruade, seulement un légère accélération que je ralentis de suite. Pour une fois, Javelle galopa assez tranquillement. Je fis quelques transitions galop trot galop. Puis, je la repassais au trot et je changeais de main. Je repartais un peu après au galop en tenant Javelle avec un contact léger. Je lui faisais faire quelques transitions et quelques cercles puis, je la repassais au pas et je laissais souffler 5minutes au pas.
« C’est bien, tu as bien travaillé aujourd’hui ! »
Ensuite, je descendais et je la ramenais à l’anneau. Je lui enlevais le filet, la selle, l’amortisseur et le tapis. J’allais ranger tout ça dans la sellerie puis je revenais voir Javelle. Elle me regardait attentivement, attendant une petite friandise. Je vins vers elle et je la caressais.
« Oui ma belle, tu aura une pomme, tout à l’heure quand je t’aurais brossé. »
Je prenais quelques brosses, je commençais par bien lui passer le bouchon sur tout le corps pour enlever la poussière qui aurait pu se déposer sur sa robe et la transpiration même si le travail n’avait pas été très dur. Ensuite, je lui passais un petit coup de brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil pour faire un peu briller sa robe. Je ranger ces brosses puis, je lui curais bien les pieds et ensuite je les lui graissais. Je rangeais toutes mes affaires, puis je revenais vers Javelle, je lui donnais une pomme bien rouge et je la caressais.
« Il fait bon et tu as bien travaillé, je vais t’amener au pré. »
Je détachais son licol de l’anneau et je l’amenais au pré. Je lui parlais pendant tout le chemin, arrivé devant la barrière, je l’ouvre, je fais rentrer Javelle dans le pré et je referme la barrière pour pas qu’elle parte. Ensuite, je lui détache le licol, je lui fais une dernière caresse et Javelle par au pas vers son endroit préféré pour brouter. Je sors du pré, je pose le licol sur la barrière et je pars.
« A demain ma Javelle ! »

Première séance de saut d'obstacle




J’arrive en rapidement au pré de Javelle. J’été impatiente de la féliciter pour le dernier meeting qu’on avait faire. Pour aujourd’hui, j’avais prévus une séance d’obstacle. Je vis ma petit Javelle brouter. J’entrais dans le pré puis j’appelais Javelle. La petite grise releva sa fine et belle tête et me regarda. Elle vint tranquillement vers moi au pas. Je m’approchais d’elle et la caressais.


« Tu a été trop forte ma Javelle au meeting ! On a été 1ère, t’imagine ? Toi ma petite ponette un peu fofolle. Je suis fière de toi. »


Je fis pleins de caresses à Javelle, elle qui adorait ça était au ange. Je prenais le licol, elle se laissa gentiment faire, je lui mis et lui attachai correctement. J’ouvrais en grand la barrière du pré pour faire sortir Javelle puis je la refermais derrière nous. J’amenais Javelle en main à l’endroit où je l’attachais souvent à l’ombre toujours en lui parlant et en la félicitant. J’avais l’impression que maintenant elle et moi on se comprenait, elle avait les oreilles en avant comme si elle m’écoutait. Je l’attachais à l’anneau habituel, j’allais chercher les affaires de pansage et je revenais.


« Pour aujourd’hui ma chérie, j’ai prévus une petite séance d’obstacle parce qu’on en a jamais fait. Comme ça, demain on pourra s’entraîner pour le prochain meeting. »


Je commençais un bon pansage comme souvent Javelle aimait bien ça, ça la calmait un peu. Je commençais avec l’étrille, elle avait un peu de terre sur la robe, je suis passais seulement sur les parties charnues. Ensuite, je prenais le bouchon que je lui passais sur tout le corps. La brosse douce que je passais à contre sens puis dans le sens du poil. Tout ça en prenant bien mon temps pour faire plaisir à Javelle. Je lui démêlais les crins du tout, de la crinière et de la queue avec l’aide de la brosse à crins, ce fut un peu plus long que d’habitude parce qu’elle avait été au pré. Pour terminer, je lui curais soigneusement les sabots.


« Voilà, t’es toute propre, maintenant je vais chercher les affaires. »


J’allais dans la sellerie prendre le filet, l’amortisseur, le tapis et la selle comme d’habitude. Ensuite comme on allait faire obstacle je prenais des guêtres et des protèges boulets, j’hésitais à prendre la martingale puis je décidais que non, aujourd’hui j’allais voir comme elle se comporterait. Je revenais vers Javelle qui me regardait comme toujours. Je commençais à lui poser le tapis et l’amortisseur sur le dos. Quand elle vis la selle, elle mis quelques instants les oreilles en arrière mais je me mis à lui parler, ce qui la calma un peu. Je lui posais la selle sur le dos, je vérifiais que tout était ok, je dégarrottais puis je sanglais légèrement. Ensuite, je commençais à lui mettre les guêtres, elle me regardais bizarrement, puis les protèges boulets. Je pris le filet, je lui mis le licol autour du cou. Je lui mis le mors dans la bouche, je lui passais les oreilles dans la têtière puis j’attachais la muserolle et la sous-gorge.


« C’est bon, on est OK ! »


Je mettais ma bombe, je détachais Javelle et je prenais les rênes dans la main. On partait en direction de la carrière. Je faisais un tour de carrière avec Javelle en main puis je doublais et je m’arrêtais au milieu. Je ressanglais normalement, je me mettais en selle et je raccourcissais un peu mes étriers. Quand je fus prête, je mis les jambes. Javelle regardais tout autour d’elle. Je pris mes rênes avec un contact très léger comme toujours avec elle, maintenant, je la connaissais mieux. Je commençais la détente au pas en faisant pas mal de cercles, en changeant souvent de main pour occuper un peu Javelle pour ne pas qu’elle regarde partout. Je commençais à trotter un peu, Javelle était un peu speed mais je la tenais un peu avec mon dos. Je faisais pleins de cercles, je la travaillais un peu pour qu’elle soit au moins droite mais je ne lui ordonnais rien de fort pour ne pas qu’elle s’énerve. Je changeais souvent de main, Javelle commençait à se concentrer un peu. Je continuais la détente, pas trop compliqué, avec seulement quelques petites transitions pour voir si tout était en ordre. Puis je décidais de la faire galoper un peu. Je me mettais sur un cercle, j’ouvrais mes doigts en restant redressé. Javelle partie un peu vite mais je la retins avec mon dos. Tout en restant sur le cercle, je travaillait quelques transition galop trot galop pour habituer Javelle au départ au galop. Quand elle eu comprit, je la repassais au trot et je changeais de main. Je me remettais sur un cercle, Javelle partie normalement au galop. Après quelques cercles, je fis quelques tours puis je la repassais au trot puis au pas rênes longues.


« Je vais aller installer les obstacles ma belle. »


Après qu’elle ai un peu marchée, je descendais et l’attachais à la barrière de la carrière. J’installer quelques obstacles et un petit parcours pour voir ses réactions. Je la détachais et me remettais en selle. Javelle regardait attentivement tous les obstacles autours d’elle. Je la mis au trot, je fis un cercle avant d’aller passer quelques barres à terre. Javelle fis plusieurs bonds au dessus des barres. Je recommençais à la même main pour qu’elle s’habitue puis je la changeais de main après quelques autres essais, ça allait mieux. Puis je passais à la petite croix de 30cm. Javelle fis un saut assez gros en tout cas elle sautait haut ! Mais trop haut pour une simple petite croix, à force elle allait se fatiguer. Je revenais sur la croix à l’autre main. Après l’avoir caresser, je passais un vertical de 40cm. Je tenais Javelle qui voulait partir au galop, mais ce n’était pas le moment. Cette fois, son saut fut moins haut. Je la félicitait puis j’allais passé un oxer de 40cm aussi, Javelle fis un saut en hauteur et non en longueur du coup elle toucha la barre, ce qui l’énerva un peu, elle fit une ruade avant de se calmer. Je recommençais l’oxer, elle sauta bien et je la laissais un peu souffler. J’avais fait un petit parcours :


1) Croix de 40cm


2) Vertical de 30cm


3) Oxer de 40cm


4) Croix de 50cm


5) Vertical de 60cm


6) Ligne : vertical de 40cm- 4foulée -oxer de 50cm


Je mis Javelle au trot sur un cercle, j’attendis qu’elle se calme pour partir sur le premier obstacle. En voyant la croix, Javelle accéléra un peu, je la tenais toujours, elle ralentis son galop après l’obstacle, du coup, je relâchais la tension. Au vertical, elle n’accéléra pas et fis un très bon saut, je la caressais tout en l’amenant correctement sur l’oxer. Elle releva beaucoup les postérieurs pour ne pas faire tomber la deuxième barre de l’oxer mais elel resta calme. Je continuais à la féliciter entre les obstacles. Arrivait ensuite la croix qui mesurait 50cm, Javelle le sauta très bien, elle commençait à se calmer et à comprendre qu’elle n’avait pas besoin de sauter trop haut. Arrivais ensuite le plus haut obstacle du parcours, le vertical de 60cm, Javelle le sauta avec facilité, j’étais contente qu’elle ai comprit. Puis la ligne, Javelle fut un peu surprise et du coup, elle fit un gros saut sur l’oxer. Pour ne pas terminer sur un mauvais travail, je lui fis refaire la ligne en lui faisant comprendre qu’elle devait faire 4 foulées. Elle réussit à comprendre et sauta correctement. Ensuite, je la fis repasser au pas rênes longues, je lui caressais pour la féliciter.


« C’était super Javelle, tu as très bien travaillé et tu as bien compris ! »


Après l’avoir fait marcher plusieurs minutes, je la ramenais à l’anneau auquel je l’attachais presque toujours. Je lui mettais le licol autour du cou pendant que je lui enlevais le filet, avant de lui mettre le licol correctement. Puis, je lui enlevais les guêtres et les protèges boulets. Puis je la dessanglais et lui enlevais le tapis, l’amortisseur et la selle. J’allais tout ranger, puis je revenais voir Javelle.


« Tu as très bien sauté, tu mérite une bonne carotte. »


Je lui donnais la carotte qui se trouvait dans ma poche, elle se régala et je lui fis plusieurs caresses. Ensuite, je lui passais un bon coup de bouchon sur tout le corps, je lui passais la brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil, je lui démêlais la crinière, la queue et le toupet puis je lui curais les pieds. Ensuite, je détachais la longe de l’anneau et j’amenais Javelle au box. Je poussais la porte derrière nous, je lui enlevais le licol, je la caressais longuement puis je sortais. Je rangeais bien le licol, je fermais bien la porte du box et je faisais pleins de caresses à Javelle avant de partir.


« A demain ma chérie ! »

Une séance spéciale




J’arrivais près du box de ma petite Javelle adoré, ma ponette à moi que j’adorais. Cette ponette était un ange parfois capricieuse mais je l’adorais. Aujourd’hui, j’avais décidé de faire une séance pas comme les autres avec des sortes de petits jeux. Elle commençait à avoir confiance en moi alors aujourd’hui on allait s’amuser un peu. J’arrivais devant ma petite grise, je la caressais comme toujours pendant plusieurs minutes.


« Pour aujourd’hui ma chérie, j’ai prévus une séance assez spéciale ! Tu vas voir, tu vas adorer. »


J’entrais dans son box pour le mettre le licol, maintenant, elle venait d’elle-même vers moi quand je voulais lui mettre le licol. Après lui avoir bien mis j’ouvrais la porte en grand et je la faisais sortir. Je l’attachais dehors à l’ombre du même arbre comme tout les jours. Je commençais le pansage avec le bouchon, elle n’était pas trop sale mais je lui passais quand même sur tout le corps, elle aimait bien ça alors autant faire plaisir à mademoiselle. Puis je passais à la brosse douce, Javelle aimait un peu moins mais bon, je lui passais sur tout le corps, à contre sens puis dans le sens du poil. Je passais ensuite à sa jolie crinière et à sa queue, la crinière commençait à bien pousser, je décidais de désépaissir sa crinière avec le peigne puis je lui brosse avec la brosse à crins, je lui brossais le toupet puis la queue. Pour finir, je lui curais soigneusement les sabots. Je rangeais tout puis je m’approchais de Javelle.


« Je vais t’expliquer ce qu’on va faire aujourd’hui. Avant devenir de chercher au box, j’ai préparé des sortes de petits jeux dans le manège, je vais te mettre un filet puis on ira les faire ! Contente ? »


Javelle me regardait attentivement, elle m’écoutait et semblait essayer de comprendre. J’allais dans la sellerie et je revenais avec le filet et une paire de guêtres pour ne pas qu’elle se fasse mal. Je commençais par lui mettre les guêtres puis je lui mettais le licol autour du cou pendant que je lui mettais le mors dans la bouche et les oreilles dans la têtière puis j’attachais la muserolle et la sous-gorge. Je mettais ma bombe car j’avais prévus un ou deux exercices sur son dos peut être.


« C’est bon ! On y va ! »


Je détachais le licol et je prenais les rênes dans les mains pour amener Javelle dans le manège. Arrivées dans la manège, pas besoin de la détendre, ces exercices étaient faciles au début ce qui servirait de détente. Javelle regardait autour d’elle, les oreilles en avant. On commençais par passer le premier slalom au pas d’abord, Javelle était surprise mais comme un il avait des écarts assez gros entre les plots, ça allait. Après on partait au trot sur toutes la largueur pour arriver devant une sorte de couloir faire avec des barres, l’écart n’était pas trop largue du coup, je repassais Javelle au pas. Javelle comprit le but et s’appliqua beaucoup. Puis un repartait au pas jusqu’au prochains exercices. Il y avait un autre couloir de barre, tout droit cette fois. J’arrêtais Javelle devant puis je le passais et j’appelais Javelle de l’autre côté pour qu’elle passe seule le couloir. Javelle me regardais, au début elle ne bougea pas. Je m’avançais un peu en sortant un bonbon de ma poche. La petite jument grise avança doucement vers moi, quand elle arriva, je lui donnai le bonbon et je la caressais.


« C’est bien ma chérie. »


Puis on arrivait à une série de petits obstacles, pour le premier coup, je décidais de lui faire faire au trot en main. Javelle sauta très bien, elle avait l’air de s’amuser. Arrivais ensuite un carré formé par des barres, j’arrêtais Javelle à l’intérieur puis je m’éloignais un peu. Javelle me regardais bizarrement, ne sachant quoi faire. Elle attendit que je l’appelle et que je lui fasse quelques signe pour venir vers moi au pas. Je rattrapais son filet et je la laissais marcher un peu au pas. Javelle n’était pas de cet avis, elle avait envie de trotter et de continuer. Pour qu’elle se défoule un peu, je décidais de lui enlever le filet quelques minutes.


« Voilà, tu peut te défouler ma Javelle. »


Javelle partie au galop sur la piste, elle lança plusieurs ruades de gaieté puis elle trotta et galopa un peu. Quand elle eu finie, elle repassa au pas et vint vers moi. Je m’approchais d’elle et je lui remettais tranquillement le filet. Je la faisais marcher un peu puis on recommençait les exercices. Cette fois, on démarrait au trot, j’avais raccourcit le slalom, Javelle se débrouilla très bien, la petite grise s’éclatait. Pendant la largueur, Javelle essaya de partir au galop, je la retint un peu parce que c’était pas sur que j’y arrive ! Ensuite, je la ralentissais pour le couloir des barres qui zigzaguer un peu, Javelle fit bouger qu’une seule petit barre, elle posait délicatement ses sabots sur le sable. Arrivais ensuite le deuxième couloir. Je la fis repasser au pas pour que l’exercice ne soit pas dangereux pour moi ni pour elle. Je partis en marchant devant elle. La petite grise me suivit calmement au pas et on arriva au bout, je la caressais longuement. Maintenant, il y avait les obstacles.


« Prête ma Javelle ? »


Javelle avait très envie d’y aller, je me mis sur son dos, à cru. Javelle était un peu surprise mais très impatiente. Je la laissais partir au trot vers le premier obstacle, heureusement les obstacles n’étaient pas plus hauts que 30cm. Javelle fit trois petits sauts, je m’accrochais à la crinière en essayant de suivre le mouvement. Après avoir passé les obstacles, je la félicitais avant d’arriver au carré. Je l’arrêtais, j’étais encore sur son dos. J’en profitais pour descendre. Javelle ne bougea pas d’un poil, je m’éloignai un peu en marchant, la petite ponette poussa un petit hennissement. Je souriais, elle était trop mignonne. Je me mis à l’appeler, elle arriva au petit trot vers moi. Je lui fis pleins de caresse, elle était trop forte et je lui donnais une pomme.


« Tu es la meilleure ponette du monde Javelle ! Tu ne peux pas savoir comme je t’aime. »


Je la faisais marcher un moment avant de la ramener au licol. Je lui mettais le licol autour du cou pendant que je lui enlevais le filet et je lui remettais le licol correctement. Je lui enlevais aussi les guêtres et j’allais tout ranger dans la sellerie. Je prenais mes brosses pour la panser. Je lui passais le bouchon sur tout le corps en prenant mon temps, puis la brosse douce, à contre sens puis dans le bon sens sur tout le corps aussi. Pas besoin de lui démêler la crinière et la queue, je me contentais de lui curer soigneusement les sabots. Je rangeais toutes mes affaires et je détachais Javelle. Je l’amenais au box, il faisait chaud aujourd’hui et au pré, ce n’était pas une très bonne idée, elle serait au frais dans l’écurie. En rentrant dans l’écurie, ça fit beaucoup de bien, il faisait frais ! Je poussai la porte du box derrière Javelle et moi, je lui enlevais le licol et je le rangeais. Je revenais dans son box pour lui faire pleins de caresses puis je sortais.


« A demain ma chérie !! »


Je sortais de l’écurie, j’allais ranger le manège et je partais.

Séance de dressage




Aujourd’hui j’arrivais tranquillement à l’écurie. J’avançais jusqu’au box de Javelle, ma ponette adorée. Pour aujourd’hui, j’avais prévu une bonne séance de dressage, ça allait lui faire du bien, cela faisait plusieurs jours que je ne l’avais pas sortis. J’arrivais devant la porte du box, je prononçais son nom. La petite grise sortie sa fine tête et me regarda. Je m’approchais pour la caresser comme toujours, elle adorait ça !


« Coucou ma jolie ! Ca va bien ? Aujourd’hui, on va faire une séance de dressage pour bouger un peu. »


Après l’avoir bien caressé, je prenais un licol et j’entrais dans le box. Je commençais à lui mettre le licol, j’ouvrais la porte en grand et je la sortais dehors pour la préparer. Je l’attachais à l’ombre de l’arbre habituel. Je commençais tranquillement à la panser avec le bouchon d’abord, sur tout le corps. Ensuite, je prenais la brosse douce et je lui passais à contre sens puis dans le sens du poil pour faire briller sa robe. Puis, avec l’aide du démêlant et de la brosse à crins, je lui démêlais les crins du toupet, la crinière et la queue. Ensuite, je lui curais soigneusement les sabots comme toujours.


« Allez ! Je vais chercher les affaires, aujourd’hui, on va essayer avec des rênes allemandes, pour voir. »


Je rangeais toutes les brosses que j’avais sortir puis je partais dans la sellerie. Je revenais avec me filet à mors simple, les rênes allemandes, le tapis de selle, l’amortisseur et la selle. Je posais tout sur la barrière près de Javelle, je commençais par lui mettre le tapis et l’amortisseur sur le dos. Ensuite, je déposais délicatement la selle par-dessus, je dégarrottais, je vérifiais que tout était bien mis et je sanglais légèrement. Ensuite, je prenais le filet, je lui mettais d’abord le licol autour du cou. Puis je lui mettais le mors dans la bouche, je lui passais les oreilles dans la têtière et j’attachais la muserolle et la sous-gorge. Et pour finir, je passais les rênes dans les anneaux du mors puis je les attachais à la sangle.


« Voilà ma jolie, on y va ! »


Je n’étais pas sure que les rênes allemandes plaisent à Javelle, mais cela pouvait m’aider un peu, bien sûr, il fallait que je sois très vigilante pour pas que Javelle le prenne mal. Je mettais ma bombe, je détachais Javelle et je l’amenais dans le manège. Je lui faisais faire un tour de manège au pas en main puis je doublais de je m’arrêtais au milieu. Je ressanglais, je me mettais en selle et je réglais mes étriers.


Quand je fus prête, je mis mes jambes pour que Javelle parte au pas. Je pris mes rênes de filet normalement avec un contact très léger, je laissais les rênes allemandes un peu longues pour que Javelle s’y habitue. Elle commençait déjà à bouger la tête. Je la mettais droite et j’essayais de l’occuper pour qu’elle arrête avec les rênes allemandes. Après plusieurs cercles et changement de main, je commençais à prendre un peu les rênes allemandes, Javelle était bien concentré. Je mis mes jambes pour la faire partir au trot. Elle partie normalement, maintenant Javelle était devenu plus normale. Il fallait dire que je la connaissais assez bien et que j’avais une façon de monter spéciale pour Javelle, mais maintenant ça allait, c’était une super ponette. Je commençais à la détendre gentiment en faisant des cercles de temps en temps pour qu’elle s’habitue au rênes allemandes, je les raccourcissais un peu de temps en temps. Puis je changeais de main, je continuais quelques cercles, puis je commençais quelques grandes voltes. Javelle était maintenant droite et tendu sans être crispée. Le travail qu’on faisais commençais à se montrer, Javelle semblait totalement normale. Après pas mal de travail sur un cercle pour que Javelle soit bien, j’avais une bonne longueur de rênes allemande. Je travaillais quelques transitions trot pas trot sur un cercle puis je changeais de main, je travaillais trot pas arrêt trot, j’enlevais le plus possible de foulée de pas jusqu’à arriver à un arrêt du trot. Après l’avoir fait un deux mains, je laissais Javelle au pas quelques instants.


Ensuite, je remettais Javelle au trot normalement, sur un cercle, le départ au galop allait être un peu compliqué, Javelle avait l’habitude de beaucoup lever la tête à ce moment là. Je lui laissais un peu de rênes allemandes puis je mettais légèrement mes jambes. Javelle partais au galop, heureusement, les rênes allemandes étaient assez longues. Javelle partie un peu vite, je la mis sur un cercle en attendant qu’elle se calme un peu, les rênes allemandes l’énervaient un peu, elle la ça une ruade. Même si ça ne lui plaisait pas, les rênes allemandes n’étaient pas courtes, il fallait donc qu’elle arrête, c’était mental. Après plusieurs cercles, elle commençait à ce calmer, je la repassais au trot et je changeais de main. Je la remettais sur un cercle et je la galopais encore une fois. Cette fois elle restait calme, ça l’énervait un peu mais elle se retenait. Alors pour la féliciter, je relâchais un peu les rênes allemandes et je faisais quelques tours de manège au galop. Et ensuite, je la repassais au pas rênes longues et je la laissais souffler.


« C’est bon pour aujourd’hui ma belle, c’était bien ! »


Après l’avoir marcher un peu, je descendais et je la ramenais au licol. Je lui attachais autour du cou, je lui enlevais le filet et je lui remettais le licol correctement. Ensuite, je lui enlevais les rênes allemandes bien sur, puis je la dessanglais et je lui enlevais la selle, l’amortisseur et le tapis. J’allais tout ranger dans la sellerie puis je revenais pour la panser. Je lui passais un coup de bouchon sur tout le corps, la brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil, je lui démêlais les crins et je lui curais soigneusement les sabots. Ensuite, je détachais la longe pour la ramener au box. Je refermais le box derrière nous, je lui donnais un bonbon à la pomme, je lui enlevais le licol. Je la caressais longuement, je sortais, je rangeais le licol et je partais.


« A demain ma chérie ! »

Séance de saut d'obstacles




J’arrivais à l’écurie, comme tout les jours, je me dirigeais vers le box de ma ponette chérie : Javelle. Aujourd’hui, j’avais décidé de refaire une séance de d’obstacle, maintenant que je savais comme Javelle était, on allait pouvoir travailler un peu plus. Avant d’aller voir Javelle, j’avais installé différentes lignes de différentes tailles. En arrivant devant le box, je vis Javelle qui me regardait arrivait, elle attendait ses caresses habituelles qu’elle adorait. Je m’approchais donc d’elle pour la caresser.


« Coucou ma belle ! Aujourd’hui, on va travailler en obstacle, tu vas voir, ça va être super. »


Après l’avoir bien caressé, je prenais son licol et j’entrais dans le box. La ponette grise vint vers mon et me sentit. Elle se laissa faire et je lui mis le licol. Par la suite, j’ouvris la porte du box en grand pour la faire sortir et l’attacher dehors. Après l’avoir bien attaché, j’allais chercher mes affaires de pansage, afin de la brosser avant de travailler. Je commençais avec le bouchon sur tout le corps, pas besoin de l’étrille puisque Javelle n’était pas sale. Puis je lui passais la brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil, Javelle adorais le passage du bouchon et surtout de la brosse douce. Avec l’aide de la brosse à crins je lui démêlais la crinière et pour finir, je lui curais soigneusement les pieds.


« Je vais chercher les affaires ma jolie. »


Je revenais quelques instants après avec une selle, un amortisseur, un tapis, un filet, une martingale, une paire de guêtre, une autre de protège boulets. Je posais tout près de Javelle qui me regardait tranquillement. Maintenant, elle s’était habituée à moi, au travail, elle n’était plus aussi énervée qu’avant même si elle était toujours aussi spéciale. Je commençais par lui mettre les guêtres et les protège boulet aux membres. Ensuite, je posais le tapis et l’amortisseur sur le dos de Javelle et je déposais délicatement la selle par-dessus. Je vérifiais que tout était bien mis avant de dégarrotter et de sangler. Je prenais le filet, je lui attachais le licol autour du cou. Ensuite, je commençais à lui mettre le mors dans la bouche et les oreilles dans la têtière puis j’attachais la muserolle et la sous-gorge. Je mettais ma bombe et on était prête.


« On y go ma Javelle ! »


Je la détachais et je l’amenais en main dans la carrière. Javelle regardait attentivement les obstacles disposés dans la carrière. Je lui fis faire un tour en main puis je doublais et je m’arrêtais. Je ressanglais, je me mettais en selle et je réglais mes étriers. Quand j’était prête je mettais Javelle au pas. Je prenais un contact léger comme il le fallait avec Javelle. Je commençais à la détendre au pas sur des cercles, en changeant plusieurs fois de main. Je la laissais s’habituer un peu à la carrière, elle n’y allait pas souvent. Après l’avoir bien laisser marcher au pas. Je la faisais partir au trot, tranquillement, je la laissais se décontracter, en la gardant toujours droite ce qui ne lui plaisait pas toujours. Je me mettais parfois sur des cercles, je faisais quelques voltes pas trop petites. Je faisais un petite détente d’obstacle, je faisais quelques transitions trot pas trot ou pas arrêt pas. Puis je changeais de main souvent et je recommençais. Au bout d’un moment, Javelle se concentra et travailla correctement, d’elle-même elle resta droite. Après ça, je la repassais au pas, je la caressais un peu avant de la galoper. Je la mettais au trot, pour une fois, je ne la mettais pas sur un cercle, il fallait qu’elle se prenne en charge elle-même. J’ouvrais légèrement mes doigts. Javelle partie un peu vite mais pas beaucoup, je me redressais un peu et elle passa dans un galop normal et cadencé. Je la caressais un peu puis je faisais quelques cercles et quelques transitions. Ensuite, je la repassais au trot, je changeais de main et je recommençais. Cette fois elle partie très bien au galop, tranquillement, droite et en équilibre. Je la caressais puis je la mettais un peu sur un cercle. Je faisais quelques transitions puis je la laissais au pas rênes longues pour qu’elle souffle un peu.


« Allez, on va passer quelques barres à terre d’abord. »


Après qu’elle ai un peu soufflé, je la remettais tranquillement au trot sur un cercle. Quand elle était bien, j’allais lui faire passer quelques barres. Au début, Javelle sauta les barres à terre. Je revenais une deuxième fois à l’autre main au trot aussi, Javelle comprit le but et elle passa normalement les barres. Ensuite on allait sauter une petite croix de 30cm juste pour la détendre un peu avant de travailler vraiment. Javelle le sauta doucement, elle savait qu’elle n’avait pas besoin de faire trop d’efforts. Ensuite, on commençais à travailler sur une ligne de deux obstacles : une croix de 50cm suivit d’un vertical de 50cm. J’allais la sauter la ligne au trot à une main. Javelle allait un peu vite du cou, il lui manquait une foulée à faire et elle fit un drôle de saut. Au deuxième cou à l’autre main, Javelle eu encore du mal, sa deuxième foulée fut une petite. J’essayait une troisième fois, cette fois, elle avait comprit, elle ralentie son allure d’elle-même dans la ligne et fit ses deux foulées normale. Ensuite, je la caressais puis je décidais d’aller sauter une ligne à trois obstacles mais cette fois avec les rênes mi-longues. J’arrivais d’abord avec un léger contact, après la croix, je lâchais un peu mes rênes. Javelle fut surprise mais elle continua son travail, le problème fut qu’elle s’attendait à ce que le troisième obstacle soit à 2foulées alors qu’il était à trois. Elle fit un saut bizarre mais je la caressais quand même, elle avait voulu bien faire. Je revenais sur cette ligne de la même façon mais à l’autre main. Javelle était très concentré, elle faisait attention et observait les obstacles. Cette fois, ce fut parfait, elle fit trois bonnes foulées. Pour finir, j’allais au galop sur une ligne de quatre obstacle plus haut : une croix de 50cm, un vertical de 60cm, un autre vertical de 80cm et un oxer de 70cm. Javelle essayait d’accélérer à l’abord de la croix mais je la tenais un peu. En entrant, elle calla son galop dans une bonne allure pour faire de bonnes foulées. Elle sauta le premier vertical qui fut très bien, quand elle vit le deuxième, elle n’hésita même pas, elle eu même envie d’accéléré mais je la retint. Avant l’oxer, il y avait 4foulées, je la laissais un peu avancer vu que c’était un vertical. Javelle fit un très beau saut. Après ça, je la laissais rênes longues et je la caressais.


« C’est très bien ma chérie ! »


Je la marchais plusieurs minutes, elle avait bien travaillait et elle le méritait. Après avoir finit, je la ramenais au licol, elle semblait contente que je lui enlève le filet et que je lui remette le licol correctement. Ensuite, je lui enlevais la martingale, suivit des guêtres et des protèges boulets. Puis je la dessanglais et je prenais la selle, l’amortisseur et le tapis. J’allais tout ranger correctement dans la sellerie puis je revenais voir ma ponette. Je la caressais longuement avant de bien la panser. Je commençais par lui passer un bon coup de bouchon sur tout le corps, pour lui faire plaisir je lui passais la brosse douce. Puis je lui démêlais les crins avec la brosse à crins et je lui curais bien les sabots.


« Tu vas pouvoir aller au pré ma beauté. »


Mais avant, je lui donnais une bonne pomme verte pour la féliciter. Je ranger les brosse et je la détachais. En allant au pré, je la caressais et je lui parlais comme toujours, elle avait les oreilles en avant et semblait m’écouter. Arrivée devant la porte du pré, je l’ouvrais puis la refermais derrière nous. J’enlevais le licol à Javelle et je lui faisais quelques dernières caresses. Après ça, je sortais du pré, je posais le licol sur la barrière et je regardait Javelle trottiner un peu puis se mettre à brouter.


« A demain ma chérie, repose toi bien ! »

Repos au pré




J'arrivais près du pré où brouter ma belle petite ponette, Javelle d'Hélise. Je m'accoudait à la barrière quelques minutes pour la regarder manger l'herbe verte du pré. Quelques instants après, Javelle leva la tête et pointa ses oreilles. Elle me vit, elle mangea l'herbe qu'elle avait dans la bouche puis elle vint vers moi au pas. J'étais contente qu'elle vienne d'elle même, j'entrais dans le pré. Aujourd'hui, j'étais juste venu pour venir la voir, elle avait une bonne journée de repos.


"Coucou mon amour !"


Elle s'arrêtais devant moi, je me mettais à lui caresser la tête comment elle l'aimait tand. Petit à petit je descendais sur l'encolure, puis le dos et enfin la croupe. J'en profitais pour voir si tout allait bien, même si elle ne travaillait pas elle pouvait quand même se faire mal au pré. Après ça, je repensais au poulain.


"J'espère que tu vas bien pour l'instant même si c'ets que le début, je suis vraiment super contente que tu attende un poulain de Oh Please Darling. Ce sera un super champion comme toi ma chérie !"


Je lui faisais une petite tape amicale sur l'encolure, puis je prenais le bouchon que j'avais amenné avec moi. Je lui brossais doucement la tête, je prenais tout mon temps, ça faisait plaisir à Javelle. Je passais à l'encolure, je donnais un petit coup à son toupet et à sa crinière. Après ça, je passais au épaule et aux membres. Javelle aimait toujours autand, à ce moment là, elle était en totalement confiance. Elle commençait même à fermer les yeux. Seul le son de ma voix la gardait éveillé. Elle était vraiment fantastique, c'était comme si elle m'écoutais pendant que je lui faisais plaisir, c'était donnant donnant.


"Il me tarde qu'il naisse, surtout qu'une semaine avant, je te monterais plus, je te laisserais au repos, mais tu auras quand même droit à de bons pansages et à des petites ballades en mains. Je sais que tu aime ça."


Après l'avoir entièrement brossé, je rangeais la brosse. Javelel restait immobile, elle me regardait. Je revenais vers elle pour lui faire quelques caresses. Elle était bien dans ce pré, elle était aussi très belle ! J'avais bien fait de la choisir malgrè son caractère désagréable au début, maintenant que je la connaissais bien, tout était parfait. Je terminais de la caresser puis je sortais du pré et je lui disais aurevoir.


"Tchou mon ange ! A demain, on travaillera un peu."

Entrainement du prochain meeting




Je marchais vivement en direction du pré de Javelle ma ponette, j'étais impassiente de m'entrainer pour notre prochain et dernier meeting avant la naissance du poulain. C'était une course de galop, ça allait plaire à Javelle, elle qui adorais galoper. J'entrais dans le pré et j'appelais Javelle. La ponette me remarqua de suite, elle vint vers moi tranquillement au pas.
"Salut mon coeur ! Ca va bien ? J'espère que oui parce que aujourd'hui on va s'entrainer pour le prochaine meeting: une course de galop."
Javelle m'écoutais, les oreilles ne avant pendant que je la caressais, comme toujour elle adorait ça. Je pris le licol qui était posé sur la barrière du pré, je m'approchais de Javelle et je lui mettais. Je la sortais du pré, elle était contente même si elle n'adorait pas travailler, ça lui faisait du bien. Je l'attachais à l'ombre d'un arbre, il faisait chaud aujourd'hui, il allait donc falloir travailler dans la carrière près de l'ombre.
Après avoir ramenné mes affaires de pansage, je commençais à la panser. Je commençais par lui passer l'étrille avec des mouvements circulaire sur tout le corps pour enlever les trace de boue. Ensuite, je lui passais le bouchon sur tout le corps, puis la brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil en prennant mon temps pour faire plaisir à Javelle. Après ça, je prenais la brosse à crins et le démêlant et je lui démêlais la crinière. Avant de lui curer soigneusement les sabots.
"Voilà, t'es toute belle et toute propre !"
J'allais dans la sellerie prendre le filet, le tapis, l'amortisseur, la selle et je prenais une paire de guêtres et de protèges boulets pour ne pas qu'elle se fasse mal, au cas où. Je posais tout près d'elle et je commençais par lui mettre les guêtres et les protèges boulets. Ensuite, je lui posais le tapis et l'amortisseur suivit par la selle, très délicatement pour ne pas la blesser. Je vérifiais que tout soit OK, puis je dégarrottais et je sanglais légèrement. J'allais mettre le filet, je lui attachais le licol autour du cou puis je lui mettais le mors dans la bouche et les oreilles dans la têtière avant d'attacher la muserolle et la sous-gorge. Je caressais un peu Javelle puis j'allais mettre ma bombe.
"Aller ! On y va mon ange."
Je défaisais le licol et j'amenais Javelle en main dans la carrière. Je lui faisais faire un tour de carrière en main avant de doubler et m'arrêter au milieu. Je commençais par ressanglais avant de monter, je me mettais en selle puis je réglais mes étriers, un peu plus court que d'habitude.
"On va y arriver."
Je prenais un léger contact puis je mettais Javelle au aps, avant j'allais la détendre un peu pour que ses muscles se chauffent un peu. Je la laissais d'abord au pas, je faisais des cercles puis je changais de main, il ne fallait pas trop la creuver après au trot. Je la faisais partir au petit trot, pas besoin d'aller à fond. Ja la mettais sur des cercles en la gardant droite. Puis je changeais de main, encore sur des cercles. Je faisais quelques transitions, je la tendais pas mal pour qu'elle galope mieux. Je rechangeais de main, je faisais quelques figures,... Après quelques minutes, je la repassais au pas rênes longues et je la caressais.
"Voilà, ça va aller pour la détendre, maintenant on travaille."
Avant tout, il fallait travailler les départs au galop. Il fallait qu'elle arrive à partir de suite au galop. Je me mettais au bout de la carrière, je l'arrêtais. Javelle s'impassientais un peu. Je la fis d'abord partir au galop normal, elle fut un peu longue, après quelques essais, elle comprit le but et partie comme une fusée. Je la ralentissais un peu plus loin et je la caressais. Maintenant j'allais la faire galoper. Je la mettais au galop, un peu rapide, il fallait que j'ai le contrôle dessus. Je commençais par essayer de ralentir, c'était un peu compliqué puisqu'il fallait être très doux avec Javelle. Elle finit par ralentir un peu, je la caressais légèrement puis je la faisais accélérer. Ce fut plus facile, Javelle n profita pour partir comme une folle au grand galop. Je la laissais se dépenser un peu puis je la ralentissais. Je la caressais et je la laissais au aps rênes longues.
"C'est très bien ! Pour finir, on va faire comme si c'était une course d'un tour de carrière."
Après avoir bien laissé souffler Javelle, je reprenais mes rênes et je l'arrêtais au fond de la carrière. Javelle s'énervait un peu comme si elel avait compris. Quand je mis mes jambes, la ponette grise partie très vite, je n'eu pas le temps de faire quoi que ce soit qu'elle était déjà au grand galop sur la piste. Je la ralentissais un peu dans le tournant puis je la laissais repartir. Elle adorait ça, on arrivais à la fin de tour, je la repassais au galop normal puis au trot et enfin au pas. Je la laissais au pas rênes longues pour sofufler tout en la caressant.
"C'était très bien ! Demain on s'entrainera encore une fois, il te faut faire comme ça au meeting."
Après l'avoir fait marcher pendant 10minutes dans la carrière, je descendais et je la ramenais au licol. Je commençais par lui enlever les guêtres et les protèges boulets. Puis je lui enlevais le filet avant de lui remettre le licol correctement. Pour finir, je la dessanglais et je prenais le tapis, l'amortisseur et la selle pour tout amenner à la sellerie. E revenant je prenais mes affaires de pansage et une bonne pomme que je donnais à Javelle pour la féliciter.
"Tu es géniale, un bon pansage puis une douche et après au frait dans ton box ma belle."
Je commençais par lui passer un bon coup de bouchon sur tout le corps pour enlever un peu la sueur. Ensuite, pour lui faire plaisir je lui pssais la brosse douce, je lui démêlais un peu les crins. Pour finir, je lui curais et lui graissais les sabots. Je détachais la longe de l'anneau pour l'amenner à la douche, ça allait lui faire du bien avec cette chaleur. Après l'avoir attacher, je lui douchais avec de l'eau tiède les membres postérieur et antérieur. Puis vu qu'elle transpirait je lui mouillais doucement la croupe, je ventre, le dos et les épaule. Elle était toutes contente. Après lui avoir fait les deux côtés, je la détachais pour l'amenner au bo. Je lui enlevais le licol arrivé dedans, je le rangeais puis je revenais dans son box. Je lui faisais pleins de caresses et de bisous puis je sortais. Je lui faisais une dernière caresse et je partais.


"A demain mon coeur !"

Entrainement de course




Aujourd’hui aussi j’allais entraîner Javelle pour le prochain meeting. Javelle n’était pas très entraînée mais elle adorait galoper, un bon atout pour ma ponette. J’entrais donc dans l’écurie, il faisait plus frais que dehors, la chaleur était horrible. J’arrivais devant le box de Javelle, elle sortie sa petite tête grise et me regarda. Je m’approchais d’elle pour la caresser, comme toujours.


« Salut mon ange ! Prête pour un nouvel entraînement ? »


Je décidais de la préparer au box pour lui éviter cette chaleur, on était mieux ici. Je prenais donc mes affaires de pansage dans le box. Pas besoin de l’attacher, Javelle aimait tellement le pansage qu’elle ne bougeait presque pas. Je commençais avec le bouchon, je suis passais lentement sur tout le corps, puis je prenais la brosse douce, je la passais à contre sens puis dans le sens du poil, je prenais le temps pour faire plaisir à Javelle qui adorait ça. Puis, avec la brosse à crins, je lui démêlais le toupet, la crinière et la queue. Et pour finir, je lui curais soigneusement les sabots.


« Après t’avoir sellé et t’avoir détendue un peu dans la carrière, on ira sur la piste de course. »


J’allais d’abord chercher les affaires dans la sellerie. Je revenais comme hier avec un tapis, une selle, un amortisseur, une paire de guêtre une paire de protèges boulets et bien sûr un filet. Je déposais tout à côté de Javelle qui ne bougeait pas et qui était totalement tranquille. Je commençais par lui mettre le tapis et l’amortisseur sur le dos, ensuite je déposais délicatement la selle par-dessus, je dégarrottais, je vérifiais que tout allait bien et je sanglais. Ensuite, je lui mettais les guêtres au antérieur et les protèges boulets au postérieur. Je prenais le filet, je lui mettais le licol autour du cou, pendant ce temps, je lui mettais le mors dans la bouche, les oreilles dans la têtière et j’attachais la muserolle et la sous-gorge. Je mettais ma bombe et on était prête.


« Allé ma belle ! On y va. »


Je la détachais et je l’amenais en main dans la carrière. Je lui faisais faire un tour de piste au pas en main tranquillement comme d’habitude, ensuite, je doublais et je m’arrêtais au milieu. Je ressanglais, je me mettais en selle et pas besoin de régler les étriers, c’était les même que hier. Quand j’étais prête, je mettais les jambes pour mettre Javelle au pas. Je n’avais pas besoin de faire une très longue détente. Il fallait juste l’échauffer un peu. Je commençais par lui faire faire quelques tours, quelques cercles au pas. Je la mettais droite et devant moi. Je changeais de main et je continuais à la travailler un peu, aujourd’hui, elle était tranquille, mais ça n’allait pas durer quand elle allait commencer à galoper. Je commençais à la faire trotter, calmement pour l’instant, il fallait qu’elle commence à se chauffer au petit trot. Je faisais quelques cercles, quelques voltes puis je changeais de main. Je continuais à travailler comme si j’allais faire du dressage. Quand elle était bien, je mettais plus mes jambes pour la mettre bien devant moi, Javelle comprit et accéléra en allongeant un peu ses foulées. Je faisais juste quelques cercles et un changement de main, ensuite, je la repassais au pas avant de galoper un peu. Il fallait que je voie si j’avais quand même le contrôle sinon c’était dangereux et vu que Javelle était très sensible, si elle s’énervait, ce serait la catastrophe, mais ce travail se ferait sur la piste de course. Je commençais à la galoper normalement pour l’instant, elle était tranquille et sage. Je la gardais droite mais devant moi, je faisais quelques cercles puis je changeais de main. Je continuais à la travailler, j’accélérais un peu pour qu’elle comprenne. On faisais quelques cercles puis je la repassais au pas rênes longues.


« Allé ! On va sur la piste de course ! »


On sortait de la carrière pour se rendre sur la piste. Javelle regardait tout au tour d’elle, je la laissais encore un peu marcher. Je reprenais mes rênes normalement et je me mettais à un bout de la piste. Pour l’instant, je faisais qu’un seul tour, pas trop rapide juste pour voir si je contrôlais bien Javelle. Javelle comprit de suite le but de cette piste. Quand je mis mes jambes, elle partie comme une folle au grand galop. J’essayais tant bien que mal de m’accrocher et la dirigeait. Au bout d’un petit moment, je me redressais pour voir si je pouvais la ralentir un peu, impossible. Javelle était trop dans sa course, je me redressais un peu plus, la sensibilité de Javelle avait presque disparue.


« Javelle ! Ralentit ! »


Je lui parlais pendant que je me redressais encore plus. Elle comprit et ralentit un peu à contre cœur. Je la caressais un peu puis je la refaisais avancer un peu. Javelle avait compris que c’était un exercice. On arrivait au bout et je la faisais repasser au trot puis au pas. Je la caressais et la laissais souffler un peu avant de travailler un peu son endurance sur trois tours de piste. Je la laissais au pas 5minutes avant de reprendre mes rênes normalement. Je plaçais Javelle au départ, elle était toute énervée.


« Trois, deux, un… partez ! »


Javelle partais comme une furie droite devant elle, j’essayais de la ralentir pour qu’elle tienne les trois tours mais impossible. J’essayais de la ralentir pendant tout le premier tour mais en vain, cette petite grise était têtue comme une mule, elle n’écoutait qu’elle dans ces moments là. Quand elle vit que je remettais mes jambes à la fin du tour pour pas qu’elle repasse au trot, elle comprit sa bêtise. Elle continuait à galoper vite mais elle avait ralentie un peu, je la caressais bien pendant qu’elle galopait. La fin du deuxième tour arrivait, je sentais que Javelle commençait à se fatiguait. Je la laissais dans son galop rapide mais sans trop pour l’instant. Heureusement que Javelle ne supportait pas de se laissait faire, elle galopait toujours, fière d’elle. Dans la dernière ligne droite, je mettais mes jambes, elle accéléra comme une folle pour passer l’arrivée. Après ça, je la laissais rênes longues et je la caressais.


« C’est très bien mon cœur ! C’est finit pour aujourd’hui. »


Je la caressais bien, Javelle était vraiment une ponette de rêve malgré son caractère. Je la faisais marcher un peu en m’éloignant vers la campagne, je traversais un champs pour la faire marcher puis je revenais vers la piste ensuite je partais dans la carrière puis enfin, dans la carrière de descendais. Je ramenais Javelle au licol, je lui attachais autour du cou pour lui enlever le filet, après je lui remettais correctement. Ensuite, je lui enlevais les guêtres et les protèges boulets. Puis avant d’aller tout ranger, je dessanglais et je prenais la selle, l’amortisseur et le tapis. J’amenais tout dans la sellerie puis je revenais pour panser Javelle. Aujourd’hui, pas besoin d’une bonne douche, il ne faisait pas trop chaud, mais par contre, elle irait au pré.


« Tu es vraiment géniale, tu pourra aller au pré mon cœur ! »


Je commençais par la panser avant tout. Je lui passais le bouchon sur tout le corps, puis la brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil sur tout le corps en prenant mon temps pour faire plaisir à Javelle. Ensuite, je lui démêlais les crins du toupet, de la crinière et de la queue. Pour finir, je lui curais soigneusement les sabots. Ensuite, je lui donnait une bonne carotte.


« Direction le pré maintenant. »


Je détachais la longe et on partait en direction du pré. Je lui caressais la tête et je lui parlais pendant tout le chemin. Arrivée devant l’entrée, j’ouvrais la barrière, je faisais entrer Javelle puis je refermais derrière nous. Je lui enlevais le licol et je la caressais un peu, puis je sortais. Je posais le licol sur la barrière puis je regardait Javelle se rouler par terre puis partir brouter avant que je parte.


« A demain ma Javelle ! »

Ballade-travail




Aujourd’hui pour Javelle, j’avais eu l’idée d’une ballade où l’on pourrait s’entraîner un peu en course et endurance. J’avais réussie à trouver un bon chemin où l’on pourrait souvent galoper et trotter. J’arrivais près de la barrière du pré. J’appelais Javelle puis j’entrais avec le licol à la main. La belle ponette grise arrivait au petit trot vers moi. Je commençais par la caresser.


« Salut mon cœur ! Aujourd’hui, on va faire une ballade, on va s’entrainer en même temps pour la course. »


Javelle se laissa tranquillement même le licol. Aujourd’hui elle était en forme. Je prenais la longe et je la sortais du pré pour partir en direction de notre anneau habituel, à l’ombre. J’attachais Javelle puis j’allais chercher mes affaires de pansage. Je commençais le pansage avec l’étrille, sa robe grise était un peu plus foncée à côté de la saleté. Je lui passais l’étrille seulement sur els parties charnues. Après, je prenais le bouchon que je lui passais sur tout le corps. Arrivais à la suite, la brosse douce, Javelle adorais ça, je lui passais à contre sens puis dans le sens du poil en prenant tout mon temps pour lui faire plaisir. Ensuite, je prenais la brosse à crins et je lui démêlais le toupet, la crinière et la queue. Pour finir, je lui curais correctement les sabots.


« Voilà ! Toute belle, toute propre ! »


Je la caressais un peu avant d’aller chercher une selle, un amortisseur, un tapis, un filet, une paire de guêtres et une paire de protège boulets. Je posais tout prêt de Javelle et je commençais à lui mettre le tapis et l’amortisseur. Ensuite, je déposais délicatement la selle par-dessus, je dégarrottais, je vérifiais que tout était bien mis puis je sanglais légèrement. Je lui mettais les guêtres aux antérieurs et les protèges boulets au postérieurs, pour plus dé sécurité, c’était pas le moment qu’elle se blesse. Avant de partir, je lui attachais le licol autour du cou pour lui mettre le filet. D’abord, le mors dans la bouche, ensuite, les oreilles dans la têtière et pour finir, je lui attachais la sous-gorge et la muserolle. Je mettais ma bombe et on était toutes les deux prêtes.


« On y va ma belle ! »


Je détachais Javelle, je lui faisais faire un tour de cour en main pour détendre un peu ses muscles avant de me mettre en selle. Ensuite, je l’arrêtais, je ressanglais normalement et je me mettais à cheval. Je mettais Javelle au pas et on partais vers la forêt. J’avais prévus un itinéraire qui était parfait, d’abord on commençais par la forêt au pas puis un peu au trot. On se reposais un peu à la cascade puis on traversait les prairies pour galoper. Comme cela, la ballade faisait travailler Javelle sur l’endurance et la vitesse. On commençait à entrer dans la forêt, toujours au pas, Javelle regardait tout autour d’elle, de temps en temps, elle essayait d’attraper une branches ou deux, mais de suite, je mettais mes jambes pour l’en empêcher. Je continuais à caresser Javelle, elle adorait tellement ça, ça la calmait beaucoup. C’est à ce moment là qu’on arrivait sur un chemin au sol plutôt sablonneux, sans cailloux. Un endroit parfait pour travailler l’endurance au trot, le chemin était assez long, on allait voir comme Javelle allait faire. Je la mettais au petit trot, au début elle commençait à accélérer, je me redressais juste un peu pour lui faire comprendre qu’il valait mieux rester au petit trot. Après avoir réfléchit, Javelle ralentit un peu et repassa au petit trot. Je lui demandais seulement d’être droite et dans l’impulsion. C’était parfait, à cette vitesse là, Javelle pourrait tenir longtemps. Mais cette ponette n’allait pas en rester là. Soudain, une branche tomba non loin de nous, Javelle eu un sursaut mais elle en profita pour lancer une grosse ruade et partir au grand galop. Je m’accrochais tant bien que mal à la crinière, sans étrier. Au bout de quelques mètres, je me redressais et je ralentissais Javelle qui écoutait. Elle repassa au trot, je remettais mes étriers correctement. Cette fois, pas de caresse pour Javelle, en plus elle était un peu fatiguée. Heureusement pour nous, le bout de ce chemin arrivait, je repassais Javelle au pas et je la caressais quand même. On arrivait prêt de la rivière, il fallait qu’on la suive un peu avant d’arriver à la cascade. Très vite, on entendit de couler, Javelle pointa ses oreilles et accéléra le pas. On était juste devant, c’était magnifique, la cascade n’était pas très grande mais elle était très belle.


« C’est super beau pas vrai Javelle ? »


Je descendais pour que Javelle puisse se reposer. J’avais pris mon sac à dos avec le licol de Javelle. Je lui coinçais les rênes, je lui mettais le licol et je l’attachais long à un arbre pour qu’elle puisse brouter un peu. Moi, je m’assaillais près de l’eau, je regardais si elle était avait l’air bonne pour Javelle, il semblait que oui, elle en aurait donc tout à l’heure. Moi, je me mis à manger une barre de céréale. Quand j’eu finis, je détachais Javelle et je lui enlevais le licol. Je l’amenais boire un peu à la cascade, mais Javelle était plus intéressé par l’eau qui coulait plutôt que par celle qu’elle avait devant les yeux. Tant pis, je me remettais à cheval et on continuais au pas. Cette fois, on partait en direction des grandes prairies pour galoper un peu. On marchait un peu puis on arrivait devant la première, Javelle comprit et commença à s’énerver. Je la faisais partir en mettant mes jambes, la ponette grise partie comme une folle au grand galop, à ce moment là impossible de l’arrêter. Je la laissais se défouler un peu puis je vérifiais que je pouvais la ralentir. On galopait tout le long de la prairie, Javelle s’éclatait, c’était encore mieux que sur la piste de course. On arrivais à la fin de la prairie, je repassais Javelle au trot puis au pas, on devait passer quelques chemins avant d’arriver à l’écurie. Je laissais Javelle rênes longues pour qu’elle souffle un peu pendant que je la caressais.


« Tu es vraiment géniale ma chérie ! »


Après quelques minutes, on arrivait près de l’écurie. Je descendais et j’amenais Javelle là ou il y avait son licol. Je lui attachais autour du cou pendant que je lui enlevais le filet puis je lui remettais correctement. Puis, je lui enlevais les guêtres et les protèges boulets avant de la dessangler et de prendre la selle, l’amortisseur et le tapis. J’allais tout ranger dans la sellerie puis je revenais pour panser Javelle. Je la caressais longuement avant de lui passer le bouchon sur tout le corps. Puis je lui passais longuement la brosse douce à contre sens puis dans le sens du poil, elle adorais toujours autant surtout après un effort. Puis je lui curais et lui graissais les sabots. Je détachais la longe pour l’amener à la douche, j’allais juste lui doucher les membres qui étaient un peu sale. Je lui passais un cou d’eau tiède puis je la ramenais au box. Je lui enlevais le licol, je la caressais et je lui donnais une pomme rouge, comme Javelle les aimait. Ensuite, je sortais du box, je rangeais le licol et je lui faisais une dernière caresse avant de partir.


« A demain mon cœur ! »

Retour au box




Aujourd'hui, je venais voir Javelle, j'allais la rentrer au box mais pas la monter. Ca faisais un petit moment que je l'avais pas vu, mais je ne pouvais pas la monter vu qu'elle attendais son poulain, elle était à plus de la moitié de sa gestation. J'arrivais devant son pré, j'entrais rapidement et j'appelais Javelle. La ponette vint vers moi au pas, c'est vrai que son ventre avait grossit un peu, le poulain commencait à se former. Elle s'arrêtais devant moi pour que je la caresse.


"Salut ma chérie ! Alors tu va bien, ton petit aussi j'espère ? Tu vas rentrer au box maintenant, il vaut mieux pour toi ma belle."


Je la caressais encore un peu puis j'allais chercher son licol. Javelle se laissais gentiment faire, je lui mettais et lui attachais le licol. J'ouvrais la barrière en grand et je la faisais sortir. Elle était plus calme maintenant, elle avait peu être un peu grandit, dans sa tête. Je l'amenais à notre anneau habituel et je l'attachais.


"Je vais quand même te panser, tu adore tellement ça !"


Je prenais quelques unes de mes brosses et je commençais. D'abord, je lui passais l'étrille sur les parties charnues, Javelle avait un peu de boue sur la robe. Puis je lui passais le bouchon sur tout le corps en prenant mon temps. Puis avec la brosse douce je brossais à contre sens puis dans le sens du poil en allant doucement pour faire plaisir à Javelle. La ponette était toute contente. Je rangeais ces brosses et je prenais la brosse à crins et le démêlant. Ses crins était assez emmêlé surtout ceux de la queue mais je prenais le temps qu'il fallait. Au bout de plusieurs minutes, c'était bon. Pour finir, je lui curais soigneusement les sabots.


"Voilà mademoiselle ! Contente ?"


Je donnais une petite friandise à Javelle et je la caressais. Ensuite je prenais les bandes de repos, à force, ce ventre allait devenir lourd. Je lui en mettais à tout les membres pour les lui protéger. Ensuite, je la détachais et l'amennais au box. Je lui enlevais le licol et le ranger. Puis je revenais dans le box, je faisais plusieurs carsese à Javelle, elle aimait tellement ça et puis il fallait que je me fasse un peu pardonné. Après plusieurs minute,s je sortais du box et fermais la porte. Je lui faisais une dernière carsese et je partais.


"A demain ma chérie !"

Petite ballade à la plage




Je savais que Javelle n'aimait pas trop le box alors aujourd'hui, on allait faire une petite ballade en main, elle allait adorer. J'arrivais à l'écurie en me dirigeant vers le box de ma ponette que je connaissais maintenant par coeur. Javelle avait la tête hors du box comme si elle m'attendait pour les caresses. Bien sûr, j'exécutais ses désirs et je la caressais longuement.
"Salut ma chérie ! Aujourd'hui, on va faire une petite ballade en main, pas trop longue, mais au moins ça te sortira de ce box que tu n'aime pas beaucoup."
Je commençais par entrer dans son box pour continuer un peu les caresses, Javelle était tout calme comparé à avant, quand elle n'était pas pleine. Après l'avoir bien caressé, je prenais son licol qui était accroché près de la porte du box. Javelle se laissais faire, je lui mettais et lui attachais le licol. J'ouvrais la porte du box en grand pour faire sortir Javelle et l'amenner dehors à ntore anneau habituel pour le pansage.
Après l'avoir bien attaché la longe à l'anneau, j'allais chercher mes affaires de pansage. Je commençais avec le bouchon, pas besoin de l'étrille puisque Javelle était pas très sale, je lui passais le bouchon sur tout le corps pour enlever toutes les saletés. Ensuite, je prenais la brosse douce que je lui passais à contre sens puis dans le sens du poil. Javelle adorais ça alors ça durait toujours plus longtemps que la normale mais au moins, Javelle était propre et contente. Puis, je prenais la brosse à crins, ses crins n'étaient pas très emmêlé depuis hier, c'était son fazcile avec le toupet et la crinière, mais moins avec la queue. Pour terminer ce pansage, je lui curais soigneusement les sabots.
"Voilà ma belle ! Bon, on va aller vers la plage, ce sera bien et il fera bon."
Je détachais sa longe de l'anneau et on partais dans le village vers la mer. Avant la plage, c'était pas aussi beau, il fallait traversé quelques routes, enfin bref, traverser le village. Mais Javelle était calme et à l'écoute, et puis maintenant, elle me connaissait bien ma petite ponette. Javelle tournait la tête de temps en temps regardant autour d'elle. Une diée me traversa la tête. J'amenais Javelle vers la boulangerie, je l'attachais à un poteau pendant que j'entrais. Je demandais un croissant pour moi et pour Javelle du pain dur. Bien sûr, il en avait un peu, il le gardait surement pour des poules, des chèvres ou autres. Je ressortais avec tout ça dans la main et je reprenais Javelle qui ne cessait pas de sentir le sac.
"Attend ma belle, c'est pour tout à l'heure. D'ailleurs on arrive à la plage."
Javelle pointa ses oreilles vers la mer et accéléra le pas. Je la suivais à la même vitesse. C'est le fait de marcher dans le sable qui surprit en premier Javelle qui me mit à le sentir. Après un petit moment, on s'approchais un peu de la mer. Je laissais Javelle sentir l'eau, mais mademoiselle était plus préocupé par mon sac plein de nourriture que par l'eau.
"D'accord, d'accord, on va manger un peu."
Je m'assayais dans le sable pendant que Javelle s'arrêtais. Je lui donnais un petit morceaux de pain et je prenais mon croissant. Au bout de quelques instant, Javelle me donnais des petits coups avec le bout de nez, elle avait déjà finit. Je lui donnait presque tout le pain mais j'en gardais un peu pour la fin de la ballade. Ca y est, Javelle était rassasié, maintenant on pouvais continuer. Javelle voulait partir vers l'eau, heureusement elle n'était pas très froide. Car Javelle partit au trot dans l'eau vers le profond. Elle s'embarqua en même temps et je finit trempée. La ponette me regarda bizarement, elle avait l'eau au genou mais elle était bien. Je la caressais un peu de je l'empêchais d'aller plus loin, avec son gros ventre, il fallait faire attention. Je la laissais marcher un peu, elle me tirais par la même occasion. Après quelques minutes, on ressortait un peu, elle n'avait plus que l'eau aux sabots, Javelle trottina un peu puis elle se calma. Ensuite, on partais marcher dans le sable, je caressais Javelel tout en lui parlant un peu. Ca faisais une heure qu'on était là et maintenant il fallait partir, Javelle devait se reposer même si elle était toujours en pleine forme.


"Aller ma beauté, on rentre à la maison."


Javelle semblait raler un peu mais elle me suivit. On retraversa le village, c'est vrai qu'à ce moment là, Javelle était légèrement fatigué mais c'était normal, on rentrais tranquillement à l'écurie. Pendant ce temps, je pensais au poulain, à la petite chose que je trouverais un matin près de ma ponette. Ce serais merveilleux, en plus ce poulain serais surement un champion ! C'était sur, avec Javelle et Oh Please Darling, ce serais un champion avec du caractère comme ses parents. Je sorti de mes rêves quand je vis qu'on était arrivé près de l'écurie. Je caressais Javelle et je l'attachais à l'anneau de la douche. Après une ballade à la plage, c'était mieux car maintenant elle était un peu sale. Avec l'eau tiède, je lui nettoyais les membres et un peu le ventre vu qu'il y avait un peu de sable. Après l'avoir bien douché, je la ramenais à l'anneau habituel. Je lui curais les sabots et les lui graissais. Comme le poulain allait surement bientôt là, je mettais une bande spéciale à la queue de Javelle pour pas qu'elle s'emmêle ou qu'elle gène. Ensuite, je lui donnais les dernier bout de pain dur puis je la caressais. Je rangeais toutes mes affaires puis je la détachais. Je la rentrais dans son box, je lui enlevais le licol et je la caressais longuement. Ensuite, je sortais, je rangeais le licol et je lui faisais une dernière caresse.


"A demain mon ange, je t'aime fort ma belle."

| 1ier cours : le 29 Août | Obstacle | Petit parcours, remise en route |


Aujourd’hui J’arrive beaucoup plus tôt que prévu aux écuries, je fais un petit tour pour voir si tous est en ordre, en passant je fais une caresse à Javelle & une à mon Irak. Je sors des écuries & me dirige vers carrière. Je me mets au travail, je dois monter un parcours simple & sans gros effort pour Jallen & javelle qui se remet tranquillement de sa mise bas. Après bien 30 minutes, plusieurs essaies, c’est bon je suis enfin satisfaite de mon parcours. Je lui installe ensuite une petite crois dans le manège pour sa détente. Au moment où je termine elle arrive toute souriante.


« Bonjours Jallen ! »


Elle resangle sa ponette puis se met à cheval, elle prend ses rênes puis met sa ponette au pas. Elle la marche tranquillement pendant 5 minutes à main droite puis réalise une volte renversée pour changer de main. Elle marche également 5 minutes à main gauche, puis d’une pression de jambe lance sa ponette au trot, Pendant 5 minutes elle trotte tranquillement sa ponette puis exécute des cercles & des diagonales tout en allongeant & en rassemblant le trot de sa ponette qui est aux ordres & calme.


« Essaye de la mettre en place »


Jallen s’y met tout de suite, mais sa ponette ne veut pas céder, au bout de quelques minutes elle a un peu descendu son port de tête mais pas suffisamment pour dire qu’elle est en place, on voit bien qu’elle s’énerve. Jallen relâche un peu la pression de ses rênes & laisse tranquille sa ponette, après un tours de trot tranquille, elle réessaye mais rien à faire elle ne veut pas céder.


« Dès que tu veux, tu peux la galoper »


Jallen fait une petite longueur de trot puis prend le galop en C sa jument répond un peu tard & en plus elle est à faux. Jallen la repasse au trot puis lui redemande, elle réagie rapidement, sa cavalière la félicite. Elle fait deux tours à main droite en fessant un cercle en A


« Prend la prochaine diagonale & demande lui un changement de pied »


Elle s’exécute & en X place ses aides inverses, sa jument, donne un petit coup de dos & change de pied, Jallen la félicite, elle fais deux tours à main gauche puis repasse au trot, puis au pas, elle laisse les rênes à sa ponette. Je lui demande de venir sur la petite croix que j’ai installée, elle vient au petit galop, recule ses épaules, sa jument saute la petite croix facilement. Je lui mets ensuite un vertical à 60 cm, sa jument accélère devant l’obstacle, Jallen essaye de la ralentir mais rien à faire, Javelle fait un grand saut, Jallen se prend un beau taxi, puis en réception reprend le contrôle de sa jument. Je lui installe pour finir sa détente un vertical à 70cm, sa jument arrive calmement cette fois ci, elle fait un joli petit saut que Jallen accompagne bien.


« C’est bien, Tu vas me faire le parcours maintenant »









N°1 = petite croix | Rouge | étrémité à 70cm


N°2 = vertical | jaune | 60 cm


N° 3 = Oxer | marron & bleu | Premier barre 50 cm / deuxieme barre 65 cm


N° 4 = Vertical | bleu marine | 70 cm


N° 5 = Oxer | vert | Premier barre 60 cm / deuxieme barre 70 cm




Après avoir mémoriser le parcours, elle met sa jument au galop, fais un cercle, & s’élance sur son parcours, elle arrive à quelques mètres de la petite croix, elle recule ses épaules, sa jument a envie d’y aller, elle va toute joyeuse vers la barre & Op Jallen accompagne le petit saut de sa jument. Elle tourne à gauche & arrive devant le vertical Jaune, sa jument regarde un peu, Jallen met des jambes & Op elle saute nickel, elle remet du mouvement dans son long virage qui l’emmène devant le N°3 un oxer marron & bleu, sa jument hésite un peu, Jallen la rassure de la voix & met des jambes, recule ses épaules & devant l’obstacles met un petit coup de cravache sur l’épaule de sa jument pas très attentive, Op la jument saute fessant un bond immense, Jallen qui ne s’y attendais pas se retrouve déséquilibré mais reste en selle, il lui manque juste un étrier qu’elle parvient à remettre & aborde donc son N°4 dans de bonne condition, sa jument y vas de bon cœur. Elle accélère devant l’obstacle & Op saute, Jallen accompagne bien son saut, en réception elle se redresse sa jument lance un petit coup de cul de joie, Jallen sourit, On voit qu’elles s’éclatent, elles arrivent bien droit sur le dernier obstacles un oxer vert que sa jument saute avec facilité. En réception Jallen se redresse, repasse au trot puis au pas, & lâche les rênes à sa jument, elle la caresse en lui disant des mots doux, elle la désangle de 2 trous.


« C’est bien pour une remise en route, vous avez bien travaillé, Dès que ta fini de la marcher rentre là & fais lui c’est soins »


Sur ces paroles, je sors de la carrière en disant au revoir à Jallen. Je passe faire un petit coucou à mon Irak, je lui dépose une carotte dans sa mangeoire puis quitte le centre équestre.




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