» Epreuve de Soins de Guaranah

» Epreuve de Soins de Guaranah



» J'arrivais joyeusement à l'écurie, me garrant tranquillement dans l'écurie. Je descendais de ma voiture, et je claquais ma portière. Je prennais dans le coffre un seau, puis je le fermais lui aussi, et je vérouillais les portes de ma voiture. J'allais voir si CajOu' était là, mais elle n'était pas dans son bureau : elle devait sûrement s'entraîner déjà avec Satan. Je me dirigeais vers le box de ma ponette, et j'ouvrais son vollet, passant un regard dans celui-ci. Guaranah était couchée, et se redressait en voyant de la lumière. Je m'éloignais en chantonnant, et je me dirigeais vers la grange. Je prenais une boîte, et je versais la nourriture de ma ponette dedans. Je rajoutais de la pomme, de la carotte et des sucres en morceaux dedans, et je mélangeais le tout. Je retournais tranquillement au box de ma ponette, et j'ouvrais soigneusement la porte du box, et je rentrais dans celui-ci. Une paire d'yeux gourmands ce posait dans mes mains, et je caressais l'encolure de ma ponette.

» Alors ma belle, on a faim ?

» Je repoussais gentilment la ponette, et je versais sa ration dans sa mangeoire. Guaranah se jetant dessus, j'en profitais pour prendre ma brosse douce, et brosser soigneusement ma ponette, la poussière volletant de son poil gris. Puis je lui curais soigneusement les pieds, et je lui mettais des guêtres et des cloches aux antérieurs. Ensuite je lui passais une jolie chemise marron bordée de beige, et je l'attahcias soigneusement. Comme elle avait finit de manger, je pouvais lui passer soigneusement son licol, et je la sortais du box. Je fermais la porte derrière elle, et je la menais au pré.

» Viens, on va au pré !

» Je menais tranquillement ma grise, qui était tout éxitée à l'idée d'aller au pré. Une fois arriver devant son pré, j'ouvrais doucement la porte, et je pénétrais dedans accompagnée de ma jument. Je fermais la porte derrière nous, et je détachais soigneusement le licol de ma jument. Celle-ci partait au galop en ruant, la tête entre les antérieurs et la queue panachée, poussant de léger hennissement vif et joyeux. Je la regardait faire la folle quelques minutes en souriant, puis je retournais à son box, et je la laissais.

» * Bon, il faut que je récure le box de Guaranah maintenant ... *

» Je me dirigeais vers son box, et je l'ouvrais grand. Puis je partais chercher ce qu'il me fallait pour le nettoyer, et je déposais le tout devant son box : brouette, fourche, désinfectant, balai ... Je positionnais la brouette devant le box, et je prenais ma fourche, pénétrant dans le box. Je plantais ma fourche dans la litière, la soulevais et la mettais dans la brouette, et je continuais jusqu'à ce que le box soit vide. Ensuite je prenais un balai normal, et je ballayais rapidement le box, enlevant toute la paille. Ensuite je prenais un seau et j'y versais du désinfectant, le mélangeant avec de l'eau. Trampent mon balai-serpillère dedans, je me mettais à frotter de fond en comble le box, j'usqu'à ce qu'il osit niquel. Puis je rinçais soigneusement le box, et je retirais les toiles d'araignées, les poils coincer, ect ... En attendant que le box sèche, je partais à la sellerie, et je prenais mon matériel. Je m'installais dans le club house, déposant tout sur des chaises et une table.

» * Allez, courage ! *

» Je prenais mon filet, et je le démontais soigneusement. Ensuite je prenais mon savon, et j'humidifais mon éponge, avant de la passer sur le savon. Je savonnais tout mon filet, et je le laissais sècher. Je mettais mon mors dans l'évier, et je le laissait tremper. Ensuite je démontais ma selle, et je mettais mes étriers avec mon mors. Je savonnais ensuite ma selle, puis je graissais soigneusement mon filet, et je le mettais à sècher. Ensuite je graissais soigneusement ma selle, et je nettoyais mon mors et mes étriers, et je les sèchais avec un chiffon. Je remontais mon filet, et je le mettais dans mon casier. Puis je remontais ma selle et je la mettais elle aussi dans mon casier. Puis je retournais au box de ma ponette, et je partais chercher un ballo de paille. Je le déposais devant le box, et j'ôtais les ficelles. Ensuite j'éparpillais soignesuement la paille dans le box, puis je versais la ration de ma ponette dans mangeoire, très soigneusement. Je lui mettais du foin dans son filet à l'autre bout du box, et je vérifiais son abreuvoir. Puis je rangeais tout, e tje partais chercher ma ponette au pré. Je prenais son licol, et j'apellais Guaranah.

» Guaranah !! Viens ma grande !

» Je me dirigeais vers la grise, qui avait redresser la tête, et m'observais. Je la rattrapais facilement, et je lui caressait la tête tendrement. Ensuite j'ouvrais la barrière du pré, et je sortais avec Guaranah sur mes tallons. Je fermais la porte, puis je menais tanquillement la grise à son box. Je lui ôtais ensuite ses protections et sa chemise, et je la rentrais dans son box, la laissant manger tranquillement. Je fermais la porte, et j'allais manger moi aussi. Je sortais mon sandwich, et je m'installais au bar du club house, discutant avec des cavaliers. Je mangeais tranquillement et rapidement, et je buvais un coca, puis je retournais au box de ma ponette.

» Allez ma belle, je vais m'occuper de toi ...

J'ouvrais le box de ma ponette, qui s'avançait automatiquement vers moi. Je lui embraissais tendrement les naseaux, et je lui passait son licol, la sortant du box. Je fermais la porte derrière elle, et je l'attachais très lâche. Puis je prenais mon matériel de pansage, déposant le tout devant le box de la ponette. Je prenais mon étrille, et je commençais à étriller soigneusement le corps vif et muscler de ma ponette, faisant des formes circulaires sur ses parties charnues. Ensuite je prenais mon bouchon, et je brossais soigneusement ma ponette, frottant de temps en temps le bouchon sur l'étrille pour enlever la poussière. Pour finir je prenais ma brosse douce, et je lui brossais doucement tout le corps, et très soigneusement, frottant aussi de temps en temps ma brosse douce sur mon étrille, ne mettant pas toute la poussière de nouveau sur sa robe. Puis je prenais mon cure-pied, et je curais et brossais soigneusement les sabots de ma ponette, les faisant tout beau. Pour finir le pansage, je lui peignais affectueusement les crins : crinière, toupet et queue. Ensuite je mettais son filet à la ponette et je lui mettais un surfaix, attachant des rênes spéciales à son mors. Je la menais ensuite tranquillement au manège, ouvrant la porte, et lâchant la ponette dedans.

» On va travailler, hein ! On flémardise pas !

» Guaranah semblant comprendre, s'arrêtait de faire la folle, et s'arrêtait devant moi, m'observant de son oeil doux et confiant. Je lui mettais ses rênes, Guaranah obliger de se placer. Je prenais un stick, et je tapotais doucement l'antérieur de ma ponette. Au bout de longue minutes, guaranah levait son antérieur, puis je reposais au sol. Je al caressais affectueusement et je lui donnait un bonbon. Puis je recommençais l'étape, et recommençais Guaranah quand elle s'effectuais correctement. Finalement, à peu près 40 minutes plus tard, Guaranah effectuais parfaitement le piaffer. Je lui ôtais le surfait, et je lui mettais des rênes normales. Ensuite je monttais sur ma ponette, qui dressait les oreilles.

» Là ma belle ...

» Comme si j'étais à terre, je lui demandais d'effectuer le piaffer, mais avec mon pied. Guaranah comprit assez rapidement, et au bout de 20 minutes, elle effectuais très bien le piaffer. Je la récompensais à chaque fois d'un bonbon, et finalement, je mettais pied à terre, caressant bien ma ponette. Je lui mettais son licol, et je la laissais en liberté 5 minutes dans le manège, partant ranger mon matériel. Je revenais voir ma ponette et je la sortais du manège, la dirigeant vers la douche. Je la douchais soigneusement, puis je la sèchais tranquillement. Ensuite je lui passais un rapide coup de brosse douce, et je vérifiais ses pieds. Pour finir, je la menais à la carrière, et je la laissais brouter pendant plusieurs minutes, observant des entraînements. Puis je la rentrait au box, e tje lui donnais un bon mash bien frais. Mangeant avec appétit, la ponette redressait sa tête quand je l'appellais, et m'observais. Je lui embrasais la ganache, puis je la quittais. Je fermais son box soigneusement, et je faisais le tour des écuries, avant de partir, satisfaite de ma journée bien remplie.