[Nauris Farah]

Arrivé de bonne heure au domaine, aujourd'hui je devais m'occuper de Nauris Farah, la jument de Ipsa qui etait absente. Je me dirigea tout d'abord vers la sellerie, pour prendre les affaires de Ipsa. Ensuite je cherche le box de Nauris, je passe devant mes deux chevaux: Miracle et Béa qui reçoivent une caresse chacuns, puis 3 boxs apres je trouve le box de la belle jument grise.


"Nauris!!"


La jument c'était retourné et etait venu près de moi.


"Ca va ma belle??"


Elle se frotta contre moi... Je pense qu'elle va bien! Razz . J'ouvre ensuite doucement le box, Nauris se recule pour me laisser entrer, puis je me glisse dans le box. Je flatte l'encolure de Nauris et lui passe le licol. Une fois passer, je lui ajuste et je la sors du box. La petite jument grise regardait tout autour d'elle. Je lui flatte encore une fois l'encolure et je l'attache a une ficelle surmonté d'un anneau. J'ouvre la boîte de Ipsa, puis je prends le cure-pieds. Je touche l'épaule de la jument et celle-ci donne tout de suite le pied.


"C'est bien Nauris!"


Je cura soignesement le pied de la jument. Elle ne bougea pas...[d'un cote c'est normal je lui tiens le pied! Razz ] Je lui cure donc correctement, puis apres je passe la brosse qui se trouve au dos du cure-pieds. Je lui lache doucement le pied, puis je m'attaque aux autres pieds. Ensuite je pose le cure-pieds et prends le bouchon. Je le passe sur tout le corps de Nauris sauf la tête. Celle-ci etait bien calme... C'était un vrai plaisir de s'en occuper! Je prends ensuite la brosse douce que je passe d'abord a rebrousse-poil, puis dans le sens du poil. Elle avait a présent le poil brillant et doux. Je la detache ensuite et lui mets la longe sur l'encolure, puis je lui mets le licol en colier et je lui brosse la tête avec la brosse tête. Apres je la caresse et je prends l'eponge que j'avais humidifier. A sa vue, Nauris enscensa violement. Je pose l'eponge et m'approche d'elle calmement en lui montrant que j'ai rien dans les mains. Je decide de remettre le licol correctement. Je reprends l'eponge mais la encore Nauris recule.


"La ma belle!! Calme toi c'est rien!"


Je garde l'eponge a la main cette fois, je prends la longe dans une main, et s'approche l'eponge qui etait dans mon autre main pour qu'elle puisse la sentir. Nauris se decide enfin a avancer son petit bout du nez pour sentir l'eponge, puis elle s'approche et joue avec...


"Bah voila! C'est pas un monstre!"


Je lui remets la longe sur l'encolure et je lui passe l'éponge tout d'abord sur les yeux en me mefiant de ses reactions, puis sur ses naseaux. A présent elle bouge plus. Je lui mets les protections, puis je l'emmene au pré. Je la lache et elle part comme une petite folle au grand galop en faisant le tour du paddock.

[ 1ère Rencontre

[ Aujourd’hui, j’allais rencontrer Nauris Farah, ma jument, pour la première fois. Je sortis une photo de ma poche et je regardai attentivement la jument grise qui posait dessus. Elle était très jolie, au profil typé arabe avec un corps plutôt fin et des membres secs. Je ne doutais pas qu’elle avait beaucoup de sang. Je m’approchai du box où elle devait se trouver. Et là, personne. Inquiète, je regardai de partout et soudain, je trouvai quelqu’un. La personne m’indiqua plutôt gentiment que ma jument se trouvait au pré. Cette personne m’avoua même que grand nombre d’autres membres de l’écurie la caressait en passant devant son box. Je souris et me dirigea vers le pré indiqué. Au début, je n’aperçus rien et, après recherches, je vis la jolie jument dans un coin du pré, en train de brouter nonchalement de l’herbe avec une jument palomino.

« Nauris ! »

[ La jument leva la tête en m’entendant l’appeler. Je me dirigeai lentement vers elle, tendant ma main. Elle la renifla sans aucun problème. Je souris et lui flatta tendrement l’encolure. La belle jument grise ferma les yeux. Je souris et lui enfila un licol. Elle se laissa faire, appréciant le contact d’un humain. Je lui flattai l’encolure. Puis, je me mis en marche vers la sortie du pré. Farah m’emboîta le pas, marchant tranquillement mais je sentais qu’elle ne manquait pas d’impulsion. Je la sortie du pré et referma la barrière derrière moi. Puis, je l’amenai sur la barre de pansage. Je l’attachai à l’anneau. Elle ne bougea pas, ne me lâchant pas du regard, les oreilles pointées vers moi. Je souris et partis prendre mon matériel. Une fois revenue, je lui curai soigneusement ses sabots. Je glissai ma main le long de son antérieur et à peine avais-je dit « Donne » que Nauris leva son antérieur, me donnant son sabot. Je la félicitai et lui cura soigneusement le sabot, faisant attention à ne pas abîmer la sole. Je passai un coup de brosse en chiendent sur la sole et la fourchette et je posai son pied à terre. Je la félicitai et fit la même chose pour les autres sabots. Nauris obéissait docilement. Puis, je lui passai un grand coup d’étrille sur tout le corps, massant les parties charnues de son anatomie. Farah, les yeux fermés, ronflotait légèrement des naseaux. J’éclatai de rire et lui flatta l’encolure avant de lui passer un coup de bouchon. Ceci fait, je démêlai ses crins puis les natta en pions bien serrés. Je fis de même avec sa queue que je nattai et termina pas un petit nœud de papillon bleu. Je lui flattai l’encolure une énième fois et je lui passai un coup de brosse douce. Ceci fait, je pris mon porte selle sur lequel j’avais posé une selle mixte, un filet à muserolle croisée et un tapis ainsi qu’un amortisseur et des protecs. Je sellai rapidement Farah mais précisément. La jolie jument ne bougea pas, se laissant faire. Puis, je la bridai. Je lui posai des protecs ouvertes aux antérieurs et des protèges boulets aux postérieurs. Je lui flatte l’encolure et me prépare. Puis, je détache le licol et emmène la jolie jument grise dans la carrière.

[ J’arrêta Nauris au centre de la carrière. Là, je la ressangla et descendit mes étriers. Puis, je lui étira consencieusement ses antérieurs. Ceci fait, je passa mes rênes au dessus de son encolure. Je les ajusta et mis mon pied à l’étrier. Nauris se mis à avancer. Je la gronda et elle s’arrêta. Une fois qu’elle fût arrêtée, je me mis en selle et elle ne bougea pas. Je la félicita et la mis au pas, tranquillement, les rênes longues. Mes jambes au contact, je lui demanda d’étendre son rachis ainsi que son encolure. Cela donnait une bonne attitude au cheval et commençait bien le début de la séance. Aujourd’hui, j’avais décidé que ce serait une séance rencontre. Donc, aujourd’hui, nous ferions un peu de dressage et un peu de CSO. Après avoir marché quelques minutes, je lui demanda de partir au trot. J’avais récupéré mes rênes. Farah partit immédiatement au trot. Je trottais enlevé, sur le bon diagonal. Le trot de la jolie jument était bien agréable : cadencé et souple. Je sentais qu’elle devait être douée en dressage. Mais on m’avait dit qu’elle était très polyvalente. Je souris et continua de trotter au trot enlevé, lui faisant faire régulièrement des changements de mains. Nauris avait la tête un peu en l’air, les oreilles en avant. Je souris. Elle n’avait pas dut être montée depuis un certain temps. Puis, je m’assis dans ma selle et ferma mes doigts sur mes rênes, me redressant dans mon dos. Aussitôt, la jument leva plutôt haut la tête. Je renforça mes aides et Nauris repassa au pas. Je lui flatta l’encolure et après un peu de pas les rênes ajustées, je la laissa souffler les rênes longues. Je souris. Elle avait beau être agréable à monter, je sentais bien qu’il allait falloir légèrement combattre sa vitesse. En effet, je comprenais bien qu’elle avançait beaucoup. Je souris. J’en avait pas mal monté des comme ça. Et puis, elle avait beau être speed, Nauris était bien agréable à monter. Je la laissa marcher quelques minutes puis je récupéra mes rênes.

« Aller loloche »

[ Je pressa légèrement mes mollets et Nauris partit immédiatement au trot. Je resta au trot assis et plaça mes aides du départ au galop. Après une jolie ruade, je mis Nauris sur un cercle afin de la canaliser. Ma jolie jument était très agréable à monter. Je la laissa au petit galop puis je la mis sur un cercle. Je la laissa sur ce cercle pendant un ou deux tours avant de la faire marcher large. Nauris ne se monta pas trop la tête car je lui fis faire une longueur et je la fis changer de main par la diagonale. Je repassa au trot puis je lui demanda la même chose à l’autre main. Je la garda sur un cercle au petit galop avant de la faire galoper large. Puis, je la fis repasser au trot et au pas. Je la félicita et la laissa marcher un peu rênes longues avant de les reprendre. Je lui demanda un bon pas puis, je plaça mes aides du départ au galop. A peine eus-je reculée ma jambe extérieure que Farah partit au galop. Son galop était très confortable, plutôt aérien. Je lui demanda d’abord d’allonger ses foulées en ouvrant légèrement mes doigts sur mes rênes avant de lui demander de rassembler ses foulées. La deuxième demande fut un peu plus dure à mettre en application mais au final, Nauris me fit un joli truc. Je la félicita et la fit changer de main. Je lui redemanda un départ au galop du pas qu’elle m’éxécuta dans les règles de l’art. Je lui demanda de nouveau d’allonger puis de rassembler. Nauris avait mieux compris car elle exécuta mieux les exercices. Je la repassa au pas et la laissa marcher les rênes longues. Visiblement, c’était une bonne jument quoique un peu trop rapide. Je la félicita encore une fois.

« Bien Nauris. »

[ Puis, j’installa un petit obstacle en B. Le but n’était pas de sauter des montagnes mais de tester son coup de saut. J’installa une petite croix. Après avoir légèrement raccourcis mes étriers, je la mis au petit trot et nous dirigea vers l’obstacle. Farah sauta bien mais elle ne semblait pas avoir envie de lever ses petits antérieurs. La personne qui m’aidait augmenta la hauteur. Cette fois, Nauris fut obligée de lever un peu plus haut ses jambes. Je la félicita et la personne installa un petit vertical de 30 cm. Nauris prit le galop mais je la fis transitionner cinq foulées avant l’obstacle. Elle me fit un saut désordonné et pas équilibré à cause de la transition. Je la renvoya sur l’obstacle toujours dans le trot. Cette fois, Nauris sauta bien. On augmenta la hauteur à 50 cm. Je souris et cette fois, je lui demanda d’aborder l’obstacle au galop. Nauris me fit un joli saut quoiqu’elle me prit légèrement les rênes à l’abord. Je lui refis sauter, vérifiant à ce qu’elle ne m’embraque pas une nouvelle fois. Cette fois, Nauris sauta bien. Je la félicita et la laissa marcher rênes longues pendant qu’on installait un petit oxer dont la plus haute barre culminait à un petit cinquante centimètre. Après l’avoir laissée souffler quelques minutes, je l’emmena sur l’oxer dans un galop avec de l’impulsion. Farah me fit un joli saut mais elle panacha légèrement. Je la renvoya sur l’oxer et elle sauta bien. J’augmenta à 70cm l’oxer et elle me fit un superbe saut. Je la félicita et la laissa marcher au pas rênes longues avant de la rentrer au box.

[ Arrivées à l’anneau de pansage, je déscendit de cheval et attacha le licol en collier. Je retira délicatement le filet de sa bouche et lui donna un bonbon à la pomme après lui avoir remis correctement le licol. Puis, je retira la selle que je posa délicatement sur le porte selle. Je mis le tapis et l’amortisseur sur la selle. Je retira les protections des membres de Farah et vérifia ses tendons. Non, ils allaient bien Je lui flatta l’encolure et lui fit un calin.

« T’es géniale ma puce ! »

[ Je défis rapidement ses nattes puis je lui cura les sabots. Je retira toute la poussière et les saletés de la carrière des sabots de la jolie jument puis, je lui passa de la graisse dessus. Je lui passa le bouchon à rebrousse poil afin de laisser sécher ses poils plus rapidement. Je lui brossa soigneusement ses crins. Puis, je lui mis des bandes de repos. Je la rentra dans son box et ferma la porte du box après un grand calin.

« Je t’aime ma Nauris. T’es un amour ! »

[ Jumpons

[ Aujourd’hui avec Farah, c’était une préparation au concours de Saut qui était organisé. Je marchais en sifflotant dans l’allée. Je souris en voyant Farah sortir sa tête de son box. Je lui flatta tendrement l’encolure et rentra dans son box. Je lui passa un licol et la sortie du box. Je retira ses bandes et sa couverture. Puis, je la pansa à fond. Je lui natta avec soin ses crins et je lui fis avec soin une tresse portugaise. Je lui natta ensuite soigneusement la queue. Puis, je l’harnacha rapidement et lui flatta tendrement l’encolure.

« Aller ma puce, on y va. »

[ Nous entrâmes dans la carrière. J’arrêta ma jument au centre de la carrière et je la ressangla. Je descendis mes étriers puis j’étira ses membres un à un. Je lui flatta l’encolure et ajusta mes rênes. Mettant le pied à l’étriers, Nauris bougea un peu. Je la gronda et elle s’arrêta. Je lui flatta l’encolure et me mis souplement en selle. La mettant au pas, je la laissa marcher les rênes longues. Elle s’étendait bien, les naseaux près du sol. Je la laissa marcher ainsi. Puis, je lui demanda le trot après avoir repris mes rênes. Elle partit avec vitesse. Je me redressa dans mon dos et lui demanda un trot ‘normal’. Une fois qu’elle eut un peu changer de rythme, je la fis trotter large. Puis, je la mis sur un cercle et je lui demanda de se placer. Nauris ne semblait pas avoir trop envie de se placer. J’agissais quand même avec mes jambes, mes mains posées sur mes genoux. Finalement, Nauris se plaça légèrement. Je la félicita et lui demanda la même chose à l’autre main. Elle obéit un peu mieux. Je lui flatta l’encolure et la repassa au pas. Je la laissa souffler au pas quelques minutes puis je récupéra mes rênes et lui demanda de partir au trot. Cette fois, je me mis au trot en équilibre, les rênes tendues, mes fesses près de la selle. Mes articulations amortissaient les mouvements de la jument. Farah trottait bien. Je la fis changer de main dans la même attitude puis, je repris dans ce trot. J’avais un peu mal au jambes quand je la fis repasser au pas. Je lui flatta l’encolure et la laissa souffler. Puis, je lui demanda le départ au galop du trot. Elle partit dans un bon rythme. Je me mis au galop en équilibre. J’amortissais bien ses foulées et Nauris n’avançait pas comme une malade. Elle était dans un bon galop de travail. Je lui flatta l’encolure, la fit transitionner au trot et lui redemanda le départ au galop à l’autre main. Elle partit dans le même rythme. Je lui flatta l’encolure et la laissa souffler.

« Aujourd’hui, on va faire de la puissance ma chérie »

[ J’aimais beaucoup la puissance. C’était marrant. Et puis, je verrais ainsi jusqu’où montait Farah. On m’avait déjà dit qu’elle montait jusqu’à 1.45m mais je n’en étais pas tellement sure. Une personne m’installa un croisillon en B. Je mis Nauris au trot et elle sauta sans problème. On augmenta à 50cm. Je lui demanda le petit galop et elle sauta bien. Je me rendis compte qu’en effet, elle avait un superbe coup de saut. Puis, on fit un petit vertical à 20cm. Nauris le sauta tranquille au trot mais je l’avais mise à l’autre main. On monta à 50cm et ma jument sauta bien au dessus. Elle avait tout de même un fort coup de saut mais je savais qu’elle sautait très bien. Puis, je la remis à la main où elle était la plus à l’aise et on monta l’obstacle à 80cm. Farah ne fit aucune difficultés et sauta très bien par-dessus. Je commençais à voir les hauteurs monter. On atteignit bientôt les 1m. Je mis Nauris dans un bon galop de travail pour aborder l’obstacle mais la jolie grise n’en fit qu’une bouchée. Je lui flatta tendrement l’encolure. On monta à 1.05 mètres et Farah ne dut pas sentir de différences. Elle sautait à merveille. Je lui flatta l’encolure puis on monta à 1.10m. Je demanda à ma jument d’avancer un peu plus pour bien sauter l’obstacle. Au final, elle me fit un petit pied et fit tomber la barre. Je souris et la rassura. Elle n’avait pas apprécié le contact de la barre sur ses sabots. Je souris et la fit avancer un peu plus à l’abord. Fixant mon regard sur un point plutôt haut derrière l’obstacle car ainsi, elle comprendrait qu’il fallait prendre plus tôt son appel. Elle sauta très bien. Je lui flatta l’encolure. Puis, on monta à 1.20m. Ca commençait à faire haut mais je lui demanda d’avancer et au final, Farah panacha un peu mais me fis un joli saut. Je lui flatta l’encolure. On monta à 1.25m. Cette fois-ci, Nauris ne me fit pas un panachage et elle sauta très bien. Je lui flatta l’encolure et la laissa souffler pendant qu’on montait à 1.30m. Je souris. Ca commençait à être drôle mais je sentais que j’allais bien m’amuser. Après qu’elle eut bien souffler, je l’emmena dans un bon galop sur l’obstacle et elle le sauta à merveille. Je lui flatta avec amour l’encolure. On monta à 1.35m mais ça ne semblait pas affecter Nauris qui sautait parfaitement bien par-dessus les obstacles. Je la laissa souffler pendant quelques minutes et on monta à 1.40m. Cette fois, c’était très impressionant. Après avoir bien souffler, je l’emmena dans un bon galop sur l’obstacle. Elle me le sauta comme si de rien n’était. J’éclata de rire et je lui flatta l’encolure. On monta encore à 1.45m. Farah fit un très joli saut. Je lui flatta l’encolure et je demanda 1.50m, pour voir. Avec satisfaction, elle me le sauta. Je souris et lui flatta tendrement l’encolure.

« Merci Nauris. »

[ Je la fit marcher une bonne dizaine de minutes puis je sortis de la carrière et on alla marcher sur la piste de trotting pour qu’elle puisse souffler au maximum. Puis, je la ramena au box. Je l’arrêta, je retira son harnachement. Je lui fis prendre une bonne douche. Je lui passa le couteau de chaleur et l’emmena brouter pour qu’elle puisse sécher. Une fois que je sentis que toute trace d’humidité avait disparu de son corps, je l’attacha à la barre d’attache et je lui fis un long et tonifiant pansage. Je lui recouvra les sabots d’onguent puis je lui mis de l’argile sur les tendons. Je veilla bien à tout faire à rebrousse poil d’abord puis à lisser l’argile. La masse gluante et froide me tacha bien les doigts. Je me les rinça rapidement puis, je posa les flanelles sur l’argile et je les recouvris de bandes de repos. J’en mis sur ses quatre membres puis après un énorme câlin, je rentra Nauris au box.

[ Jumpons

[ Je marchais dans l’écurie où mes poneys logeaient ainsi que ma nouvelle jument. J’étais bien décidée à la faire devenir la meilleure. Je caressa délicatement la tête de celle-ci puis lui donna un bonbon à la pomme. Je me dirigea ensuite vers le box de Mc Flurry et lui donna également un bonbon. Puis, je flatta tendrement l’encolure de Nauris qui regardait attentivement mes mains à la recherche d’un petit bonbon. Je souris et lui en donna un. Je flatta tendrement l’encolure de Nauris Farah qui fouilla mes mains à la recherche de nouvelles friandises. Je lui flatta délicatement l’encolure puis je rentra dans le box, un licol à la main. Je l’enfila sur la tête de la jolie jument grise puis j’ouvris la porte du box. Je sortis ma jument du box. Je souris puis j’attacha Farah à la barre de pansage et je pris mon cure pied. Me saisissant de son pied, je cura soigneusement le pied du cheval. Puis, je nettoya les poussières avec ma brosse dure en chiendent. Je flatta l’encolure de Nauris puis, je continua avec les autres pieds de mon cheval. Puis, une fois que j’eus pris mon étrille, je frotta vigoureusement en cercles le corps de mon cheval. Je pris ensuite mon bouchon et je nettoya les poils morts que l’étrille avait relevés et je retira également quelques poussières en surface. Puis, je démêla soigneusement les crins de la jolie jument. Je natta la crinière de la belle grise en pions. Je démêla ensuite la queue que je natta avec soin. Puis, je passa un coup de brosse douce sur le corps du cheval. Je lui flatta l’encolure puis, je nettoya sa tête avec mon éponge et je lui passa un petit coup d’époussette. Je me dirigea ensuite vers la sellerie. Mais, je me décida. Prenant le licol de Mc Flurry et celui de Lovely Dream, j’ouvris leur box et les emmena dans un pré. Je souris et les laissa dans le pré. Puis, je flatta l’encolure de Nauris Farah avant de revenir vers la sellerie. Je pris ma selle d’obstacle, mon tapis, mon amortisseur, mes protecs, le filet de la jument et sa martingale à anneaux. Puis, je me dirigea vers elle Je pris mon tapis et le posa sur son dos. Je posa l’amortisseur puis la selle. Je la sangla progressivement après avoir inséré la martingale dans la sangle. Je brida soigneusement Farah et lui mis la martingale. Puis, je posa ses protecs. Flattant son encolure, je me prépara et me mis en selle, nous dirigeant, Nauris Farah et moi vers le manège.

[ Nous pénétrâmes dans le manège. Arrêtant Farah au milieu de celui-ci, je ressangla la jument. Je descendis mes étriers puis, j’ajusta mes rênes et me mis en selle. J’avais installé le même petit parcours que celui que j’avais fait une fois, quand j'étais en train d'apprendre l'équitation. Mais d’abord, je détendis soigneusement Farah près des obstacles. Je commença au pas, cherchant l’extension de son encolure et l’étirement de son rachis. Puis, je récupéra progressivement mes rênes et mis Nauris au trot, lui faisant faire un cercle près des obstacles. Elle trottait joyeusement, les oreilles pointées vers les obstacles. Je flatta l’encolure de ma jument et lui fis faire plusieurs changements de main. Puis, je la laissa souffler. Tranquillement, elle marchait dans un bon rythme, à l’écoute de mes jambes et aides. Puis, une fois qu’elle eut soufflé, je le remis au trot et lui demanda un départ au galop qu’elle effectua dans les règles de l’art. Je me mis en suspension, mes articulations amortissant les foulées de la jument. Je lui flatta l’encolure et la fis changer de main. Puis, j’inversa mes aides du galop et elle changea de pied. Je la félicita et me remis au galop légèrement en suspension. Puis, mes rênes au contact, je me redressa et la fis transitionner au trot puis au pas. Je lui flatta tendrement l’encolure. Une personne retira la bâche sur le deuxième obstacle afin que je puisse détendre correctement ma jolie jument grise. Nous sautâmes une fois une croix dont le centre était à vingt centimètres du sol. Nauris Farah la sauta bien mais elle essaya de me prendre la main. Je la refis passer au trot pour qu’elle ne me prenne pas la main. Elle semblait avoir compris car elle sauta très bien. Puis, j’augmenta à 50cm. Au petit galop, Nauris fit un joli saut. Je la félicita et installa un vertical à 30cm. Au trot, elle sauta bien mais je ne sentais pas le saut et je n’accompagnais pas très bien. Nous augmentâmes à 50cm et le saut au petit galop fut charmant ! Puis, on augmenta à 70cm et Nauris sauta très bien par-dessus.



1- Deux bottes de paille empilées de chaque côté d’une botte de paille. Le mieux étant de sauter au milieu^^.
2- Obstacle presque normal : bache recouvrant la barre.
3- Obstacle aux barres très colorées. Sous les barres, une grande quantité de branches.
4- De nouveau le 1.
5- Haie Barrée dont l’abord est précédé d’un bidet.
6- Palanques rouges vives.
7- Quatre barres qui forment un couloir pour aborder le 8.
8- Mur précédé d’un petit fossé.
9- De nouveau le 3.
10- De nouveau le 6.
11- Directionnel fait d’un sous bassement rouge.


[ Je la félicita et la laissa souffler pendant qu’on installait la bâche sur le vertical. J’approcha Nauris de l’obstacle et la laissa sentir la bâche mais elle ne semblait pas trop s’intéresser à celle-ci. Je mis Nauris au petit galop et l’emmena sur l’obstacle. Mes jambes au contact, près de la selle, le dos légèrement redressé. Lorsqu’elle fit sa battue d’appel, je pencha légèrement mon buste et avança mes mains. La jument sauta très bien par-dessus, peu intéressée par l’obstacle. Je la félicita et partit lui montrer le numéro trois et tous les obstacles du parcours. Pendant que je faisais ceci, je les lui faisais ensuite. Nauris Farah manqua bien de me faire un refus sur le numéro 8 à cause du petit fossé mais finalement, elle sauta bien par-dessus. Je mis ma jument au petit galop sur le cercle de préparation puis aborda les bottes de paille. Farah sauta très bien par-dessus. Puis, je la fis tourner un peu court et nous sautâmes bien la bâche. Les branches lui firent une petite frayeur et elle me fit un pied et pourtant, elle sauta. La gourmande essaya de manger un peu de paille à l’abord mais un coup de talon la convaincue de sauter. Puis, je m’assis dans ma selle pour sauter la haie barrée. Les palanques ne furent qu’un simple mauvais souvenir. J’essaya de transitionner pour passer dans les quatre barres mais Nauris Farah me fit tout au trot. Je souris et la relança au galop sur le mur. Voyant le fossé, elle parut hésité mais je la convainc grâce à mon petit coup de talon désormais légendaire. Je passa derrière l’obstacle numéro 1 et je sauta le numéro 9 qui cette fois ne fit plus peur à Nauris Farah à cause des branches. Je sauta légèrement de travers l’obstacle n°10. Puis, assise dans ma selle, je sauta par-dessus le directionnel rouge. Nauris n’avait fait preuve d’aucune frayeur. Je la félicita et la remis au trot puis au pas sur le cercle de récupération. Ce n’était pas un tempérament froid qu’elle avait, c’était un tempérament glacial oui ! Elle n’avait pas réagi ou presque pas. Je la laissa marcher au pas puis je rangea mon parcours et je rentra vers la barre d’attache.

[ Je sauta à terre et flatta l’encolure de ma jument. Lui faisant un gros bisous sur les naseaux, je lui mis le licol en collier. Puis, je retira le filet à la jument et je le posa sur le porte selle. Je lui enfila correctement le licol. Puis, je retira son harnachement et le posa également sur le porte selle. Puis, je retira ses protecs et lui flatta l’encolure. Je nettoya soigneusement le pied de ma jument avec le cure pied et je nettoya la sole de Nauris Farah avec ma brosse en chiendent. Je nettoya la paroi avec la même brosse. Puis, je continua avec les autres sabots de la jolie grise. Je lui flatta tendrement l’encolure. Puis, je défis ses nattes et lui démêla soigneusement les crins. Puis, je graissa un à un ses sabots. Je pris un nid d’abeille et le lui posa sur le dos. J’emmena ensuite ma jument vers le pré, la lâchant dans celui-ci. Elle rejoint ses deux compères avec un joyeux hennissements. Je souris et ramena mes affaires dans la sellerie avant de partir m’occuper de mes diverses occupations.