» Epreuve de Saut de Guaranah

» Epreuve de Saut d'Obstacles de Guaranah



» Je retournais vers le box de ma ponette après avoir prit une peu de repos. Je rentrais dans le box de ma grise, et je la caressais longuement, et je lui ôtais sa couverture et ses bandes. Je lui mettais son filet, et je lui passais un rapide coup de brosse douce et de cure-pieds. Je lui posais le tapis marron et beige, l'amortisseur et la selle sur le dos, et je lui mettais la bavette et le collier de chasse. Je sortais ma ponette du box, et je lui lui mettais ses guêtres et ses cloches aux antérieurs, et ses protèges-boullets aux postérieurs. Je mettais mes éperons, prenait ma cravache et mettais ma bombe et mes gants, et je me mettais en selle après avoir ressangler.

» En avant ma grande !

» Je la faisais marcher tranquillement dans le paddock, observant quelques couples évoluer. Je mettais ensuite ma poentte au trot, et je la faisait trotter activement, avec de l'impulsion et assez de vitesse. Je faisait trotter pendant plusieurs minutes ma ponette aux deux mains, travaillant sur des allongements et des grandes courbes, vu qu'il fallait beaucoup en faire pour le parcours. Ensuite je repassais ma ponette au pas, et je la laissais souffler rênes longues, la caressant, et j'en profitais pour ressangler. Ensuite je demandais le galop à droite à ma ponette, et je me mettais en équilibre, la faisant bien galoper sur plusieurs oturs de carrière. Ensuite je changeais de main, Guaranah changeant de pied toute seule. Je la faisais bien galoper aussi à l'autre main, et je la repassais au trot et au pas, la carressant et ressanglant un petit peu. Puis je l'envoyais tranquillement sur une croix, Guaranah la franchissant avec aisance et souplesse. Ensuite je l'envoyais franchir un vertical puis un oxer, Guarah' ne semblant pas avoir de prolbème. Je la flattait et je la laissait marcher rênes longues.

» Bien, c'est bientôt à nous ...

» Je regardais une dernière fois mon tour, puis on appellais mon numéro, et j'entrais au trot dans la carrière de saut, Guaranah poussant un hennissement vif et puissant. Je me présentais au jury avec un grand sourire, et je lançais ma ponette au petit galop sur un cercle, attendant la sonnerie. Celle-ci retentissant, je m'asseyais dans ma selle, Guaranah redressant l'encolure et s'élançant joyeusement sur le parcours d'1 mètre. Je la retenais bien, et on passais souplement la ligne d'arrivée. Je la dirigeais souplement vers le numéro 1, Guaranah le sautant très souplement. Je faisais une grande boucle à gauche, la dirigeant sur le numéro 3, suivant le 3, pas très loin. Je me redressais, ne laissant pas Guar' accélèrer pour qu'elle fasse une barre. Elle franchissait gracieusement le numéro 2, et s'élançait avec souplesse et fougue vers le numéro 3. J'accompagnais bien le saut puissant de Guaranah, couchée sur son encolure, et me redressant à la réception. Je faisais une belle courbe, dirigeant ensuite proprement ma ponette vers le numéro 4. Celle-ci le franchissait aisément, et je l'éperonnais doucement, Guaranah allongeant souplement sa foullée. Je passais derrière le numéro 8, et je faisais une belle courbe à droite, dirigeant Guaranah vers le numéro 5 en la ralentissant un peu. Guaranah le franhcissait souplement, et j'accomapagnais bien son saut, me redressant à la réception, et j'effectuais une belle ligne brissée, l'envoyant vers le numéro 6. À la réception, je passais au galop vif et rapide derrière le numéro, puis en le numéro 8 et le numéro 1 sans trop de problème. Je faisais une large courbe en ralentissant un peu Guaranah, la dirigeant vers le double, calcullant bien ses foullées. Elle franchissait le double très bien, sans froller une seule barres, et j'accompagnais très bien ses sauts. Ensuite je passais entre le numéro 3 et le numéro 6, frollait le numéro 2, et j'effectuais une belle courbe pour venir sur le numéro 8, avec doigtée. Guaranah le franchissait avec aisance, sans froller la barre, et démarrait au grand galop dès la réception, ses sabots claquant violamment contre le sol, passant la ligne d'arrivée en trombe, moi couchée sur son encolure. Je la repassait au trot et au pas, sous les applaudissements vifs du public.

» Superbe parcours ma chérie ! Explosif !

» Je la rentrais à l'écurie, et je mettais pied à terre. Je la desellais, et je la menais à la douche, la douchant soigneusement. Ensuite je la mettais au pré, la laissant tranquille pour la pause midi. Je partais manger, et je me changeais avant.