>> Epreuve de Soin de Javelle et Jallen

>> Epreuve de Soin de Javelle d’Hélise et Jallen

Aujourd’hui était une journée consacré aux soins du cheval, ça allait sûrement être la plus facile pour Javelle ma ponette et moi. Avec son fort caractère, les autres épreuves allaient être plus compliqué mais heureusement ma ponette était géniale quand elle n’était pas montée. J’arrivais tôt ce matin pour nourrir ma petite ponette. Je partais dans la grainerie pour m’occuper de la préparation de la nourriture de Javelle. Je préparais un bon petit mélange avec des granulés, un peu d’avoine et d’orge. C’était parfait, un peu énergétique mais comme demain sera une journée bien remplit, il fallait la mettre en condition. Je sortais et refermais bien la porte en me dirigeant vers le box de Javelle avec mon eau remplit du délicieux petit-déjeuner de Javelle. J’arrivais rapidement au box de ma petite grise. Les oreilles pointées en avant, elle m’attendait avec impatience.

« Salut mon Ange, je t’apporte ta nourriture. »

J’ouvrais la porte du box et j’entrais. La ponette recula un peu pour me laisser passer puis elle s’approcha avec moi de la mangeoire. Je versais rapidement le contenu de mon seau et je m’éloignais. La ponette s’avançais sans me bousculer puis elle se mettait à manger sa nourriture. Une vraie gourmande cette jument ! Maintenant j’avais du temps devant moi, je repartais chez moi pendant une heure, je m’habillais correctement et je prévoyais quelques trucs.
Une heure et demi plus tard j’étais devant l’écurie, Javelle devait avoir finit de manger. J’entrais doucement dans l’écurie, la ponette était tranquille dans son box. Maintenant je devais la mettre au pré, je prenais son licol et j’entrais dans son box. Mais avant, une petite séance de caresse comme Javelle les aime tant. Plus d’un quart d’heure après, j’arrêtais de caresser Javelle, la ponette était toute détendu et calme, j’en profitais pour lui passer le licol. Javelle comprit et redressa sa tête, j’ouvrais la porte en grand et on s’avançait dans l’allée. Sage comme une image, Javelle se suivait sage pour partir au pré. Désormais Javelle avait fait des efforts et était moins sauvage même si elle avait toujours ses instincts. Je marchais calmement en caressant Javelle de temps en temps et en lui parlant.

« J’espère que ça va mon cœur ? Je redoute surtout l’épreuve de cross, on n’en a pas fait beaucoup. »

On arrivait rapidement à la barrière du pré. Javelle s’arrêtait naturellement, elle était tellement habituée. J’ouvrais la barrière en grand pour faire rentrer Javelle et je la refermais derrière nous. Je la caressais un peu puis je lui enlevais le licol. La ponette tourna la tête pour avoir une dernière caresse que je lui fis de suite. Puis elle partie au petit trot, joyeusement avant de s’arrêter dans un bon endroit au soleil pour brouter.
Maintenant je devais faire son box, je repartais en direction de l’écurie en espérant que son box n’était pas trop sale. En arrivant, je regardais en premier l’état du box, il était un peu sale mais bon, il fallait le faire. J’allais chercher une brouette et une fourche et je revenais. Je posais la brouette devant le box et j’entrais avec la fourche. Je commençais d’abord à enlever tous les crottins qu’il y avait dans le box, je retournais un peu la paille pour chercher dessous. Ensuite j’enlevais les tas d’urine, c’était plus compliqué mais je le faisais quand même. Au final, il en restait plus grand-chose mais ce qui restait était propre. Je posais la fourche et j’allais vider la brouette au fumier. Avant de remplir le box de paille fraîche je prenais un seau et une éponge. J’allais nettoyer la mangeoire et l’abreuvoir avec l’éponge et l’eau. Quand tout était fini j’allais ranger ces affaires. Je revenais avec de la paille propre dans la brouette. J’en mettais quand même pas mal pour que ce soit confortable pour Javelle. Je posais le gros tas de paille propre au milieu du box puis je l’étalais le tout dans le box. Je ranger la brouette et la fourche puis je me reposer trente secondes.

« Pffiou ! Maintenant il reste le matériel à nettoyer. »

Je partais cette fois dans la sellerie, j’attrapais mon filet en premier. Etant donné qu’il faisait un peu chaud, je prenais tout ce dont j’avais besoin dehors, c’était mieux. Je commençais à défaire doucement tout le filet. J’allais mettre le mors à tremper dans un seau avec de l’eau puis je prenais une éponge propre. Je commençais par la têtière, je passais plusieurs fois du savon dessus puis je passais au montants du filet puis ceux de la muserolle. Je passais plusieurs fois afin de ce soit bien propre. Par la suite je passais sur la muserolle puis les rênes. Je repassais un petit coup sur toutes les parties pour voir si tout allait bien puis je posais le filet à un endroit pour qu’il sèche. Ensuite c’était au tour de la selle. Je prenais un tréteau où je posais la selle pour m’aider. Je commençais à détacher les étriers pour les mettre avec le mors. Ensuite, je détachais la sangle, je commençais par elle. Quand j’avais finit avec cette sangle, je passais à la selle. C’était plus gros et plus long que le filet mais c’était rapidement fait. Avant je repassais un petit coup sur quelques parties de la selle puis je la laissais sécher. J’allais voir le mors et les étriers. Je sortais d’abord le mors, avec l’aide d’une autre éponge, je nettoyais un peu pour voir s’il n’y avait pas d’herbe dans le mors puis je faisais pareil au étrier puis je posais tout dehors pour que ça sèche. Je profitais de ce moment pour préparer la nourriture de Javelle, je me lavais bien els mains avant pour j’allais préparer son repas du midi. Pour ce midi, c’était juste une bonne ration de granulés que je déposais dans sa mangeoire. Après ça je remontais tout le filet ainsi que la selle puis je rangeais tout dans la sellerie.

« Ouff, c’est enfin finie maintenant je vais voir ma Javelle. »

J’étais un peu pressé mais heureusement, les meilleures activités étaient pour après. J’arrivais rapidement devant la barrière du pré de Javelle. J’appelais la ponette par son nom. Celle-ci redressa la tête et me vit, elle vint au petit trot vers moi poussant un petit hennissement. J’entrais dans son pré, elle s’arrêta devant moi. En premier je me mis à la caressais, puis j’allais chercher le licol que je lui passais autour de la tête et que j’attachais.

« Oui ma belle, tu vas manger ! »

Javelle était pressé, j’ouvrais la barrière en grand pour la faire sortir puis je refermais bien derrière nous. Le chemin jusqu’à son box était rapide à la vitesse où on allait. Arrivées devant le box, Javelle s’arrêta, elle me laissa ouvrir la porte puis on entrais toutes les deux dans le box. Au départ, Javelle voulu partir de suite vers la mangeoire mais je le retenais doucement. Finalement, elle s’arrêta et attendit que je lui enlève le licol pour partir manger. J’allais moi aussi manger, je prenais mon sac à dos qui était posé près du box de ma ponette et je partais au club house. D’autres cavaliers étaient là, je discutais un peu avec eux pendant que je mangeais un bon sandwich et que je buvais un Fanta. Je mangeais rapidement vu que je n’avais pas très fin. Après avoir ranger mes affaires, je repartais voir ma ponette dans son box. Javelle avait la tête par-dessus la porte du box, je la caressais un peu.

« Tu va être contente, maintenant c’est le pansage ! »

Je prenais encore une fois son licol et j’entrais dans le box. La ponette se laissait faire et je lui mettais le licol facilement. J’ouvrais la porte du box en grand pour faire sortir Javelle dehors. Je l’attachais à un anneau, à l’ombre et au calme. Il y avait pas mal de cavaliers qui marchaient partout alors je préférais être au calme. Je finis par trouver un petit endroit calme à l’ombre. C’était parfait. J’attachais Javelle et j’allais chercher mes affaires de pansage. Je commençais avec le bouchon, pas besoin de l’étrille, elle n’était pas très sale. Je lui passais le bouchon sur tout le corps. Puis je passais à la brosse douce, le moment préféré de Javelle, je lui passais à contre sens puis dans le sens du poil en prenant mon temps pour faire plaisir à Javelle. Puis, je lui démêlais les crins, je prenais le démêlant avec moi et la brosse à crins, je commençais par le toupet qui était facile. Ca se compliquait un peu avec la crinière et la queue c’était encore plus long. Mais finalement j’arrivais à mes fins. Pour finir, je lui curais soigneusement les sabots puis je les lui graissais.

« Tu es magnifique, tu es la plus belle ma chérie ! »

Je rangeais toutes mes affaires et je caressais ma ponette. Maintenant, on allait travailler un peu en liberté, elle allait pouvoir se défouler. Je la détachais et l’amenais dans le manège. Arrivé là-bas, je fermais la porte et je détachais la longe du licol de Javelle. Je me plaçais au centre du manège, d’abord Javelle devait se défouler un peu sinon, elle ne ferait rien. Je prenais la chambrière. Toute seule, la ponette partie au petit trot, d’abord elle n’était pas sure de pouvoir faire presque tout ce qu’elle voulait mais finalement elle comprit. Ne se faisant pas prier, Javelle partie au galop. Elle accéléra comme une folle et lança plusieurs ruades. Après quelques tours, elle se calme et repassa au pas. Je posais la chambrière. Javelle vint vers moi au pas, tranquillement, elle me regardait doucement. Elle s’arrêta à quelques mètres de moi, puis elle s’avança. Je la caressais un peu avant d’avoir une idée. J’allais chercher un plot carré que je posais au milieu du manège. Javelle s’en approcha, les oreilles pointées en avant. Ca ne lui faisais pas peur d’ailleurs, elle s’avança et le poussa du bout du nez. J’attrapais doucement son licol et je la plaçais devant le plot carré. Je prenais un stick et je lui touchais doucement un antérieur. Javelle ne comprenais pas, c’était normal. Je prenais doucement son antérieur et je le posais sur le plot. Au premier coup, Javelle s’éloigna et enleva son sabot. Je recommençais, je lui touchais un peu plus l’antérieur, puis je lui posais sur le plot. Javelle ne bougea pas. Je la caressais un peu. Puis c’était au tour de l’autre antérieur, je lui touchais puis je l’aidais à le mettre sur le plot. Javelle recula et enleva ses deux sabots. Mais je persévérais pendant pas mal de temps. Au bout de trois quarts d’heure, Javelle avait compris. Je lui tapotais doucement près du boulet et celle-ci posait son antérieur sur le plot. Puis je passais à l’autre, je lui tapotais et elle posait l’antérieur sur le plot. Je lui donnais une carotte pour la féliciter puis toute seule elle descendit de son plot.

« C’est très bien mon cœur, tu es la meilleure ! »

Maintenant j’allais la faire marcher un peu, je prenais la longe et je lui rattachais au licol. Je la sortais du manège pour ‘l’amenais un peu plus loin. On marchais un peu tranquillement, toutes les deux puis quand je vis un endroit bien herbeux, je m’approchais. Je vérifiais qu’il n’y avait pas de plantes toxiques puis je laissais Javelle brouter. Elle qui était un peu gourmande, ça lui plaisait beaucoup. Je la laissais brouter pendant une demi-heure. Puis on repartait à l’écurie, je caressais encore un peu Javelle pendant le chemin. Je rentrais Javelle dans son box, je lui enlevais le licol et je le rangeais.

« Voilà mon cœur, t’as bien brouter j’espère. »

Je lui curais les sabots pour vérifier qu’elle n’avait rien coincé dedans puis je sortais du box pour préparer sa nourriture. Ce soir c’était juste du foin, du lui apportais une quantité adapté à elle, à son travail,… Je lui déposais dans un coin du box puis je sortais. Je la regardais un peu manger pour voir si tout allait bien puis je passais un coup de balai dans l’écurie et je partais. Avant je passais dire au revoir à Javelle.

« A demain mon cœur ! »